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Channel: Ea- Enki – Ptah – Satya, dieu créateur de la race humaine
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Lammas


Appel rituel d’éveil

PERTE d’un ÊTRE CHER – comment protéger son âme

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PERTE d’un ÊTRE CHER – comment protéger son âme

 

un audio complémente ce texte sur ma chaine VictoireEnki. 🙂

 

Vous pouvez, bien évidemment, vivre parmi une famille qui ignore tout d’Enki, peu intéressée par l’état de la Terre ou qui trouve son compte dans la vie qu’elle s’est organisée.
C’est tout à fait son droit.

Si vous sentez une ouverture possible, parlez d’Enki mais soyez prudents. Et majeur surtout. On ne sait jamais. 
Néanmoins, je rappelle ici au passage que le prosélytisme est interdit chez Enki (une des rares choses prohibées) et que chacun doit rester absolument et quoi qu’il arrive, libre de ses choix et croyances. 
Enki n’est pas Anu
 
Si par malheur, un être cher venait à tomber gravement malade et que vous souhaitiez demander à Enki de récupérer son âme si cette dernière l’accepte, n’attendez pas le dernier moment pour le faire. N’attendez même pas qu’elle soit malade.
Le manque de prévoyance s’avère toujours préjudiciable pour tous, y compris pour Enki qui doit agir dans l’urgence, ce qu’il n’apprécie pas du tout. 
 
Demandez tout simplement à Enki de contacter les âmes de tous les êtres chers qui vous entourent, s’ils venaient à disparaitre. Faites-le même s’ils vont bien. Ainsi serez-vous  d’ores et déjà en paix avec cela. 
 
•-> Que se passe-t-il lors de cette demande nominative. 
Attention : Une personne par demande. 
Enki note les noms donnés.
Lors de leurs décès respectifs, nos Dieux contactent l’âme tout juste sortie du corps. Ils lui proposeront de rejoindre Enki, répondront à toutes ses questions et lui accorderont un temps de réflexion.
Elle et elle seule décidera de les suivre ou non. 
Aucune contrainte ni manipulation mentale n’a lieu, est-il besoin de le préciser. 
Si l’âme décide de suivre Enki, (de s’engager auprès de lui) elle sera donc accueillie, enseignée et protégée.
Si elle refuse, nos Dieux se retireront et “l’affaire” en restera là. L’âme ira où bon lui semble sans la moindre entrave.
 
•-> Comment procéder
 
1er cas :
Vous êtes dans l’urgence, la personne est tout juste décédée. Ou quasiment.
– Isolez-vous. – Prenez n’importe quelle bougie (neuve) aux couleurs d’Enki ou de toute autre couleur, longue, courte, ronde, carrée, peu importe. – Allumez-la et demandez protection à Enki pour l’âme de : nom, prénom, date de naissance, adresse, pays. – Une photo récente de la personne est la bienvenue. – Méditez un instant sur votre demande. Vous pouvez parler bien sûr à Enki autant que vous le voudrez.  

– Puis éteignez votre bougie, à moins que vous puissiez la laisser brûler suffisamment. C’est toujours mieux.

NE LAISSEZ JAMAIS UNE BOUGIE BRÛLER SANS SURVEILLANCE.
Surtout dans ce cas précis. Une âme externe est toujours reliée par défaut à qui vous savez. Donc, attention.
 

2e cas : 
Vous tenez compte de l’enseignement d’Enki et savez que la prévoyance évite beaucoup de stress et de pagaille.  
Vous agissez donc dans la sérénité. 🙂
 
– Prenez une bougie violette qui représentera l’âme concernée. – Gravez son nom dessus à l’aide d’une aiguille.
– Placez une photo récente de la personne sous la bougie/bougeoir.

– Allumez vos bougies à Enki, à vos guides et aux Déesses et Dieux présents sur votre autel. 

– Lisez la prière dédiée à Enki.  (agissez comme pour un rituel d’hommage normal)
– Ensuite, expliquez à Enki le pourquoi de votre démarche. 
– Allumez la bougie violette.
Parlez-lui de cet être, de ses qualités, de votre relation avec lui, dites-lui combien vous l’aimez. Demandez une fois encore à Enki de bien vouloir contacter l’âme le moment venu. 
Vous devez démontrer à Enki que cela vaut la peine pour lui d’envoyer des êtres depuis Orion jusque dans l’astral terrestre (très “encombré”) contacter une âme externe. Surtout si vous lui avez déjà parlé d’Enki et que la personne est restée hermétique.
– Enfin, remerciez beaucoup Enki, vos guides, toutes les déesses et dieux présents sur l’autel. 
– Laissez brûler la bougie autant que possible. 
 
