Quantcast
Channel: Ea- Enki – Ptah – Satya, dieu créateur de la race humaine
Viewing all articles
Browse latest Browse all 200

IV – LES GRANDS CENTRES D’ORION ou la Magie de nos Dieux

$
0
0

IV – LES GRANDS CENTRES D’ORION ou la Magie de nos Dieux

 

Ces bâtiments, tous magnifiques, affichent une telle vastitude qu’ils pourraient, pour certains, y accueillir des continents entiers.
Avant de les visiter ensemble, comprenons comment toutes ces splendeurs sont bâties.
 
• La construction
Prenons un exemple concret.
Sur Orion, quand un nouveau Temple s’avère nécessaire, Ea lance un appel dans la Cité concernée mais également dans toutes les autres.
Les Dieux Bâtisseurs intéressés proposent alors leurs services. Ceux qui viennent d’autres bourgs se voient chaleureusement accueillis «chez l’habitant» et largement fêtés pour leur aide inestimable.
Les autres Déesses et Dieux (non bâtisseurs) épaulent également le projet à tous niveaux : architecture d’intérieur, décoration, fresques, jardins, sculptures, fabrications artisanales, repas, accueil, intendance, etc.
Les Dieux adolescents postulent à flots en tant qu’apprentis sur le chantier afin d’apprendre et pratiquer immédiatement «sur le tas». Cet apprentissage peut ensuite faire l’objet d’un mémoire devant les autres étudiants, films, photos, plans et schémas à l’appui. Souvent, il s’agit d’une démarche purement individuelle et personnelle.
Quand Ea lance ce type d’appel, de toute façon, tout le monde veut participer.
Toute nouvelle construction annonce fêtes, amitiés et de bons moments en perspective.
Un rituel d’ouverture mené par Ea et Isis en général, bénit le début des travaux. La «Terre-Mère» d’Orion doit donner son accord pour que les travaux débutent. Bien évidemment, tout a été minutieusement étudié avant par les Dieux sous la bienveillante houlette d’Ea. Rien ne se bâtit qui puisse gêner les vols migratoires des oiseaux, atteindre les forêts, freiner la vie animale, affaiblir l’écosystème, détourner les cours d’eau, gêner d’autres édifices, empêcher la fluidité de circulation des personnes ou ralentir la fréquence vibratoire d’une ligne Ley.
Marduk, Grand Dieu du Feng Shui intérieur et environnemental, assume cette partie essentielle du projet.
Les Dieux Bâtisseurs et leurs Légions travaillent physiquement à l’édification du Temple mais surtout par télékinésie. La puissance mentale de nos Dieux laisse pantois.
«Monter un Temple» prend environ deux mois et implique des équipes de jour et des équipes de nuit. Des centaines de Déesses et de Dieux s’activent avec une souplesse et une aisance sidérantes.
Les chantiers sont calmes, sans énervements ni stress, sans fracas ni poussière. Des bulles de protection les entourent jusqu’à l’extrême fin des travaux.
Les Déesses volontaires pour «gâter» les nobles travailleurs s’organisent pour qu’à chaque pause (plusieurs par équipes), de jour comme de nuit, repas chauds, gâteaux, fruits, salades et boissons leur soient proposés. Inutile de préciser qu’il ne reste pas une miette de ces généreuses collations une fois la pause terminée.
 
Durant la construction du Temple, et comme à chaque fois, un véritable spectacle animalier s’offre à qui veut en profiter. Pêle-mêle ; aigles, corbeaux, chouettes, faucons, écureuils, souris et souriceaux, chattes et chats, de sortie en couple ou en solitaire, rejoignent, à tout moment et des heures durant, leur perchoir de prédilection sur les branches des arbres voire sur leur cime pour les aigles, ou les toits pour les chats. Ils observent l’érection rapide mais solide du Temple avec des mines circonstanciées à mourir de rire. Ils semblent suivre les travaux comme s’ils étaient eux-mêmes bâtisseurs, architectes, décorateurs ou paysagistes. Ils couinent, miaulent ou chicotent selon l’évolution des travaux et quittent en trombe arbres et toitures pour se ruer vers les Déesses chargées de plats succulents et autres friandises.
En journée, ce sont les enfants-Dieux qui amènent des coupelles remplies de bonnes choses à tous ces animaux «sentinelles». Les chiens rajoutent souvent à l’ambiance par quelques aboiements bien sentis, exprimant ainsi toute leur satisfaction.
Ces animaux à l’âme sacrément évoluée savent que leur race respective trouvera sa place dans le Temple. Près de Bastet, des chats. Près d’Anubis, des chiens. Près d’Horus et de Marduk, des faucons et des aigles. Près d’Isis, des chouettes. Près de Durga et Sekhmet, des lions et des tigres. Près de Ganesh, des souris et des éléphants. Près de tant d’autres Déesses et Dieux, des écureuils, des lapins, des oies, des canards, des paons et ainsi de suite.
Oui, ces animaux ont CONSCIENCE qu’une fois encore, ils seront, eux aussi, reconnus, aimés et révérés pour ce qu’ils sont.
 
Le Temple, une fois érigé, les Déesses et Dieux impliqués l’aménagent et l’embellissent y compris les jardins, dépendances et routes qui y mènent.
Il importe de comprendre que les Déesses et Dieux Chefs commandent des Légions qui les suivent et les soutiennent en tout. Personne n’est jamais seul sur Orion s’il invoque aide et soutien.
Ces Dieux qui composent les Légions s’engagent auprès de leurs Chefs respectifs en toute conscience, en toute connaissance de cause et ne ressentent aucune animosité (!!!) quand un «ordre» leur est donné.
Il va sans dire que lors des combats menés contre leurs ennemis, les Légions obéissent au doigt et à l’oeil à leur meneur sans tergiversation aucune. Les Humains «matador» engagés auprès d’Ea qui s’imaginent que l’on peut marcher sus à l’ennemi en ordre dispersé, «faire comme on veut quand on veut» auront beaucoup à apprendre de leurs guides d’Orion.
La vraie liberté induit toujours beaucoup de responsabilités. Ce dernier point semble constamment occulté par les entêtés.
Sur la Bételgeuse chacun connait sa place, ses devoirs, ses responsabilités, sous les ordres de qui il combattra, créera et bâtira. Il ne peut en être autrement.
Pour autant, ces Déesses et ces Dieux sont puissants et toujours prêts à de nouvelles aventures. Ceux qui souhaitent se retirer des Légions pour expérimenter d’autres mondes demeurent bien sûr libres de partir. Personne n’est tenu à rien. Mais rares sont ceux qui s’exilent sciemment.
Quel que soit le ressenti de chacun ici-bas à la lecture de ces lignes, la splendeur de nos Déesses et de nos Dieux parle pour eux : immortalité, joie de vivre, immense puissance, teint de pêche, corps parfait, bienveillance, naturel, simplicité, etc, etc, etc… leur mentalité, leur mode de vie, leur compréhension de la Vie paraissent vraiment bien leur réussir. Non ?
Il en était de même pour nous, avant.
Poursuivons notre exemple :
Si demain, ces mêmes Dieux Bâtisseurs ont besoin de mains ou de savoir-faire pour soutenir un projet familial, là encore, une annonce sera diffusée. De la même manière, Déesses et Dieux proposeront leur soutien.
 
Cette attitude d’entraide et d’échange s’avère tout à fait naturelle sur Orion pour ne pas dire banale. Tout le groupe agit pour l’individu qui, de son côté, demeure solidaire de tous. A fortiori pour les Dieux et Légions qui construisent Cités et Temples pour le plus grand bien de tous.
Que l’on érige un Temple pour l’ensemble des Dieux ou une maison individuelle pour une seule famille, le même processus s’enclenche toujours.
Car pour nos Déesses et Dieux, tout concourt toujours au bien-être de tous. Plus une Déesse, un Dieu, un Humain s’estime bien dans sa vie, dans son coeur, dans son corps, dans son âme, plus il se montre créatif, ingénieux, aimable et serviable envers l’ensemble de la société en constante évolution sur Orion.
Plus l’individu s’exprime sainement dans tout ce qu’il est, dans tout ce qu’il représente, plus le groupe en bénéficie aussi, nécessairement.
Par conséquent, dans le monde d’Ea, seules la puissance et la noblesse d’âme de chaque Déesse et de chaque Dieu engendrent une Pléiade extrêmement solide, solidaire, valeureuse, «indomesticable» et indestructible.
Il n’existe jamais de Déesses ni Dieux laissés de côté ou de projets considérés sans intérêt aux yeux du plus grand nombre. TOUT est important. Car TOUT concourt, une fois encore, au bien-être de tous.
Semer des graines, planter des arbres, sculpter des oeuvres d’art, construire des vaisseaux, fabriquer des vêtements, créer des bijoux raffinés, cuisiner de bons plats, produire du vin, de la bière ou du cidre de qualité, tout cela compte. La beauté de l’environnement compte. La propreté des lieux compte. L’élégance de chacun, libre de toute mode, compte.
 
