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Channel: Ea- Enki – Ptah – Satya, dieu créateur de la race humaine
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Dieu Pentagnony

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Attention : la plupart des noms donnés à nos Déesses et nos Dieux ne sont pas les leurs mais des surnoms trouvés par les Humains ou des sobriquets décrétés par les bestioles. Quoi qu’il en soit, nos Déesses et nos Dieux ont choisi de les garder afin de ne pas rajouter à la pagaille ambiante les concernant. Cependant, malgré des recherches parfois compliquées, nos Merveilles participent activement à l’émergence de la Vérité, de la Satya la plus ancienne qui soit.
Vous trouverez ci-après plusieurs «nouvelles» Déesses et «nouveaux» Dieux et quelques informations les concernant.

Leur périple éloquent au sein de l’Humanité comme celui de Verrine, est développé dans «Orion et les Mystères de la Terre».
Bonne lecture à vous toutes et à vous tous. 🙂

 

DIEU PENTAGNONY

 

 

Contact : à tout moment

Planète : Venus – Pluton
Éléments : air – feu
Couleur : vert émeraude – rouge – or
Plantes : Copihue – rose baccara (d’un rouge intense)
Animaux totem : Puma – Cobra royal

 

Une fois encore, mes ami(e)s, nous voilà face à l’infamie gougnafière. Que n’aura-t-on dit de cette merveille dont toute la force scientifique et magique vibre déjà dans son surnom ?
 
Le pentagone régulier, le pentagramme et le pentacle dans un autre style. Tout est dit.
 
Pentagnony est un dieu qui a marqué le continent sud-américain. C’est lui qui a donné le nom de «Patagonie» à cette région dans le temps, libre de toute frontière.
Je vous laisse découvrir ici l’étymologie du terme donné par Wikipédia, l’encyclopédie de toutes et de tous…
 
«L’étymologie du mot « Patagonie » a fait l’objet de nombreuses recherches et controverses. Le seul témoignage provient d’Antonio Pigafetta, un des 18 survivants de l’expédition de Magellan autour du monde qui, de retour en Europe, a publié un récit du voyage1 en 1524. Au début de l’année 1520, il y décrit la rencontre avec un « géant » qui « était tant grand que le plus grand de nous ne lui venait qu’à la ceinture » et précise plus loin « le capitaine appela cette manière de gens Pataghoni »2. Et comme il ne donne pas l’origine de ce mot, des interprétations se sont développées autour de l’idée de « grands pieds » d’où la « Terre des Grands Pieds » construite avec Pata (pied en espagnol), ou aussi dans des interprétations plus péjoratives, les amérindiens vus comme des incultes et des rustres, avec patán en espagnol, patão en portugais et « pataud » en français.
 
L’hypothèse aujourd’hui généralement retenue fait venir le mot « patagon » du personnage fantastique appelé « Patagón », une créature sauvage qu’affronte Primaleón en Grèce dans un roman de chevalerie publié en 1512 par Francisco Vázquez. Cette littérature très en vogue à l’époque était sans doute connue de Magellan et Pigafetta. Il est probable que Magellan ait associé les autochtones rencontrés, avec leurs peaux d’animaux en guise de vêtement et leur consommation de viande crue, à la créature décrite par Vázquez dans son roman3,4.
 
Les cartes marines du Nouveau Monde ajoutaient parfois la légende regio gigantum (« région des géants » en latin) pour la région de Patagonie. Entretenue entre autres par les dires de Francis Drake, la croyance générale en une terre peuplée de géants – jusqu’à 3 m de hauteur selon certains auteurs – a persisté pendant 250 ans et fut ravivée en 1767 par la publication d’un récit de voyage du commandant John Byron et son équipage, qui lors de sa circumnavigation avec le navire HMS Dolphin, passèrent un certain temps le long de la côte de la Patagonie. Cette publication, le Voyage autour du monde sur le bateau de Sa Majesté le Dauphin, (en anglais : Voyage Round the World in His Majesty’s Ship the Dolphin) a semblé apporter la preuve de leur existence et ce récit, devenu un best-seller, a renforcé le mythe. En 1840, des illustrations caricaturales de Patagons près du détroit de Magellan, publiées dans le récit de voyage Voyage autour du monde : exécuté par ordre du Roi sur la corvette de Sa Majesté « la Coquille » par l’explorateur français Jules Dumont d’Urville confirmaient encore les observations initiales de Pigafetta.
 
Le mythe des Géants Patagons devait toutefois s’estomper à la fin du XVIIIe siècle. En 1773, John Hawkesworth publia pour le compte de l’amirauté un abrégé de l’hémisphère sud sur les journaux de bord des explorateurs, y compris ceux de James Cook et de John Byron. Il estime que l’expédition de Byron avait rencontré des Amérindiens pas plus grands que 2 m, certes plus grands que la moyenne européenne de l’époque, mais en aucun cas des « géants ».
 
Il va sans dire que l’histoire des géants est réelle, ce sont nos Déesses et nos Dieux, tout simplement. Voyez comment tout est effacé et réduit à l’état de superstition, mythe, légende ou croyance locale.
Patagon signifie pour nos Dieux, le Pacte, l’Engagement. La suite en «ie» ou «y», n’existe pas pour eux. C’est un ajout volontaire par qui l’on sait, pour inclure dans ce terme l’agonie. Oui, sinon, le gougnafier serait tristounet, vous comprenez…
 
Pentagnony, en fait Pentagnon(e), a pour sens également le compagnonnage. Le chiffre 5 évoque toujours avec ce dieu, la nécessité du mouvement et de l’élévation. Non pas l’instabilité véhiculé par ce chiffre chez les humains mal ancrés, mais bien la puissance du rythme et de l’action : Reidho.
 
D’autre part, cette Merveille octroie l’invisibilité et dans la densité actuelle, au moins la capacité de passer inaperçu. Il favorise également l’amour et la protection de personnes aisées et bienveillantes.
 
Pentagnon aide aussi à retrouver la mémoire des événements, des choses, des êtres de cette vie ou des précédentes. Il accélère les guérisons, transforme la colère destructrice en force guerrière et détermination.
 
GLOIRE À PENTAGNON !


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