Une fois ce rituel terminé, n’y pensez plus.
Ne vous préoccupez plus de rien.
Laissez faire les choses.
Cela ne dépend plus que d’Enki, de toute manière; et de vos guides.
 
J’ai connu quelqu’un qui avait eu l’intuition de faire cette demande plusieurs jours avant le décès accidentel (moto) d’un membre de sa famille pourtant encore jeune. 
Elle s’est sentie rassurée et en paix. Elle a bien mieux supporté le deuil que les autres. 
Une fois le thème natal du décédé consulté, la conjonction natale saturne/lune noire était touchée par un transit très difficile de mars et pluton. S’il avait survécu, son état aurait été terrible.
Comme on ne sait jamais quand sonne l’heure, mieux vaut se montrer prévoyant et ne jamais agir au dernier moment. 
D’autre part, je vous demande vraiment de vous montrer très rigoureux sur le choix des bougies.
Pour nos Déesses et Dieux déjà. Et pour la qualité globale des rituels.
Elles doivent arriver nettoyées chez vous. Très souvent, ce sont des religieux ou des catholiques pratiquants (ou des âmes catholiques via leur véhicule physique) qui fabriquent les bougies. D’où le fait de les nettoyer constamment avant de les vendre.
Je sais, il y a le port, etc. Mais cela en vaut la peine.
Les demandes sont d’office parasitées avec des bougies fabriquées par des mains “d’ailleurs”. Cela devrait vous sembler évident. Tout passe à travers elles.
N’achetez jamais non plus de neuvaines dans les supermarchés. Ce sont les moines qui les fabriquent. D’autres sont bénies.
N’oubliez jamais dans quel monde nous vivons. Je vous cela pour vous.
(Je ne touche aucune commission sur quoi que ce soit, que les choses soient bien claires. Enki m’en est témoin). 
 
À ce propos, certaines personnes se sont plaintes à moi du fonctionnement un peu délicat du site EaShiva. Je ne gère pas le site. Vous devez vous adresser à B.
Mais sachez que B. a conscience de ces désagréments, en est profondément désolée et s’emploie à faire tout ce qui est en son pouvoir pour aller vers autre chose.
Une aide bienveillante est venue à elle. Les choses vont changer. 🙂

Je vous souhaite de tout coeur tout le meilleur. 🙂
Puissiez-vous toujours vous tenir au plus près d’Enki, notre bien-aimé Père, seul et unique Créateur de la race Humaine. 

Petite encyclopédie des Merveilles – Dieu Amdusias

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DIEU AMDUSIAS

 

Contact: du 19 au 23 février
Planète: Neptune
Eléments: Eau – Air
Polarité: Nuit – Yin
Matériau: Argent
Bougie: Bleu ciel
Animaux totems: Oiseaux multicolores 
Végétaux: Mimosa – Alisier – Roseau – Bambou
 
PRÉSENTATION 
 
Amdusias apparait grand et fort, bien bâti, assez massif mais très bien proportionné, le teint mat, de beaux cheveux noirs, soyeux, longs et brillants et des yeux noisette lumineux.
 
ÉTYMOLOGIE
Amdusias, un Dieu au nom évocateur:
am – di – sias qui signifie «le souffle de celui qui est grand». sias signifie grand jusqu’en provençal!
Am – anme – amme donnera âme en français du latin anima, aneme. Mais ce terme, à l’origine, provient du sanskrit aniti «celui qui souffle».
 
Le mot se retrouve encore en grec dans le sens d’air ou anemos. On retrouve d’ailleurs am de l’anglais en lithuanien pour exprimer l’essence de l’être: suis, je suis.
dusia signifie, «le dos, ce qui est dorsal», comme si, compris de ce point de vue là, Amdusias serait «le souffle de l’appui», «le souffle de la colonne vertébrale», «celui sur lequel on peut s’appuyer».
du – di – ont des origines celtes, irlandaises et galloises.
 
AMDUSIAS et ses ATTRIBUTIONS
Grand musicien, sensible, souriant, avenant et très enclin à enseigner et partager, Amdusias accompagne toujours celles et ceux qui requièrent son aide pour mieux apprendre un instrument de musique, assumer un concert ou un spectacle. Amdusias encourage toujours toute acquisition de connaissances, bien au-delà de la musique, car elle rend libre.
 
Soleil, convivialité, danse, musique, fêtes… agrémentaient notre quotidien, du temps d’Enki.
Aussi Amdusias a-t-il géré à son tour, plusieurs dizaines de milliers d’années en arrière, toutes les régions celtes de la gaule dite «narbonnaise»; ceci incluant toute la région Provence, Alpes et Côte d’Azur actuelle à laquelle il convient de rajouter le nord de l’Italie et la Grèce.