Aucune activité n’est dévalorisée ou dévalorisante. Tout converge toujours au bien-être de l’individu et donc de l’ensemble de la société.
Enseigner, se dépasser, créer, enfanter, initier, fabriquer, innover, imaginer, etc, etc, etc, tout cela relève du monde d’Ea.
J’insiste sciemment sur tous ces points car il convient vraiment de les intégrer en profondeur.
Cela vous semble idyllique ?
Vous avez tort. Car derrière toutes ces forces, ces dons, ces compétences se cachent des centaines de milliers d’heures de dure pratique, de dépassement de soi, de rudes combats, d’implications, de dévouement, d’affirmation de soi, de confiance en soi, d’ouverture d’esprit, d’intelligence du coeur et de l’âme.
Les Déesses et Dieux quittent parfois très jeunes leur foyer pour s’entrainer en d’autres lieux voire d’autres espaces et en reviennent aguerris. Rien, absolument rien ne s’obtient dans le monde d’Ea sans effort, sans persévérance et sans foi en la Vie.
Il n’est pas donné à tout le monde de devenir une Déesse ou un Dieu, et surtout de le rester. Ni d’emmagasiner autant de Connaissance, de Puissance et de Générosité sans dégringoler dans la volonté de pouvoir et de soumission des moins avancés. Anu en est un exemple vivant.
Nos Déesses et nos Dieux évoluent et progressent constamment. Ea a beaucoup vu, appris, vécu et connait des choses que nul esprit avisé n’oserait imaginer. Réaliser qui est notre véritable Père et de qui nous descendons figure la première étape vers la Conscience de Soi. Or, cette première étape s’avère la plus difficile et la plus dangereuse pour nous. Oui, dangereuse car elle pourrait basculer les esprits les plus faibles dans un océan de vanité si dense qu’ils s’y noieraient.
 
Avec nos Déesses et Dieux jamais rien n’est vide de sens. Bien au contraire, tout déborde de sens.
Toute pratique a un but et se vit sans ennui ni obligation. Tout se comprend, s’exerce en Conscience. Nos Dieux chaque jour méditent, font leur yoga, s’entrainent à des arts martiaux internes et externes de très haut vol. Chaque jour implique un nouveau défi, propice à une évolution constante.
Jamais nos Déesses et Dieux ne baissent les bras. Ils essaient encore et encore jusqu’à la victoire finale. Quand bien même cela nécessite d’essayer cent huit millions de fois. Ils ne cèdent absolument jamais malgré les embûches, les écueils et les souffrances engendrées.
Nos Déesses, nos Dieux incarnent des héros cosmiques, l’élite de la galaxie. Et le plus grand d’entre eux a pour nom Ea-Shiva.
Comme déjà précisé, il émane de l’Orion d’Ea une immense paix, et en même temps une détermination d’airain. Pourtant nos Dieux sont en guerre. Alors ? Eh bien, il ne s’agit pas ici d’une paix béatement niaise offerte à toutes les compromissions mais d’une paix fermement consentie, profondément désirée et protégée. Elle va jusqu’à habiter les rues et les demeures parce que nos Déesses et nos Dieux l’ont d’abord largement installée dans leur coeur et dans leur âme.
Cette paix, chez nos Dieux, découle d’un véritable état d’esprit et certes pas d’un «slogan sociétal». Conscients de leur infinie valeur, dotés de pouvoirs psychiques et occultes COLOSSAUX, ils possèdent une vaste confiance en eux, une très grande assurance et la certitude d’être toujours à la hauteur devant tout défi à relever.
Résumons-nous, si vous le voulez bien :
Nos Dieux possèdent des dons psychiques absolument extraordinaires renvoyant Superman et tous les autres «fantastiques» dans de vieux placards poussiéreux. Bâtir pour eux n’induit pas de trainer de lourds fardeaux ou de respirer des poussières toxiques durant des mois voire des années. La Télékinésie soulève les poids exactement comme pour les pyramides d’égypte ou de Méso-Amérique, pour ne citer qu’elles.
Aucun outil, aucune machine, aucune technologie sur Orion ne se montre bruyante, polluante ou exténuante à l’usage.
Construire sur Orion n’évoque pas un «chantier au sens humain» mais une joie commune. Il faut y voir aussi le plaisir de pratiquer ses dons, de les mettre au service d’une noble cause et de former sur le terrain de jeunes Dieux passionnés.
La mentalité est tout. Nos Déesses et nos Dieux ont une très bonne et très belle tournure d’Esprit. Ils donnent, partagent, se soutiennent, aiment la vie, l’amour, les fêtes, les plaisirs, la Nature, ce qui est beau, durable, majestueux. D’évidence, pétris de grandes Valeurs auxquelles ils ne dérogent jamais, ils respectent la Vie, ses cycles naturels.
Nos Déesses et nos Dieux sont parvenus à un tel niveau d’accomplissement parce qu’ils se sont consacrés beaucoup beaucoup de temps, d’attention, de dévotion afin de se connaitre, de plonger seul(e)s dans leurs profondeurs abyssales. Leur immense puissance s’appuie sur la pleine Conscience d’eux-mêmes, constamment, à tout moment, où qu’ils soient, quoi qu’ils fassent et en tout lieu spacio-temporel.
Entrons à présent dans le grand Temple.
 
• Le Temple principal
Il personnifie le coeur de la Cité. Tout se construit ensuite autour de lui, à une distance largement suffisante pour qu’à aucun moment il ne soit gêné par une quelconque pénombre, trop d’allées et venues ou encore des mitoyennetés préjudiciables -et de toute manière, impensables sur Orion.
Le Temple figure la grande école de la Vie, pour tous les âges : enfant, adolescent, adulte.
Le terme de «cité» évoque trop souvent sur Terre, délinquance, ghetto, drogue et mal-être.
Pour nos Dieux, tout au contraire, la Cité symbolise un haut lieu de Connaissance, d’Apprentissage, d’Initiation et de Festivités. Toujours d’une dimension vivable pour nos Dieux (ils sont immenses, ne l’oubliez pas), elle véhicule d’emblée une notion de solidarité, de partage mais aussi de respect du choix de chacun.
– Quelle définition donnerais-tu de la Cité, dis-je un jour à Marduk, l’étymologie latine n’est guère satisfaisante. – La Cité est le joyau, le coeur vital d’un territoire où le droit à l’expression de soi prédomine. D’où votre expression «avoir droit de cité». Elle doit être bâtie en des lieux clés, dans le respect des Puissances Naturelles, et établir un pont entre la Terre et le Ciel. La Cité est le pont, le Temple son noyau-mère.
Un immense parc de milliers d’hectares entoure le Temple. Beaucoup de plantes médicinales, de fleurs symboliques, d’arbres magiques y poussent joyeusement et à profusion.
Nos Déesses et nos Dieux apprécient le confort et s’offrent de vivre leur propre nature comme ils l’entendent, même au sein d’un parc. Certains préfèrent s’asseoir à même le sol, d’autres sur des bancs, des chaises, des fauteuils, des balancelles ou encore s’attabler pour mieux lire, étudier ou tout simplement déguster un bon petit repas entre amis. La Déesse ou le Dieu régent du Temple prévoit l’aménagement du parc en ce sens, parasols et coussins compris.
De petites guérites aux mines réjouies, souvent de couleurs rouge et or, parsèment en abondance le domaine et proposent des kyrielles de bonnes choses à boire et à manger. Nos Dieux les appellent «Boîtes à Délices», ce qui en dit long sur leur gourmandise légendaire.
Le monde d’Ea prône un grand sens du confort de l’habitat, des vêtements mais aussi du corps. Car le corps physique souffrira d’une gestion du temps déficiente. Sous stress, il se cabre, se voûte, s’enflamme, se contracte avec, au bout de ce triste chemin de travaux forcés, la maladie voire la mort. Plus le temps nous manque, plus nous pompons la santé vitale du corps, à force de l’obliger à des activités inutiles, contre-nature ou réalisées en un délai ridiculement court. Plus le temps manque, moins le corps bénéficie d’un sommeil réparateur, suffisant, de repos adapté plusieurs fois dans la journée.
Si cette sombre description relève de notre quotidien terrestre où le temps, très curieusement, s’accélère de plus en plus, il n’en va pas de même du tout sur la Bételgeuse.
Le bien-être du corps, essentiel parce que contenant des corps subtils, se lit dans les comportement de nos Dieux, jusque dans les plus infimes détails de leur quotidien.
Par exemple, ils détestent perdre leur temps. Tout s’organise donc en ce sens : pas de files d’attente, pas d’oublis, pas d’organisations défectueuses, pas de ruptures de stock, pas de pagaille.
Voilà pourquoi les étals, Boîtes à Délices et autres «guérites» essaiment Orion. Tout à portée de main, dans l’instant et sans gaspillage d’énergie. Dynamisme, enthousiasme et abondance favorisent une vie agréable mais efficace.
Les étudiants du Temple, déjà en initiation avancée, gèrent les Boîtes à Délices, et servent les autres Déesses et Dieux à tour de rôle.
 
Ea se tient à l’origine de cette idée. Il estime que plus on progresse dans la Connaissance occulte, plus on doit garder contact avec le petit quotidien et ne pas s’engoncer dans la ouate. Pour Lui, passer d’une énergie à l’autre se vit avec aisance, rapidité et facilité sans choc énergétique, justement. Cette «fluidité divine» réclame un long apprentissage auquel s’attellent les étudiants «gestionnaires» des Boîtes à Délices.
Cette vision de l’éducation évite toute vanité débridée et autre fatuité. D’ailleurs, les autres Déesses et Dieux remettraient immédiatement l’étudiant à sa juste place. Vanité, ignorance et paresse, sources de toutes les lâchetés, figurent les trois grandes détestations de nos Déesses et Dieux. Qu’on se le tienne donc tous pour dit, Humains compris !
Revenons à notre Temple :
Il affiche une superficie colossale de plusieurs centaines de kilomètres carrés sur plusieurs étages, incluant des niveaux souterrains. Tout s’y agence à la perfection et personne ne s’y perd jamais. L’habituel confort se voit partout : outre les vastes salles de cours et conférences, s’égrenent bancs et sièges confortables, lumières adaptées, salons d’études, coins lecture, Boîtes à Délices, papeteries, bibliothèques et audio- vidéothèques uniquement reliées au domaine d’études et de recherches.
A chaque étage, un domaine d’activité général se déploie, incluant des kyrielles de sections spécialisées. L’étage de la Biologie et des Sciences laisse sans voix. D’immenses laboratoires accueillent des étudiants passionnés qui ont absolument tout ce qu’il est possible d’imaginer à portée de main.
Ea vient régulièrement superviser les projets de ces étudiants et les incite à toujours aller plus loin dans leur compréhension des Mystères de la Vie. Plusieurs fois par an, il anime des conférences sur nombre de sujets parfois totalement inconnus sur Terre.
 
Les murs des salles de conférence, prises d’assaut, doivent être bougés. Nos Dieux ont mis au point une technique très élaborée qui permet une importante extension des murs et une mobilité très appréciable de l’espace, le temps de l’événement. Faut-il préciser que les murs sont repoussés à leur extrême sitôt les conférences annoncées ? Qui voudrait les manquer ? Ea repousse constamment les confins de la Connaissance. Tous les autres étudiants, parents, amis, enseignants sollicitent des places mais sans grand succès. Ea enseigne pourtant toujours dans la plus grande des salles de conférence (plusieurs kilomètres carrés de surface) mais elle reste toujours bondée.
Les conférences d’Ea, même enregistrées -et régulièrement diffusées-, font toujours salle comble, y compris sur écran !
Une fois encore, gardez en mémoire qu’une telle vastitude s’avère banale pour nos Dieux qui se déplacent à très grande vitesse. Ces distances ne posent aucun problème.
S’ils ont des livres et autres documents précieux avec eux, ils utilisent des sortes de petits «scooters» sans roues sur lesquels je reviendrai plus loin.
 
De par «l’infinité» des lieux, nulle promiscuité à subir. Grâce aux grands espaces compartimentés en petits salons et coins de réflexion intimes à chaque étage, confort, calme et concentration rendent la Connaissance nettement plus assimilable.
Un mot cependant à propos du confort inhérent au monde d’Ea. Nos Dieux ne s’affalent pas constamment sur les canapés et autres sofas moelleux, la colonne vertébrale en zigzag, un apéritif toujours à la main.
 

Jeunes ou adultes, ils gardent un maintien de grande noblesse, se tiennent droit tout en demeurant souples. Ils ne se vautrent pas. Pour eux, le confort n’est en rien synonyme de fainéantise ou d’engourdissement de l’esprit mais de repos du corps. Ce repos permet l’expansion de la Conscience et l’acquisition plus rapide et plus profonde de toute Connaissance.

 

Sur la Bételgeuse, tout reste ouvert jour et nuit. Le rythme biologique de chacun doit être respecté en toutes circonstances.
Certains préfèrent étudier au Temple la nuit, d’autres le jour ; d’autres encore choisissent de lire et travailler plutôt dans le parc ou de rejoindre la bibliothèque de Thot ; d’autres enfin de rester chez eux pour préparer leurs projets.
En effet, point de «devoirs à faire à la maison» qui impliquent une soumission, une obligation quotidienne préjudiciable à toute spontanéité. Mais des projets, si, et de toutes sortes : intellectuels, scientifiques, architecturaux, artistiques, agricoles, etc. Les étudiants remettent leur projet une fois prêts, tout simplement. Libre aux étudiants de créer et s’impliquer dans lesdits projets ou pas.
Tout ceci s’avère fort logique : si chacun a le droit d’exprimer sa vraie nature avec Ea, il semble donc raisonnable que les Nocturnes aient même latitude que les Diurnes. Ou que chaque Déesse et chaque Dieu choisissent leur degré respectif d’implication dans leurs études. Les parents-Dieux respectent les choix de leurs enfants mais leur demandent d’en assumer les conséquences, dès que l’enfant se trouve en âge d’en saisir tous le sens. A fortiori les adolescents.
Il va sans dire que les étudiants étudient. Cela peut sembler ridicule d’affirmer cela mais nombre d’étudiants inscrits dans les universités sur Terre ne se consacrent pas autant qu’ils le devraient à leurs cursus.

 
 
Sur la Bételgeuse, tout le monde veut être fier de soi- même, de ses enfants, de ses parents, de ses amis, de sa fratrie, de son époux, de son épouse, de ses valeurs, de ses dons, de ses activités et innovations. Car pour nos Dieux la fierté engendre le respect. Et le respect se mérite. Donc, chacun fait en sorte d’agir pour le mieux, de la manière la plus noble, la plus généreuse, la plus intelligente possible et d’acquérir un maximum de Connaissance en tous domaines. La Connaissance rend libre et permet à chacun de toujours se «débrouiller», même en plein chaos. Nos Déesses et nos Dieux incarnent de véritables survivants parce que polyvalents et forgés au feu d’Ea-Shiva-Ptah-Agni. Dès la toute petite enfance, le monde d’Ea (Gloire à Lui) offre une grande sécurité dans l’expression de soi, de ses idées, de ses multiples talents, à son rythme personnel, sans subir celui des autres. Le résultat : des Déesses et des Dieux sains, puissants, solides et confiants.
Ea-Shiva dit toujours : «chacun est unique et a le droit de vivre son unicité comme il l’entend».
Mitoyen au Temple central, le grand Temple dédié à Ea-Shiva.
A ses côtés, les Déesses connues comme Déesses- Mères sur Terre : Ninoursag (Hathor), Damkina (Parvati) et Isis.
Un Temple érigé à la gloire de chaque Déesse et chaque Dieu se dresse fièrement le long des larges avenues. Ces Temples contiennent une bibliothèque exhaustive qui traite exclusivement de la Déesses ou du Dieu concerné, tout ce qu’ils ont bâti, créé, inventé, proposé, réalisé pour Orion, la Terre ou d’autres planètes et systèmes, leurs actes héroïques, leurs implications dans le combat mené par eux contre Anu, et ainsi de suite.
Ces Déesses et Dieux prennent d’ailleurs plaisir à surgir par surprise dans leur temple respectif pour la plus grande joie de tous et engager des «débats- conférences» avec les étudiants des heures durant ! Je ne résiste pas au plaisir de radoter sur ce point bien qu’avec d’autres mots, car il faut le voir pour le croire : l’incroyable technologie de nos Dieux permet l’extension mobile des murs, sorte d’étirement énergétique qui loge tout le monde bien à l’aise, alors que de l’extérieur, le Temple demeure égal à lui-même.
Dans le monde d’Ea, sur Orion comme sur Terre dans le temps, tout tourne autour de la Connaissance et de l’acquisition de la Connaissance car elle octroie force, pouvoir, discernement et bravoure.
Du temps de nos Dieux, dans le Temple, au coeur de la Cité, nous aussi, nous apprenions, pratiquions et organisions de très nombreuses fêtes dans de somptueux jardins parfaitement «entretenus à être eux-mêmes» où les petits Êtres de la Nature gambadaient tout leur saoul.
Le monde d’Ea vous parait certainement un conte de fées peuplé de rêves mirifiques mais illusoires. Et pourtant… nous vivions de la sorte avant que notre héritage ne nous soit brutalement retiré. Peu à peu, les persécutions aidant, nous avons tout oublié… Quelques heures d’études dans la journée ; quelques heures de soutien selon les demandes. Chacun profitait du travail de tous, transmis dans la joie et l’amitié. Le reste du temps se consacrait à ce que nous voulions : méditation, magie, arts martiaux, peinture, sculpture, dessins, danse, chant, théâtre, jardinage, éducation des enfants, promenades, voyages d’agrément, voyages d’études, apprentissages de tous ordres, audience chez nos Déesses et Dieux, activité volontaire dans les temples, fêtes et célébrations, moments intimes ou… repos et sommeil.
Le monde d’Ea favorise cette vie saine, joyeuse, aimante, sereine, détachée de tout stress et de toute violence.
D’abord, parce que les Cités d’Ea demeurent toujours à dimension humaine, offrant la part belle à l’amitié, la convivialité et le partage. Ensuite, parce que le niveau de Conscience de chacun se prête à ce type de société basée sur un vrai respect de tout ce qui vit.
Revenons sur Orion et découvrons à présent un autre haut lieu d’études, absolument fantastique, au propre comme au figuré : la Bibliothèque de Thot.
 