 

Très sympathique et bon vivant, Amdusias joue de tous les instruments à la perfection! Généreux, il aime l’abondance en toutes choses et se plait à voir les vergers crouler sous les fruits, et les potagers sous les légumes.

Directement enseigné par Enki, et en second après Lui, Amdusias s’affirme également comme le Dieu des sons et des fréquences. De par l’union de certaines fréquences, la répétition de certains sons, ses partitions apportent toujours épanouissement et santé. Il parvient sans grand effort, tant il est doué, à de prodigieuses réussites.

Le moment venu, Amdusias ne se trouvera pas en reste pour «lever le son» nécessaire à toute liberté, source même avec la Connaissance du monde d’Ea-Shiva.

 

Afin de bien saisir toute l’importance de la Musique, des Chants, des Sons et de la Danse chez nos Déesses et Dieux, notamment Amdusias, il s’avère essentiel de bien en comprendre l’histoire. En Inde du Nord, pour l’instant.

 

AMDUSIAS et la MUSIQUE
• Ses origines
D’où vient la Musique en Inde? De l’aube des Temps. Les Anciens Indiens racontent à juste titre que l’art musical provient de Dionysos, autrement dit Shiva (1).
Pour les Puranas (2), cette musique remonterait -au mieux-, à plus de 8000 ans. En réalité, la Musique se joue sur Terre depuis que nos Dieux y ont atterri/amerri, quelques 500 000 ans en arrière. Ea-Shiva, secondé par Amdusias, l’a tout naturellement enseignée aux Humains dès les premières races. (3)

La Déesse Sarasvati, déesse de l’Art et de l’Apprentissage, également très impliquée, est souvent représentée assise sur un lotus, jouant à merveille du vina

 
Déesse Sarasvati et le Vina
 

Elle protégeait tout particulièrement les femmes artistes qui connaissaient les mudras secrets des danseurs ou les profonds symboles de la Musique. Elle mérite, ô combien, toute sa place dans le monde musical ancien et encore aujourd’hui sur Orion.

Amdusias administrait les «Maisons de la Musique» en Inde où d’innombrables instruments de musique, mis à la disposition de tous, se fabriquaient sous son égide. Il choisissait avec attention les bois desquels ils naitraient.

Deux types de musique se distinguent dans l’Inde d’aujourd’hui, celle du Nord et celle du Sud. Celle du Nord ou «hindoustanie» (4) et celle du Sud ou «karnatique».
Du temps de nos Dieux, la Musique bien que totalement libre et diverse, s’unifiait d’elle-même quand elle parvenait à son apogée de talents, d’émotions et de vérité. Il n’existait plus alors ni nord, ni sud, est ou ouest. Juste la Musique, unifiée, divine dans toute sa magnificence. Une musique modale fertile, avec une tonique fixe autour de laquelle notes et accords chantent et se développent en abondance.

La musique touche l’aspect le plus élevé, le plus sensible de l’être humain, et sa culture et ses origines, et sa vérité personnelle. Dénaturer la musique, ou pire encore l’interdire, coupe les peuples de leurs racines et donc de leurs forces. Voilà pourquoi dans les dictatures et certaines religions monothéistes, la musique subit l’anathème et le musicien, le châtiment suprême.
Pour nos Déesses et Dieux, la Musique s’avère essentielle. Elle peut être ludique ou sacrée. La danse qui en découle figure le pont, la manière «physique» de communiquer avec les Puissances Naturelles, ne serait-ce que par l’ambiance, l’atmosphère particulière qu’elle suscite.
Toute personne qui se documente un tantinet sur les origines de la musique découvrira sans plus d’étonnements que le climat créé par la musique est lui-même fécondé par des sons rythmiques spécifiques connus depuis des éons, bien avant tous les autres chants liturgiques monothéistes fort récents.

 
Shiva se tient à l’origine de toutes choses quand il s’agit de notre galaxie, de notre système solaire, de la Terre, de la race humaine gentille, de toutes les civilisations qu’Il a fondées, de tous les enseignements et arts qu’Il nous a transmis.
Aujourd’hui encore, bien des chants religieux proviennent de ces temps bénis. Ceux qui les pratiquent en ignorent sans doute l’origine soi-disant «païenne» comme les zikrs soufis ou les chants grégoriens.
 