• La Bibliothèque de Thot
Voilà l’un des lieux qui m’a le plus subjugué. Je n’en suis pas encore remise. J’y repense souvent et n’ai de cesse que d’y retourner, encore et encore.
Cette bibliothèque existait aussi sur TerrEa du temps de nos Dieux. Ce terme de «bibliothèque» s’avère d’ailleurs totalement ridicule. Il faudrait inventer un mot bien plus glorieux pour tenter de définir les premiers contours d’un tel chef-d’oeuvre.
Si comme moi, vous aimez lire, étudier, chercher et rechercher, vous n’aurez de cesse que vous installer là et de n’en plus bouger !
Des centaines de Déesses et de Dieux érudits, tous des Légions de Thot, se passionnent pour ce lieu hors du commun dont ils ont la responsabilité, selon leur domaine de prédilection respectif.
Regardez-les sillonner les allées, chargés de nouveaux documents, d’incroyables découvertes, de fantastiques merveilles ! Et là, n’est-ce pas Thot lui-même, toujours séduisant, affable, agréable, d’une stupéfiante intelligence qui lit un livre juste en le touchant et donne une dizaine «d’ordres» à la seconde ?
 
 
Entrons par la porte principale.
Comme toujours à l’entrée, une salle d’accueil avec des mets sucrés, salés, des «grignotis» et des boissons, des coins repas, de petits salons, de la convivialité, de l’amitié.
Passons la seconde porte et là… «l’immensité thotienne».
Fascinant, envoûtant, ahurissant, impressionnant, galvanisant, que dire ? Les mots sonnent creux.
A perte de vue, des milliards de milliards de livres, grimoires, papyrus, rouleaux, pierres gravées, images, photos, audios, vidéos, microfilms, gravures, dessins, peintures et archives en tous genres. Mieux encore, de boîtes en bois aux poignées d’argent surgissent des hologrammes grandeur nature, des faits «vivants» sur tous les sujets possibles et imaginables concernant Orion, la Terre mais aussi toutes les planètes et galaxies que nos Dieux ont traversées, habitées et étudiées.
Les étagères s’alignent sur des milliers de kilomètres carrés et des hauteurs vertigineuses.
Là intervient le fameux «scooter». Je ne sais comment le dépeindre autrement. Une sorte d’aéro-glisseur volant ? Les Dieux l’appellent DGV ou «déplaceur à grande vitesse». (il s’agit là d’une traduction très approximative du terme vraiment employé). Sans roues, avec des paniers dépliables à l’avant, à l’arrière et sur les côtés, il propose un siège à dossier large et rembourré sur lequel l’on s’arrime confortablement. Une sorte de micro incorporé se situe à hauteur du guidon. Il suffit d’y murmurer distinctement ce que l’on recherche pour s’y retrouver en quelques secondes. Par exemple : «Moyen-Âge – France – Terre». Le DGV emporte immédiatement l’étudiant vers le gigantesque secteur où tout ce qu’il espère sur cette époque s’y trouve compilé.
Le DGV se déplace à environ cinquante centimètres du sol, en total silence, à quasi vitesse lumière, s’élève vers les rayonnages les plus hauts et redescend tout aussi facilement. Aucune nausée ni mal de mer. Le DGV, doux et souple, donne l’impression de voler. Il a une position d’arrêt sécurisée qui permet de stationner et de feuilleter livres, rouleaux, tablettes et autres archives autant que souhaité avant de les emmener éventuellement chez soi.
Par je ne sais quelle magie, tout exemplaire sorti se trouve immédiatement remplacé par un autre identique, de manière à ce que jamais aucun document ne soit manquant.
Il existe également d’immenses salles à hologrammes. Plus importants et détaillés que ceux dans les boîtes en bois. Des écrans géants surgissent d’un coup, comme de nulle part, dès que l’on a chuchoté ses désirs au DGV.
Les étudiants, souvent médusés, suivent ainsi en direct des scènes de vies passées, d’époques d’antan comme s’ils y étaient. Sons, lumières, dialogues, costumes, paysages, tout explicite à volonté l’histoire, les événements, les personnages.
Des «interviews» de nos Déesses et Dieux témoignent de leur vécu avec force détails et explications, schémas, images et manifestations concrètes de leurs pensées. Tout étudiant s’immerge totalement dans ce qu’il apprend, voilà pourquoi rien ne sera oublié ou mal compris. Toutes les zones de la mémoire sont stimulées: visuelle, auditive, émotionnelle aussi, etc.
Les jeunes Dieux d’Orion connaissent mieux la Terre et notre Histoire que nous, Humains. Ils connaissent surtout la VÉRITABLE Histoire de l’Humanité.
Et justement, ces jeunes Dieux comme les adultes d’ailleurs, ont la chance de vivre non seulement sur la Bételgeuse mais également sous la sage houlette d’Ea. Ea, qui, un jour, eut une idée… époustouflante… (une de plus).
 
• Le Musée de l’Histoire Humaine et… le Théâtre
N’allez pas croire surtout qu’il s’agisse simplement d’un lieu où s’empilent quelques costumes d’antan, deux ou trois bijoux et une poignée de morceaux de vaisselles rapportés en catastrophe de TerrEa quand nos Dieux s’expatrièrent.
Ce musée de l’Histoire Humaine est un musée grandeur nature composé de villages, de villes, de monuments et infrastructures terrestres reconstitués à la pierre près et par époque.
Les grandes civilisations d’Ea y trônent, bien évidemment, mais plus tristement aussi le cloaque d’Anu.
Aussi, pour traiter de ce Musée de l’Histoire Humaine grandeur nature, il faut d’abord évoquer la passion d’Ea pour le Théâtre.
Nos Dieux, longtemps avant la naissance de la race humaine, adoraient déjà le Théâtre qui incarne pour eux, une école vivante de tout premier ordre.
Hormis les voyages d’études, les stages pratiques et les recherches personnelles, tout s’enseigne chez nos Dieux de cette manière. Et, soi-dit en passant, rien n’interdit le théâtre, même en voyage ou en stage ! Les Dieux instruisent, dès leur plus jeune âge, les enfants-Dieux de manière intelligente, vivante et efficace. Ils personnalisent tout ce qui existe dans la Nature, que ce soit une carotte, le tonnerre ou une émotion. L’enfant se familiarise ainsi avec les grands constituants de la galaxie comme de la psyché divine et humaine. Planètes, végétaux, minéraux, sentiments, émotions, événements, symboles, forces, animaux, dons, talents, capacités psychiques, etc, tout prend un visage, une voix, une expression, une forme, tout raconte une histoire.
Le Théâtre, fondement même de tout enseignement, de toute connaissance pour les enfants et adolescents divins, occupe donc une place privilégiée dans le monde d’Ea, y compris comme source de plaisirs, de divertissements et d’hommages pour les adultes.
Chaque Cité accueille une ou plusieurs troupes de Théâtre avec accès illimité à tous les moyens nécessaires. Outre le «noyau dur» que constituent les Anciens de la troupe elle-même, toutes les autres Déesses et Dieux, tous âges confondus, participent tout naturellement aux innombrables pièces partout proposées plusieurs fois par semaine.
Or, quoi de plus solidaire, de plus convivial, de plus unificateur qu’une troupe de théâtre dont chaque membre possède, de surcroît, un coeur généreux, une Conscience élevée, une inventivité sans égale ? Costumes, décors mobiles, mobiliers, sons et lumières, effets spéciaux, dialogues, voix off, mises en scène, chants, jaillissent des esprits et mains expertes de nos Dieux.
Et que dire des décors «solides», de l’artisanat terrestre, fidèle reproduction d’objets d’époque si indispensables à l’installation d’une juste ambiance historique ?
Quand Ea lança l’idée de rebâtir beaucoup de la Terre sur Orion, afin d’enseigner aux plus jeunes d’entre eux, du concret, du vrai, du tangible, l’enthousiasme fut immédiat. Le Dieu Halpas, grand Dieu architecte, se proposa sur le champ, d’emblée suivi de ses Légions, galvanisées. Chaque Déesse, chaque Dieu mit, une fois encore, dons et talents au service de la Mémoire. Entre les Cités, d’immenses scènes naturelles surgirent du sol, en pierre, en bois, en torchis, en paille, selon les pièces jouées, l’histoire contée et l’époque.
Des villages «terrestres» entiers furent reproduits à l’identique avec une minutie digne de nos Déesses et Dieux. Ceux d’antan, paisibles, larges, plaisants et puis les autres, ceux d’Anu, avec ses coupe-gorges, ses prisons et ses scènes d’exécution. Au final, pas une maison, pas une ruelle, pas une enseigne, pas une taverne, ne manquent à l’appel. Ni non plus la manière de parler, de marcher, de se tenir, de se vêtir, de se maudire, de comploter, de tuer. Tous les grands procès de l’histoire y sont joués, des Templiers jusqu’à nos jours, nul absent.
Des châteaux royaux aux datchas, des bidonvilles aux immeubles Haussman, tout est montré, explicité. Sur la Bételgeuse, au nom de l’Histoire et de la Vérité, des acteurs-Dieux déchaînés interprètent avec un somptueux talent, la véritable Histoire de l’Humanité.
L’idée d’Ea a enfanté un mythe galactique. Toute la galaxie alliée nous envie notre Ea, ses idées flamboyantes, sa lumineuse Sagesse et la capacité de nos Déesses et Dieux à tout réussir.
Mieux encore, ces scènes naturelles de Théâtre à force de grandir et de s’élargir, constituent maintenant des Cités entières à elles toutes seules. Bâties par époque, par civilisation, par continent, sur des milliers de kilomètres carrés, ces Cités-Théâtres sont devenues des lieux d’études, de stages et d’exploration, non seulement pour les enfants de nos Dieux mais également pour ceux des races alliées, bien pauvres en épopées et créations.
Architecture, histoire des pierres, modes de construction, styles de vie afférents aux différentes époques, cultures, coutumes et croyances, tout s’y enseigne de visu.
Nos Dieux ont ainsi reconstruit, grâce aux prodigieux dessins fournis par Ea et son fils Thot, l’ancienne cité de cristal, Atlantis, capitale de l’Atlantide, là où naquit la race humaine.
De même, la somptueuse Babylone à la gloire de Marduk, trouve une place de choix sur Orion. Ses jardins suspendus, notamment, laissent toujours Déesses, Dieux, Humains et autres visiteurs cois.
 

A l’opposé et dans un autre registre, le quartier de la Défense en région parisienne, existe en petit sur Orion. Cet exemple montre tout ce qu’il faut éviter pour ne pas se couper de soi. De même concernant plusieurs styles architecturaux du Moyen-Orient enseignés aux jeunes Dieux comme «constructions destructrices anuïstes».

 

Sous le haut parrainage des plus Anciens, des centaines de milliers d’hectares accueillent des reproductions particulièrement fidèles de lieux sacrés pour nos Dieux et nous-mêmes, du temps où nous vivions ensemble sur TerrEa. Ces villes, temples, statues, jardins, construits par de jeunes Déesses et Dieux nés sur Orion, étrangers par conséquent à la vie sur TerrEa en ces âges de Splendeur, démontrent toute leur implication dans la transmission de notre Histoire, de celle de notre galaxie depuis 12000 ans et tout particulièrement depuis les derniers 4000 ans.
D’ailleurs, Ea n’en est pas resté là : il a réussi le tour de force de recréer aussi, dans ces Cités-Théâtres, autour des villages et des monuments, la flore et la faune d’antan.
Tous les animaux, -qui d’ailleurs pour les Familiars jouent aussi leurs rôles respectifs sur scène-, ont aidé Ea en s’y installant, permettant ainsi la floraison et le maintient d’une nature adéquate.
La grande Déesse-Mère Ninoursag-Hathor fit aussitôt don de milliers de graines terrestres sauvegardées par elle, pour les replanter. Nos Dieux savent conserver graines et plants des siècles sans qu’ils soient atteints. Grâce à la brillante idée d’Ea, TerrEa vit sur la Bételgeuse. Demain, sans doute, bâtira-t-il ici la Bételgeuse et tant d’autres Confins qu’Ea et ses Dieux, héros valeureux, pionniers prodigieux, ont eu le privilège -et le courage- d’explorer.

 
Une fois encore, pour nos Dieux, rien ne doit être oublié.
Nos Déesses et Dieux incarnent des mémoires vivantes de tout ce qui est advenu. Annales akhashiques à eux tout seuls, ils portent dans leur coeur, dans leur âme, dans leur esprit et jusque dans leur corps chaque seconde de leur vécu, de notre passé commun, le plus heureux comme le plus terrifiant.
Nos Déesses et Dieux ont toujours, toujours écrit, sculpté, peint, dessiné notre histoire, leur arrivée sur Terre, la création de la race humaine, notre vie commune, l’attaque de la Terre, leur vie sur Orion mais aussi sur d’autres planètes, il y a fort longtemps.
Qui souhaite connaitre cette vérité-là peut aujourd’hui y accéder aisément pour peu que discernement et liberté d’esprit l’accompagnent dans ses recherches. Je souhaite insister sur ce point : pour nos Dieux rien jamais ne doit se perdre. Tout doit demeurer vivant, non seulement en eux, dans leur mémoire, leur ADN mais également dans la trame de la Vie, dans la tapisserie lentement tissée par elle.
D’où que l’on se tourne sur Orion, la Vie nous parle. Partout des Musées, des Bibliothèques phénoménales, des Mémoires, de la Science, partout de la Connaissance, de l’Histoire, de la Vérité.
Satya, la vérité éternelle, un autre nom d’Ea, s’applique là dans toute sa magnificence.
Nul bâtiment biscornu, statue inutile ou «oeuvre d’art» grotesque. Aucun temps perdu, énergie gaspillée ou poudre aux yeux. Et surtout NUL MENSONGE.
Tout y est profond, pensé, sage, porteur d’une puissante énergie, d’une grande force car nourri très en profondeur de l’Ultime Vérité.
Tous les autres Temples, de Duat ou des autres Cités, organisent des voyages d’études de trois semaines (de notre temps) vers ce Musée de l’Histoire Humaine d’où les jeunes Dieux d’Ea émergent ébaubis.
Toutes et tous souhaitent venir sur Terre aider, construire, apporter leur soutien et… se battre. Ils ont grandi sur une constellation en guerre avec le Mal cosmique absolu et possèdent une parfaite connaissance de tout notre vécu.
De plus, les Humains Immortels qui vivent sur Orion avec nos Dieux donnent des conférences, parlent de qui nous sommes, expriment nos particularités humaines. Plusieurs Dieux dont l’un des parents est Humain participent régulièrement à ces conférences- débats menées dans les Temples, comme Asmodée et Nabu.
Le Théâtre apporte vie à ces témoignages intenses. Ils met en scène LA vérité, la seule, l’unique, celle du vécu de nos Dieux seuls tout d’abord, puis avec nous, une fois nés. Il explicite les Grands Mystères et comment nous les avons abordés main dans la main avec nos Déesses et nos Dieux.
Il fortifie, enseigne, réunit, consolide amitié, amour et solidarité et conte aux jeunes Dieux comme aux Humains demain, non seulement toute notre Histoire commune mais aussi celle de la Galaxie, des planètes et de bien des formes de vie toujours insoupçonnées par nos cerveaux limités savamment attaqués chaque jour. Rires, pleurs, émotions, sentiments, le Théâtre s’avère interactif dans le monde d’Ea, toujours vivant, vibrant, authentique.
Sur un plan plus pragmatique, comme par exemple l’organisation des décors ou des costumes, personne ne se pose la question de savoir comment ni où acheter des tissus ou de quelle manière négocier le prix si achetés en gros !
Besoin de nouveaux costumes ? Nos Déesses vont les tisser. Il n’y a rien à acheter ou à négocier.
Besoin de nouveaux décors ? Nos Déesses et Dieux réunissent les matériaux nécessaires et les construisent. Est-ce aussi simple que cela ? OUI.
Toute la technologie du monde d’Ea, particulièrement élaborée, a pour seul coût la matière grise nécessaire à sa manifestation, les petites mains savantes qui bâtissent, fabriquent, confectionnent et l’intelligence qui permet d’unifier tous ces dons.
 