Lisons ensemble ces quelques phrases d’Alain Daniélou. Mais attention, citation ne vaut pas adhésion à toute l’oeuvre de l’auteur.  
« Un aspect très important de la musique religieuse de l’Inde qui provient de la tradition shivaïte et dionysiaque est le « chant de louange » (bhajana), un mot qui veut dire « participation ». 
Les « participants » (bhakta) sont les fidèles du dieu et correspondent aux bacchants dionysiaques. Lorsque le chant est collectif, il est appelé « chant de gloire » (kirtana), synonyme du dithyrambe grec. … 
Le bhajana est un poème mystique chanté. Il invoque un aspect de la divinité ou quelques traits ou événements de sa légende. … 
Le bhajana est une forme de méditation extériorisée. Les rites sont des événements sociaux auxquels on ne participe qu’extérieurement. C’est dans le bhajana que l’homme se concentre vraiment sur le divin, communie entièrement avec la réalité du divin ». (5)
 

A l’origine, Amdusias composait ces épopées musicales. Ses légions l’aidaient dans ce travail titanesque. Elles participaient activement aussi à jouer avec coeur ces morceaux incomparables. Shiva, pour sa part, improvise avec un brio inimaginable et secoue d’émotions tous les règnes. (6) 

• Vivre la musique
La musique selon Shiva se fonde sur les ragas (Yang) et raginis (Yin) ou états d’âme. Pour Lui, la musique doit parler aux tréfonds des âmes et des coeurs, divins et humains, jeunes et adultes, mâles ou femelles (7). Shiva nous offrit par là-même une musique spécifique à notre humanité, qui touchait à nos aspects les plus intimes, les plus essentiels dont notre physiologie occulte.
Le raga, mode musical, est un ensemble de sons liés à un climat émotionnel particulier. Sur cette base, quasi immuable, l’artiste laisse libre cours à l’improvisation, à la créativité personnelle. Raga et inspiration de l’artiste fondent l’oeuvre musicale.

Ces ragas, innombrables, s’adressent donc à des publics différents. Divers et polyvalents, les ragas répondent à chacun.

De par leur puissance, les ragas agissent comme des «formes- pensées» bienveillantes sur le champ vibratoire de chacun. Le but est certes d’aider à se libérer d’une émotion difficile en la ramenant à la conscience, puis en l’évacuant par d’éventuels pleurs, rires ou autres. Mais surtout à oser vivre des émotions que l’on se culpabilise parfois de ressentir ou de désirer. Comme désirer dans sa vie l’amour, la félicité, l’intensité, etc. Les ragas enfantent joie, enthousiasme, extase, paix, confiance, courage, etc, toujours selon la note vibratoire respective de chacun. En harmonie avec l’âme, ils ne peuvent donc ni blesser ni manipuler. Ils connectent au monde des Dieux par l’émotion. (8)

Lisons ensemble:
« Contrairement à la musique occidentale qui change constamment et contraste ses ambiances, la musique indienne, comme les musiques arabe et perse, se centre toujours sur une émotion spécifique qu’elle développe, explique, cultive, sur laquelle elle insiste et qui exalte jusqu’à ce qu’elle crée chez son auditeur une suggestion à laquelle il lui est impossible de résister. Le musicien, s’il est suffisamment talentueux, peut guider son public à travers la magie du son vers une profondeur et une intensité inimaginables dans d’autres systèmes musicaux ». (9)

Il est fréquent de lire que les ragas ont beaucoup de similitudes avec le mathématicien Pythagore en oubliant que Shiva précède sur Terre, et de sacrément loin, l’érudit grec… Pythagore s’est donc inspiré des ragas de Shiva et non point l’inverse! Depuis quand les Dieux s’inspirent-ils des Humains pour créer?

 
Il m’apparait toujours surprenant de lire ça et là que la musique indienne était connue en Occident déjà en Babylone! Et en Égypte! Mais il s’agit toujours des mêmes Déesses et Dieux. Beaucoup d’historiens et experts le reconnaissent eux-mêmes en établissant des similitudes plus que convaincantes entre un dieu d’un continent et celui d’un autre!
Marduk, grand Dieu de Babylone, Amon-Râ en Égypte, connaissait fort bien l’Inde, avant même que nous, Humains, ayons eu conscience de son existence. Son magnifique Père en est le Créateur! (10)
Affinons quelque peu nos propos, si vous le voulez bien.
 