• Maison des Sciences et Techniques Galactiques
Nos Dieux, sous l’égide d’Ea, étudient beaucoup la biologie. Ils travaillent à constamment trouver de nouvelles manières d’adapter les ADN (celui des Dieux et des Humains immortels) aux variations dimensionnelles ou spatio-temporelles.
Ea, toujours très prévoyant, mène ces recherches tambour battant, au cas où. Il veut une adaptation des corps immédiate, sans effets secondaires ni complications.
Toutes ces recherches de haut vol enviées dans toutes les galaxies se déroulent à la Maison des Sciences et Techniques Galactiques.
D’autres études «prioritaires» en cours doivent demeurer secrètes.

 

• La Maison de la Musique et… Ea
Le développement constant de tous les potentiels artistiques possibles constitue également l’une des priorités du monde d’Ea. Nos Déesses et nos Dieux s’avèrent tous de grands artistes, musiciens, peintres, sculpteurs, danseurs, écrivains, poètes, etc, et de très haut vol.
Déjà sur TerrEa, Shiva-Ptah protégeait grandement artistes et artisans. N’est-il pas lui-même le grand Nataraja, grand danseur cosmique pour ne citer de Lui que ce merveilleux aspect ?
Tous les Dieux pratiquent une activité artistique, jouent d’un ou plusieurs instruments, peignent ou sculptent, écrivent ou créent en toutes sortes de domaines parfois étonnants.

 

Ces artistes-Dieux offrent régulièrement de somptueux spectacles et/ou exposent leurs oeuvres dans les Maisons concernées par leur mode d’expression.
Les artistes se produisent toujours d’abord à Duat car comme vous vous en doutez bien, ils attendent là les commentaires toujours sages d’Enki et sa bénédiction, et espèrent aussi ses félicitations.
Enki, Dieu d’éveil permanent, n’incarne pas Uranus pour rien ! Toutes les réflexions dont il gratifie les artistes sont parfaitement entendues. Ils modifient aussitôt leur mise en scène, leur prestation ou leur exposition. Et comme «par hasard», les voilà qui gagnent en talent et énergie.
Ensuite, le même spectacle -ou exposition-, s’organise dans toutes les autres Cités avec les mêmes moyens. Il n’existe pas, comme trop souvent sur Terre, des spectacles réduits pour la province.

 

La Maison de la Musique, sous l’égide du Dieu Amdusias, figure un équivalent très sublimé de nos conservatoires de musique.
Ea s’invite régulièrement ici ou là, à Duat ou ailleurs, par surprise, et offre ainsi de grands moments d’émotions à tous.
Amdusias, incroyable pianiste, représente le plus grand musicien d’Orion après Ea. Ea et lui improvisent ensemble (donc sur deux pianos en même temps) avec une virtuosité exceptionnelle ou proposent un duo violon/piano ou flûte/piano ou flûte/violon…

 

Ea offre assez souvent à ses Déesses et Dieux des concerts de violon où Vivaldi, grand musicien enkiste, se retrouve à l’honneur. Amdusias -qui joue de tous les instruments-, l’accompagne brillamment ainsi que les meilleur(e)s étudiant(e)s des Maisons de la Musique. Je n’ai pu assister à un tel spectacle que quelques minutes du temps d’Orion mais j’en ai émergé vraiment tourneboulée. Outre la stupéfiante qualité des musiciens, la prestance d’Ea, son champ vibratoire exceptionnel représentent un véritable enseignement. Il se dégage de notre Ea tant de choses indéfinissables… Pas seulement pour nous, Humains, mais aussi pour les Déesses et les Dieux, comme s’il venait d’un autre ailleurs, plus lointain que l’imaginable, tel un précieux cadeau de la Vie, pour nous tous…

J’insiste sciemment sur les dons de musicien d’Ea. Le son crée. Il crée les mondes. Le Grand Maître du son se nomme SHIVA. Il vit les sons et la musique à un niveau jamais atteint.

 

L’inventeur de la musique telle que nous la connaissions jusqu’à il y a peu, a pour nom Ea. Il a gratifié l’Humanité des plus grands artistes, notamment pianistes, flûtistes, violonistes et compositeurs durant des millénaires pour ne parler ici que musique.
De même, la mise en mouvement du corps par le yoga, la danse, la danse sacrée et tant d’autres Arts relèvent de la bonté naturelle d’Ea. Les vrais Humains héritent de dons et talents artistiques, littéraires et autres de leur merveilleux Père.
Aujourd’hui, comme pour tout le reste, il ne subsiste plus guère de musiciens dignes de ce nom, de véritables artistes qui nourrissent leur oeuvre de tout leur être puis accouchent d’elle dans les affres et l’extase de l’accomplissement. Leur énergie manque de fluidité, leur corps physique de légèreté et de cette ouverture à la Vie qu’ils possédaient avant, dès la naissance. Nous sommes devenus trop denses, trop enkystés pour vivre pleinement le pur ressenti de l’artiste au sens d’Ea.
Ea incarne le violoniste cosmique par excellence. Le flûtiste cosmique par excellence. Son violon parle, rit, pleure ; sa flûte élève toute vie vers d’immaculés sommets.

Ea devient la musique qu’il joue, qu’il crée au moment même où il l’interprète. Ou plus exactement, Il est la musique, il est le son, la mélodie, le violon et la flûte. Il donne vie, il donne corps à sa création, abreuve de sa puissance créative une forme totalement inégalée. 
Ecoutez La Cetra de Vivaldi, notamment l’Opus 9 du concerto n° 11 en C minor. Puis imaginez Enki la jouer, surtout les Allegro, à Duat, dans une énergie bleutée pailletée d’or. Plus que de la synesthésie, vous devenez l’archet et courez sur les cordes du violon, des ailes chevillées au corps.
Les Quatre Saisons, considérées comme les plus difficiles à interpréter relèvent, pour Ea, d’un simple échauffement, de quelques gammes «violoniques». Paganini aussi semblait habité d’Enki, comme tant d’autres.
 
Ea symbolise l’exemple parfait de la juste harmonie entre l’individualisme et le sens du groupe. Lui, si grand Dieu, joue pour ses Légions. Il pourrait garder ce privilège pour ses amis les plus intimes, sa famille, mais il s’y refuse. Ea estime juste d’agir ainsi. Une autre manière de vivre la solidarité, l’amitié et le partage. Composer un morceau de musique, un opéra, un concerto, un hymne ou simplement une ballade, jouer d’un instrument, chanter, transmettre la beauté de la Vie par la Musique pare le monde d’Ea d’un grand manteau scintillant de lumière, d’amour et de sensibilité.
Son complément, la Danse, exprime les ressentis de la musique et des émotions qu’elle soulève dans le corps physique. Une Maison de la Danse se tient toujours mitoyenne à celle de la Musique.
Les Artistes sont très aimés dans le monde d’Ea et très soutenus.
 
 
Tout est sacré chez Ea. Tout est fête, joie, danse et création, oui, mais sacrée, comme je l’ai déjà dit. En Conscience. Avec cette constante compréhension de ce que tout art révèle à soi et aux autres.
Tout s’avère donc hommage. Hommage à la Vie, hommage à la Nature, hommage à Ea, hommage aux Déesses, hommage aux Dieux, hommage à l’Humanité, hommage, hommage, hommage… vous comprendrez mieux encore pourquoi chez Ea, nous avons tant à fêter! Chaque saison, chaque moment précieux, chaque richesse émotionnelle, chaque sentiment, chaque don, chaque force mérite reconnaissance et hommage. Il n’est donc pas étonnant que Vivaldi ait composé les Quatre Saisons.
Chez Ea, être en vie revient à exprimer constamment et puissamment tous les sentiments, toutes les émotions de la Vie, incroyables en intensité, puissantes en multiplicité, généreuses en luxuriance.
Ceux qui refusent l’émotion se tiennent loin d’Ea.
 
J’ai assisté à une scène incroyable, un jour, alors que j’étais avec l’un de mes guides sur Orion. Voici ce dont je me souviens :
Les Déesses et les Dieux vaquaient à leurs occupations, allaient et venaient. Certains cueillaient quelques fruits, d’autres les dégustaient sur place, des enfants-Dieux couraient et jouaient avec leurs animaux favoris.
Plus haut sur l’avenue, des flots d’étudiants quittaient les différentes Maisons et discutaient par groupes devant les portes, appelant à la détente.
 
Soudain, Ea, surgi de nulle part, très grand, très blond, superbe de classe et de distinction, traversa la vaste avenue sous les regards affectueux des Déesses et Dieux et pénétra dans cet immense jardin public connu pour ses splendides fontaines.
Légèrement adossé contre le tronc d’un chêne somptueux et multi-centenaire, il se mit à jouer du violon.
Aussitôt, tout sembla différent. Le temps s’arrêta, attentif. Un chant s’élevait du violon qui saisissait coeurs et âmes. Sanglots, liesses, tout s’entremêlait en un mouvement qui décollait du sol.
Les yeux clos, tous étions comme emportés, toutes ailes déployées, en d’autres temps, vers d’autres dimensions, d’un portail dimensionnel à l’autre, tels des oiseaux magiques, oiseaux de feu, oiseaux de vie. Et cet ailleurs sur lequel nous voguions était de toutes pièces fabriqué par Ea et son prodigieux talent de violoniste.
Quatre cordes, un archet, toute la puissance d’Ea et nous embarquions sur d’inimaginables navires d’énergie, temples vivants qui voguaient et voguaient encore, évitant des écueils-nuages, chevauchant des vents étranges, courant, volant vers d’autres horizons, encouragés en cela de pizzicatis évocateurs.
 
Derrière Ea, une cascade d’eau crachait des étincelles d’or et d’argent, éclaboussait rocs et pierres, accompagnait un Ea au sommet de son art de clapotis joyeux, de grondements furieux, comme autant d’effets sonores en parfaite harmonie avec ses improvisations. Un spectacle stupéfiant se dessinait peu à peu tout autour d’Ea : une multitude d’oiseaux multicolores, ne bougeant plus ni plumes ni pattes, le bec à demi- ouvert, écoutaient comme hypnotisés, le col mou. Des dizaines de chats rassemblés à ses pieds, flottaient visiblement dans d’autres continuums, le coussinet flasque.
Plusieurs chevaux qui paissaient paisiblement dans les prés mitoyens rejoignirent l’attroupement, les sabots enchantés, secouant en cadence queues et crinières. Des centaines de souris blanches, la moustache béate, cavalcadaient en tous sens comme arrimées -à distance-, à la virtuosité de l’archet. Galvanisé par l’énergie d’Ea, il se mouvait à une telle vitesse sur les cordes bien entrainées, qu’il en devenait invisible. Tous, lévitions dans le monde intérieur d’Ea, pur, glorieux, fantastique.
Les écureuils, estourbis par tant de puissance, tombaient en somnolence. Un renard émergea de sa tanière, le museau illuminé, il semblait sourire. Des nuées de corbeaux, silencieux, arrivaient de toutes parts, la plume luisante. Le coeur débordant de lumière, le corbeau-maître se posa, délicat, sur l’épaule d’Ea. Des centaines de Déesses et de Dieux, attentifs, jouissaient de la virtuosité d’Ea, toujours sublimés, jamais blasés. A pas de loup, ils s’avançaient, s’asseyaient sur l’herbe ou demeuraient debout, figés devant autant de beauté.
Les fleurs, les arbres bruissaient. Comme toujours quand Ea jouait pour la Vie, en hommage à Dame Nature, chaque brin d’herbe, chaque pistil, chaque brindille frémissait. La Vie répondait avec gratitude à un tel présent. Une véritable communion se déployait, animée par un Dieu cosmique immense aux cheveux d’or, aux yeux d’un bleu profond, aux mains de pianiste. Quand au bout d’un long moment, le violon se tut, le silence s’intensifia. Comme si, encore enveloppés d’une telle splendeur, il fallait un temps de récupération aux Dieux, aux Humains, à la Nature elle-même pour émerger d’autant de puissance magique.
Quelques notes et tant de félicité…
Soudain, des tonnerres d’applaudissements résonnèrent à des kilomètres à la ronde.
Ea sourit de ce sourire qui éteint toute douleur, qui apaise toute souffrance, qui nourrit les cœurs d’un amour sans fond.
Des centaines de croassements emplirent les airs ; les oiseaux, la plume à nouveau en action, pépiaient à qui mieux mieux. Les chats, assis, enfin extirpés de leurs limbes, leurs regards lunaires rivés sur Ea, miaulaient à pierre fendre.
D’une seule voix, d’un seul élan, les Dieux scandèrent le nom d’Ea.
Depuis les coeurs, les pattes, les plumes, les pistils et les feuilles, de l’amour et encore de l’amour fusa vers Ea qui éclata de rire.
Cet inoubliable moment se termina -évidemment !-, en banquet où tous furent conviés. Une fois encore, l’éclatante Merveille des Merveilles, EA, avait uni tous les Règnes, affirmant que l’union faisait la force. Et cette force-là sustentait le véritable Amour de toute civilisation digne d’admiration, de respect et d’affection.Cela me rappelle une autre scène moins spectaculaire, inscrite dans les annales akashiques mais toujours avec Ea.
Il s’agissait aussi de musique, mais cette fois-là, Ea jouait de la flûte. Cela se passait en Inde ancienne où se situait la capitale de l’Atlantide.
Assis au sol, au bord de l’océan indien, pas très loin d’une sorte de bois où plusieurs clairières s’enchevêtraient, notre prodigieux Père se mit à jouer. Aussitôt, des nuées d’Humaines et d’Humains le rejoignirent et s’assirent tout autour de lui, trop heureux de bénéficier d’un si beau moment.
Le son aigu de la flûte est aujourd’hui souvent mal supporté par ceux dont les chakras du haut demeurent fermés. Pas pour nous, surtout à l’époque. Nous baignions dans son aura douce et bienveillante. Presque bercés, nous étions proches d’une sortie astrale quand une farandole de petits Êtres de la Nature surgit des bois.
Facétieux et joyeux, ils se mirent à danser au rythme de la flûte, la mine béate, les petites jambes sacrément déliées. Marduk, qui se tenait là avec nous, tapa des mains pour les encourager.
 
 
Ea intensifia le son de sa flûte. Et une fois encore, nous basculions dans un monde merveilleux qui constituait la plus grande partie de notre quotidien, en ces Temps bénis.
Une kyrielle de petites fées aux ailes bleutées, aux boucles souples et dorées, voletèrent au-dessus des lutins et se mirent à danser aussi. Deux scènes charmantes et vivantes se superposaient pour notre plus grand plaisir.
Des nuées d’abeilles prêtaient main forte aux lutins et fées, absolument déchaînés. Leurs bruissements magiques activaient nos chakras supérieurs et offraient à Ea un accompagnement des plus originaux.
 
De la beauté en cadence, de la joliesse en rythme, voilà ce que je contemplais, sidérée. Nous unissions joie et amour pour notre Ea, cette Splendeur qu’aucun mot ne peut ni définir ni dépeindre. Brusquement, je clignais des yeux. Heu… mais… le bois s’animait aussi !?
Les troncs des arbres semblaient plus fluides, plus souples… et ils dansaient !?
Les plus attentifs d’entre nous discernaient déjà au coeur même des clairières des mouvements et des danses, des chants et des vibrations.
Ea se leva et se dirigea vers ces danses invisibles au profane, tout en continuant à jouer de sa flûte, suivi par nous, les lutins et les fées qui ne perdaient pas une seconde de cette fête spontanée.
Ea, debout au coeur de la clairière, canalisait un rideau de lumière ahurissant. Il semblait que tous les rayons du soleil l’éclairaient d’un seul élan. Ce halo quasiment aveuglant rendait son aura visible aux yeux de tous. Une aura de feu, de lumière, de vie, de chant et de danse. Des notes de musique sautaient et cabriolaient dans ses corps subtils, une multitude de flammèches multicolores crépitaient en rythme… J’étais bouche bée.
 
Comment décrire une telle magnificence seulement avec des mots ? La Vie dansait dans Ea. Elle s’affairait là, en lui, tout autour de lui. Il ne faisait plus qu’un avec la Vie, Lui et la Vie, la Vie et Lui. Un accouplement sacré, une fusion unique d’une puissance indescriptible. Mon coeur débordait d’amour pour Ea, ce Père prodigieux, unique, dont nous avons été si brutalement séparés physiquement, mais qui, dans nos coeurs, dans nos âmes, demeure ; et jusqu’à ce jour, continue de toujours vibrer en nous.
Des fleurs que je n’avais encore jamais vues auparavant sur Terre, le pétale pointu violet et jaune soleil, le pistil rouge dansaient sur leurs tiges.
Ea tapait du pied en cadence, réveillant ainsi le «monde d’en-dessous». Toutes sortes de petites bestioles pointèrent leur bout de nez à la surface de la Terre et rejoignirent le concerto auquel nous avions le grand privilège d’assister.
Soudain, la scène disparut lentement. Je la regardais se dissoudre, hébétée. Je n’étais pas encore habituée aux miracles quotidiens que provoquent les activités artistiques d’Ea.
 