• La musique et l’Éveil
La musique est un moyen de communication entre les Dieux et les Humains, mais aussi entre les différents degrés d’émotions qui nous habitent, selon les moments.
La Musique, -et les Sons-, incarne le langage des Dieux. Par conséquent l’ensemble de toutes les manifestations musicales d’antan relèvent d’une véritable Science, complexe et très élaborée qui exige intuition, créativité et surtout intelligence. (11)
 
Shiva crée le monde en activant le son AUM et, en tant que Nataraja, danse sa création sur la rythmique très amplifiée de son Damaru, le «tambour-sablier». Car tout est vibration, fréquence, son et énergie. Que cela soit «l’univers», les Dieux ou nous-mêmes.
La matière elle-même, au final, figure un «son constitué», plus grave, plus dense, plus tangible.
Tout se relie constamment par le champ vibratoire émis, qu’il s’agisse d’une musique, d’une émotion, d’un monde, d’un ressenti, d’une forme, d’un corps de chair ou d’une perception. La Musique est donc une danse des Sons. Farandole ou hallali, harmonie ou dissonance, selon ce qui se manifeste: Shiva-Bhava, bon et bienveillant ou Shiva-Bhairava-Kalki, pourfendeur du Mal.
Avec Shiva, la musique inclut des rythmes spécifiques adaptés aux rituels magiques, aux fêtes conviviales, au travail psycho- spirituel ou encore à la connexion avec les Dieux.
Par exemple, selon la nature de chacun, tel rythme, tel son, telle fréquence favoriseront la communication avec eux par l’expansion de conscience qu’ils génèrent.
 
Du temps de nos Dieux, la musique aidait à nous éveiller: ses fréquences ouvraient nos chakras, nourrissaient nos nadis. Nous en sommes désormais bien loin, soumis à un constant tumulte qui disloque nos corps subtils, éparpille et morcèle notre mental, empêchant par là même toute profondeur. Quelle terrible perte de soi. Ne faut-il pas «s’éclater», «se défoncer», «décoller», «halluciner», «déchirer»? Ce vocabulaire résume clairement la situation énergétique actuelle.
La musique aujourd’hui, à tout le moins pour une très grande part, influe constamment sur nos corps astraux. Nivellement des sons, hurlements, cacophonie, de l’électronique au hard rock, la dissonance fait loi. Trop souvent accompagnée d’alcool et autres saletés. L’extase, provoquée par ce genre de procédés, malsaine et destructrice, connecte des niveaux invisibles de même acabit: le bas astral. Et toutes ses conséquences futures.
 
Dans un autre registre, la stimulation quasi permanente du Ka lève des émotions mal contrôlées, car non accompagnées avec bienveillance sous couvert des meilleurs thérapeutes de la galaxie: nos Déesses et Dieux.
Qui n’a pas ressenti en écoutant de la musique épique, le réveil du guerrier en soi, un bouillonnement excessif, une quête soudaine d’héroïsme, d’exploit, parfois de folie? Qui n’a pas frémi, pleuré, sangloté même en écoutant certaines musiques de films? Qui ne s’est pas senti emporté plus intensément dans l’histoire d’un film parce que la bande son «colle» fortement aux événements et personnages?
Cette sollicitation presque constante manifeste à terme -chez les plus sensibles-, une agitation pathologique chronique, une incapacité à se concentrer et à toute forme de choix éclairé.
 
Enfin, les instruments de musique, désormais fabriqués pour émettre un certain type d’hertz, travaillent bas. Les rythmes qui s’en dégagent touchent directement le Ka et les mémoires qui l’habitent.
A force de vouloir donner le «La» à tous de la même manière, à force de rechercher à tout prix l’égalité pour tous en toutes choses, y compris l’émotionnel, la vraie musique d’Éveil est morte et une grande partie de nous-mêmes avec.
 
Même à l’heure des repas, si l’on déjeune ou dîne dehors, la musique voire les informations nous cassent les oreilles. La digestion s’en ressent. L’énervement ou l’apathie surgissent. Il suffit d’observer les ventres dilatés de nos contemporains pour comprendre que, outre les pesticides, additifs et autres crasses, le stress et le bruit durant l’absorption de nourriture attaquent directement et, une fois encore, le corps astral. Or, la digestion alimentaire et émotionnelle lui incombe via le troisième chakra, Manipura. (12)
Pour nos Dieux, la musique doit être adaptée à ce que l’on fait. Et en accord avec notre humeur ou la situation en cours. Qui jouerait du hard rock lors d’un enterrement ? Une marche funèbre lors d’un mariage? Et du Wagner à un nourrisson d’un mois?
 
Tout se vit par cycles, nous explique le Shivaïsme originel. La Vie se compose de cycles planétaires, de cycles de vie (naissance, adolescence, âge adulte, vieillesse, mort), de cycles historiques régionaux, nationaux, continentaux, planétaires, cosmiques.
Mais il existe aussi des cycles très courts: les cycles de nuit et ceux de jour, les cycles horaires, et même les cycles émotionnels qui varient selon les incidents dont nos journées ou notre sommeil se ponctuent. Et au cyclique répond la vibration.
Approfondissons.