• Les autres Maisons – Généralités
Il existe bien sûr bien d’autres Maisons sur la Bételgeuse. Ces Maisons complémentent les études dispensées dans les Temples. Là se font tous les premiers stages pratiques, sur le terrain, avant que les étudiants ne choisissent de trotter sur d’autres planètes ou en d’autres lieux d’Orion.
Chaque Maison de chaque Cité se développe sous l’égide d’une Déesse ou d’un Dieu tutélaire. Une Déesse ou un Dieu tutélaire parraine l’ensemble des Maisons de son domaine de prédilection.
 
 
Comme à chaque domaine d’études correspond une Maison, par exemple au domaine d’études agricoles correspond une Maison de l’Agriculture, au domaine d’études des Sciences astronomiques une Maison de l’Astronomie, etc, chaque Maison est largement pourvue en livres, documents spécialisés, films et autres liés à ses activités spécifiques.
Là encore s’organisent tous les voyages d’études et d’applications pratiques, conférences, stages, initiations la concernant.
Ces Maisons s’avèrent donc fondamentales non seulement dans l’organisation pratique des études et apprentissages des étudiants de tous âges, mais aussi dans les échanges constants et particulièrement enrichissants qu’elles permettent. Beaucoup de débats et après-midis d’étude et de pratique se mettent en place entre élèves débutants et moyens et les plus avancés, entre élèves et enseignants, experts ou toute personne proposant un témoignage enrichissant.
Ces débats sont toujours filmés afin que les futurs élèves plus tard, puissent en profiter aussi. Et intégralement retranscrits sur des sortes de livres- pierres indestructibles que Thot compile précieusement avec ses Légions dans sa prodigieuse bibliothèque.
 
Toutes les Maisons sont inaugurées par Ea en personne qui répand sa puissante bénédiction sur elles. Le Dieu ou la Déesse tutélaire se tient à ses côtés ainsi que toutes les Déesses et Dieux concernés ou enseignant le domaine de la Maison.
Chaque année, à leur date de «naissance» (date d’ouverture), les Dieux pratiquent un rituel de protection afin que toute personne y pénétrant soit d’emblée entourée d’une aura de guérison, de régénération, de protection, d’amour et d’amitié.
 
• Les Maisons du Sport
(ou Maison du corps).
Toutes les Maisons du Sport d’Orion fonctionnent sous l’égide bienveillante et très active du grand Dieu Thor, qui dirige personnellement celle de Duat et se rend régulièrement sur le terrain entraîner ses étudiants. Outre toutes les disciplines sportives possibles, Yoga, Arts Martiaux et Techniques de Combat très anciennes inconnues sur Terre s’y enseignent également.
Ces Maisons proposent enfin massages et saunas.
 
Les Maisons du Sport sont très fréquentées par nos Déesses et nos Dieux, très férus d’activités physiques en tous genres.
L’entrainement au combat plus avancé, impliquant des actions occultes par exemple, a toujours lieu en des endroits clos hors des bourgs ou en pleine nature, très en «hauteur». Notamment pour les Dieux adolescents. Nos Déesses et nos Dieux se montrent très stricts sur la communication des enseignements secrets, des techniques occultes de combat. Cette transmission se fait uniquement lorsque les élèves s’avèrent prêts, sinon cela disperserait la puissance magique de l’enseignement et confinerait à l’acte de trahison.
 
Dans un autre registre, Thor, épaulé par d’autres Déesses et Dieux, organise chaque année des rencontres sportives ou d’Arts Martiaux dans toutes les Cités, dont la principale se tient à Duat.
Les Dieux les appellent «les Grandes Rencontres». Elles ont lieu entre Cités et/ou s’organisent à l’occasion d’une fête ou d’une célébration particulière.
Ces rencontres permettent également une sorte de «sélection naturelle» des participants dont certains par la suite -et s’ils le souhaitent-, peuvent être pressentis pour des missions exigeant force, courage et dépassement de soi, comme l’installation sur une nouvelle planète !
 
Une autre rencontre trimestrielle très appréciée des Déesses et Dieux : les Jeux d’Intelligence. Connaissance, discernement, débrouillardise, endurance, force, solidarité, courage, esprit d’équipe et… intelligence s’avèrent indispensables pour démêler des écheveaux d’une telle complexité.
Certaines fois, ces Jeux d’Intelligence prennent la forme d’une chasse aux trésors à laquelle Thot vient rajouter un «grain de sel énigmatique de haute complexité». Le niveau très élevé des rencontres et les énigmes en question… incompréhensibles à tout le moins pour nos cerveaux humains, suscitent une véritable passion chez nos Déesses et nos Dieux qui, quatre jours durant, cherchent et recherchent la solution.
 
Les vainqueurs, toutes rencontres confondues, se voient toujours très fêtés et honorés, et tout particulièrement félicités par Ea et les Déesses-Mères.
Tous nos Dieux, très «fair play», affichent leur fierté de compter parmi eux des Êtres divins et divines aussi extraordinaires.
Comme de bien entendu, et j’imagine sans surprise aucune pour vous, un joyeux banquet s’ensuit tard dans la nuit sous la présidence d’un Ea débordant de lumière.
 
• Les Maisons de Vie et de Guérison
Elles sont toutes placées sous la bénédiction commune des Déesses-Mères Ninoursag et Damkina. Mais une Déesse ou un Dieu guérisseur gère chaque Maison de Vie de chaque Cité au quotidien. Il existe plusieurs Maisons de Vie à Duat.
187
 
Le nom de ces Maisons se passe de toutes explications. Là sont guéries les blessures et les accidents effacés des mémoires auriques.
De très importants stages, y compris en chirurgie, s’y pratiquent.
 
Certaines races ralliées à Enki de longue date ont séjourné dans les Maisons de Vie et de Guérison, profondément touchées dans leur coeur, par un tel accueil, un tel soutien.
L’un d’eux m’a dit un jour : «C’était un baume cosmique, un baume cosmique d’amour qui a nourri en quelques instants non seulement la totalité de tout mon être physique, dans chaque organe, dans chaque fibre, mais aussi toute mon âme, mes corps subtils. J’ai failli m’évanouir de bonheur, tant ce baume m’a dégagé en quelques instants de décennies de malheurs. Depuis, je n’ai plus souffert ni fait de cauchemars ni crains quoi que ce soit. Je ressens tellement de gratitude. Je ferai n’importe quoi pour Ea et ses Légions.»
 
• Les Maisons des Saveurs
Ici se pratiquent l’art culinaire, l’impact de l’alimentation sur la santé, les capacités de guérison des épices, plantes et autres car nos Dieux les emploient à dessein dans certains plats ou desserts.

 

Cette Maison des Saveurs est toujours bondée par une majorité de Déesses qui adorent échanger leurs recettes, en inventer d’autres et les tester avant d’en faire profiter toute la Bételgeuse.

 

Les plus grands Cuisiniers et Cuisinières sortent de ces Maisons auréolés de «gloire», si je puis dire, et très prisés.

 
Certains ouvrent d’ailleurs des restaurants toujours combles.
Manger fait partie des grands plaisirs de la Vie pour nos Déesses et nos Dieux. Comme leur métabolisme parfait leur permet de manger tout ce qu’ils veulent, de boire tout ce qu’ils souhaitent sans jamais prendre un gramme ou tomber malades, ils ne se privent en rien de ces délices ! Quelle chance !
 
• Les Maisons de l’Agriculture
Je ne vais pas là encore «radoter» sur le rôle de cette Maison qui, vous l’aurez bien compris, accueille tous les étudiants en agriculture et offre des stages intensifs de pratique pour toute Déesse ou tout Dieu qui souhaite approfondir cette discipline.
 
L’étude de l’agriculture chez Ea induit la connaissance appliquée des Lignes Ley, du Feng Shui environ- nemental, de la biologie animale, de la vie animale, de toutes les flores, etc, et du développement des capacités occultes approfondies permettant le contact direct avec l’énergie de Bételgeuse et de tous les petits Êtres de la Nature y séjournant.

 

Un mot des moulins qui existent sur Orion, comme dans l’ancien temps sur TerrEa.
Tout le grain y est moulu à l’ancienne. Nos Dieux mangent complet et non raffiné.
Prenons l’exemple des champs de blé qui s’étendent, comme pour tout sur la Bételgeuse, à perte de vue : toutes les moissons se font à la main à une vitesse hallucinante (n’oubliez jamais que nos Dieux se déplacent et se meuvent à la vitesse lumière voire au- delà s’ils le souhaitent) avec des faux qui coupent des dizaines de mètres à chaque fois.

Ce sont les précieux petits Gnomes du blé qui lancent le coup d’envoi des semailles comme des moissons. Ils préparent la terre aux semailles et le blé à la moisson.

 

• Les Maisons des Animaux
Il s’agit bien évidemment des cliniques vétérinaires de haut vol où les animaux sont soignés sur les plans physiologiques et occultes. Eux aussi ont des corps subtils et des chakras.


Viewing all articles
Browse latest Browse all 200

Trending Articles



<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>