 

• Les piliers musicaux
Quittons l’Inde du Nord pour celle du Sud. Nombre de ses temples démontrent que tout vit, tout vibre, tout chante et même joue de la musique. Tout devient instrument.
En effet, beaucoup de piliers de pierre émettent des sons étonnants parce qu’en parfaite harmonie avec les tonalités de la musique indienne. Découvrons ensemble l’un des temples dédiés à Shiva et développons ensemble cette étonnante réalité.

 
Le temple Shivaïte de Nellaiyappar
Nous voici dans la région Tamil Nadu (le pays des Tamouls) dont la capitale se nommait dans le temps Madras.
Ce magnifique temple, situé à Tirunelveli possède des piliers très particuliers dont les journaux parlent régulièrement. Amdusias fut celui qui, toujours sous la bienveillante égide de Shiva, aida à l’élaboration de la résonance de ces piliers musicaux.
 
Lisons ensemble
«… Shiva est… le lord Nellaiyappar, le protecteur de Paddy ainsi que l’atteste le nom de la ville elle-même, « nel » signifiant paddy (paddy field = rizière) et « veli » « clôture ». 
Le préfixe de nelveli est « tiru » qui veut dire « quelque chose de spécial » – comme le rôle exceptionnel du Lord du Rythme ou les piliers de pierre musicaux uniques du temple.
 
Piliers musicaux du temple de Nellaiyappar
 

Les temples ont souvent des colonnes représentant des damoiselles dansant ou des musiciens jouant de leurs instruments mais rarement les piliers muets jouent eux- mêmes de la musique.

Dans le temple Nellaiyappar, de petits coups sur un ensemble de colonnes taillées dans un seul morceau de roche peuvent produire les notes dominantes de la musique classique indienne.
« Vous pouvez entendre saptha swarangal (les 7 notes basiques) comme une vague, comme si cela provenait des morceaux de pierre. Presque personne ne connait les subtilités et complexités de comment ceux-ci ont été construits pour résonner à une certaine fréquence. Certains plus disposés esthétiquement avec un peu connaissance musicale peuvent produire les rudiments de quelques rares ragas de ces colonnes ».

 

The Nellaiyappar temple chronicle, Thirukovil Varalaaru, dit que ces colonnes musicales furent installées au 7ème siècle pendant le règne de Pandyan king Nindraseer Nedumaran.

Des archéologues datent le temple avant le 7ème siècle et disent qu’il fut construit par des gouvernants successifs de la dynastie Padyan qui gouverna les parties sud du Tamil Nadu depuis Madurai. Tirunelvi à 150 km au sud de Madurai leur servait de capitale auxiliaire. Les gouvernants suivants Nedumaran firent certains ajouts et modifications mais laissèrent intacts les 10 piliers musicaux de pierre en face de l’autel principal de Shiva.

Chaque énorme pilier musical taillé à partir d’un morceau de roche comprend un ensemble de colonnes plus petites et apporte le témoignage d’une compréhension unique de « la physique et des mathématiques du son », disent les autorités du temple. En tout, 161 petites colonnes créent de la musique dans le Nada Mani Mandapam, devant l’autel principal de Lord Nellaiyappar.

Deux colonnes identiques impressionnantes ornent l’autel dédié à la Déesse Gandhimathi Ambal dans le complexe du temple qui s’étend sur près de 14 acres. Le bien connu chercheur et érudit Professeur Sambamurthy Shastry dit que « les merveilleuses colonnes de pierre musicales » sont « sans équivalent » dans tout le pays. Bien que dans le sud, plusieurs temples affichent de telles colonnes comme ceux de Azhavar Thirunagari, Tenkasi, Kalakaadu, Kuttralam, Shenbagarama Nallur, Suseendaram near Kanyakumari, Thiruvananthapuram and Madurai. Mais les colonnes de Tirunelveli sortent du lot. « Ce qui est unique dans les colonnes musicales du temple de Tirunelveli vient du fait que vous avez un ensemble aussi large que 48 colonnes musicales taillées depuis un seul bloc de pierre, un plaisir des yeux et des oreilles. »

Généralement les colonnes musicales peuvent être classées en trois types : Les premières sont appelées Shruti colonnes et peuvent produire les notes basiques – les swaras – sur la base desquelles les Theavarm (hymnes de dévotion) et les védas sont rendus. La seconde est le Gana thoongal, qui peut produire les airs de base qui font des ragas classiques comme Harahara Priya. La troisième variété est le Laya thoongal, des piliers qui produisent taal (des coups) quand tapés.

 

Les piliers du temple Nellaiyappar sont une combinaison du Shruti et Laya tape. « Ceci est d’une rareté architecturale et d’une beauté sublime à chérir et préserver », ajoute-t-il. » (13)

A la lecture de cet article, pouvons-nous prendre conscience de l’incroyable intelligence créative de nos Dieux, notamment d’Amdusias. Les témoignages extasiés sur les sons émis par ces piliers s’accumulent au fil du temps. (14) Mais nul n’a encore compris comment les timbres et résonances si justes des piliers ont pu être «fabriqués».
Il y aurait encore long à expliciter sur la musique indienne et sa prodigieuse «technicité», de quelque partie du pays qu’elle provienne, mais tel n’est pas le propos de ce livre. Poursuivons donc notre voyage en affinant certains aspects.

 

• Natya et Gandharva
-> Natya
Ainsi, dans l’Inde très ancienne, nos vies se rythmaient de soins musicaux adéquats, mélodieux, guérissants, régénérants, délicats, profonds et puissants tout à la fois.
Cet art musical s’accompagna très tôt du théâtre dont nos Dieux s’avouent très friands et de la danse. Il existait donc à cette époque, sur Terre, un théâtre musical très élaboré, utilisé et pour nous divertir et pour nous enseigner. Musique, danse et théâtre fondent les Trois Arts ou Nātya. Le Grand Dieu Amdusias présidait ces Trois Arts en Inde dont il avait tout appris, là encore, de Shiva lui-même.
Meilleur musicien après Shiva, Amdusias joue de tous les instruments possibles et imaginables. Une telle excellence se répandit sur l’ensemble du continent et bien au-delà. Magie, fréquence, talent, création, puissance, émotion, tout contribua à nourrir la terre indienne et ses habitants en profondeur. 
A tel point que :
«La musique de l’Inde, un feu qui brûle le coeur et l’âme, est supérieure à celle de tout autre pays. Les étrangers, même après un séjour de trente ou quarante ans dans l’Inde, ne parviennent pas à jouer correctement une seule mélodie indienne ». (15)

 

Revenons un instant vers Shiva-Dionysos:
« Dans l’Inde, le théâtre, la musique et la danse sont appelé le cinquième Véda, car ils sont considérés comme le moyen par lequel on peut enseigner au peuple, en le distrayant, les légendes des dieux et les vertus des héros…. La danse de théâtre est une danse professionnelle exigeant une technique difficile, un long apprentissage et des dons artistiques. Le langage des gestes (mudras) et du mime (abhinaya) en sont, avec le mouvement plastique et le rythme, les éléments essentiels. C’est cette sorte de danse, appelée lasya, qui est pratiquée par les danseuses sacrées des temples. C’est la déesse elle-même qui l’enseigna dans le monde. On l’appelle aujourd’hui Bhârata Nâtyam, du nom du sage Bhârata qui en prescrivit les règles. Bien que dansée exclusivement par des femmes, cette forme de danse est toujours, selon la tradition, enseignée par des hommes. 
La danse de théâtre masculine est représentée aujourd’hui principalement par le Kathâkali, le Chhau, le Kuchapuri. Son enseignement est attribué à Shiva. Le langage des gestes est à peu près identique à celui de Bhârata Nâtyam. Les acteurs-danseurs nombreux représentent des drames dont les sujets sont toujours liés à la mythologie, aux légendes des dieux et des héros. Des maquillages très épais ou des masques transforment les acteurs en personnages mystérieux ». (16)

 

Ces descriptions, -comme les suivantes-, relèvent plus des dernières réminiscences du Théâtre de Shiva, Parvati et Amdusias actuellement sur Terre, que de la transmission d’une tradition immaculée.
La rigidité des règles ne laisse aucune place à la créativité du danseur et du chanteur, et n’appartient pas au Théâtre originel shivaïte. Nos Déesses et nos Dieux apprécient les improvisations, les mouvements dans l’Art, l’audace bienveillante des actrices et acteurs. Seules demeurent immuables les Puissantes Valeurs d’Ea-Shiva.
 
« Le théâtre est lié à la magie. L’acteur, comme le poète, est inspiré. Lorsqu’il évoque des personnages divins ou des héros, il devient ces personnages. Il est une sorte de médium et ce qu’il exprime peut très bien dépasser sa propre compréhension. Dans le Kathâkali, l’acteur une fois maquillé n’est plus lui- même. On s’adresse non plus à lui, mais au personnage qu’il incarne, et on le vénère comme tel. Cela constitue une sorte de prêtrise qui affecte inévitablement l’acteur lui-même. Il en est de même pour le Nô japonais.
 

Le théâtre, en Grèce comme en Inde, devint une forme de spectacle importante, qui nous a laissé un grand nombre de chefs-d’œuvre littéraires. Dans l’Inde toutefois, après la quasi-annihilation des cours princières à la suite de la domination musulmane, le théâtre parlé a pratiquement cessé d’exister. Par contre, les formes populaires plus anciennes telles que le kîrtana et le théâtre dansé se sont continuées jusqu’à nos jours ». (17)

 

-> –Gandharva
Amdusias inspira le Gāndharva Veda, très dévoyé aujourd’hui. (18) Il s’agit d’un recueil de textes sur la science musicale indienne, très complexe, attribué au rishi (sage) Bhârata.

 

Mais aujourd’hui, même ce terme de «Gandharva» se voit éloigné de sa vraie réalité. Un Gandharva est devenu un animal musicien, une sorte d’être hybride voire parfois dans la bouche de certains, un «esprit». Céleste, certes, mais un esprit tout de même.
En réalité, le Gandharva est d’abord et avant tout la musique éternelle, divine, offerte par Shiva à ses Légions puis à l’Humanité. Elle relie le Ciel et la Terre, les Dieux et les Humains, et les animaux.
Les «bruits» de Dame Nature sont «Gandharva», le chant des feuilles qui bruissent, le flux et reflux des vagues, le son du tonnerre et de l’éclair, les ronflements du vent, les craquements des feuilles sèches,… Du volcan qui menace aux pépiements des oiseaux, du violon de Shiva aux chants humains, tout est Gandharva. Autrement dit, tout est fréquence.

 

Lisons ensemble:
« La musique de Gandharva est universelle. Elle est chez elle partout, dans chaque pays, avec chaque homme, dans n’importe quelle société. Elle est le langage de l’allégresse, la science et l’art de la jubilation, le chant de la Nature… La musique de Gandharva Veda est ce style de mélodie qui correspond aux ryhmes de la Nature qui contrôlent les phases d’évolution en vagues de jubilation, chantée spontanément sur tous les plans de la création, depuis le plus minutieux jusqu’au gigantesque univers toujours en expansion ». (19)

 

Ou encore:
« La musique du Gandharva Veda est l’éternelle mélodie de la nature qui résonne à tous les niveaux de la création : au niveau des particules les plus ténues jusqu’à l’immense univers sans cesse en expansion. Le Gandharva est le fondement de l’ordre et de l’harmonie dans la nature, c’est pourquoi il exerce une influence extrêmement positive ». (20)
 
Résumons-nous :
Les Gandharva sont les Légions des Déesses et Dieux musiciens de Shiva et Amdusias. De chair et de sang, divins humanoïdes, la qualification d’esprits ou d’émanations les concernant tombe en poussière.
Gandhar signifie bien aujourd’hui «parfum, senteur». Mais pas au sens si répandu d’esprit éthéré. Tout au contraire. Dans le temps, ces Dieux musiciens se voyaient toujours accueillis par des fumées d’encens, des embruns d’huiles essentielles. Ils furent, pour cette raison, peu à peu assimilés par les Humains à ces parfums. Au fil des siècles et du dévoiement récurrent de la Connaissance, nos Déesses et Dieux musiciens devinrent des «vapeurs d’êtres célestes (svargas) musiciens». Un bien triste amalgame avec la mièvrerie angélique.
Car enfin l’élément Air porte en lui la mobilité, la créativité inventive et donc le don de l’improvisation, élevée, sublimée, transcendante. Rien de commun avec du vaporeux, du brumeux ou de l’éthéré. Et moins encore avec une quelconque domiciliation dans les nuages.
Il en va de même pour l’élément Eau. Nos musiciens divins jouaient souvent en bordure d’océan, de fleuve et de rivière car le roulis des vagues, le grondement des torrents, les ruissellements des cours d’eau, les clapotis enjoués des lacs embellissaient leur musique du langage sacré de la Terre- Mère. Sont-ils pour autant «êtres d’eau»? Non.
De plus, l’eau favorise toutes les émotions et facilite la connexion avec l’invisible. L’astral d’antan, sous l’égide bienveillante de Shiva, apparaissait propre et dénué de tout danger.
 
Plus près de nous encore, les Gandharvas se virent tous décrétés mâles et plus ou moins «mariés» aux Apsarâs (nymphes célestes nées du barattage de la mer de lait). Réduits à l’état de «ménestrels-amuseurs», désormais représentés avec des têtes humaines sur corps d’oiseaux, ils habitèrent soudain arbres, branches et forêts.
Ces quelques lignes, très ironiques, vous l’aurez compris, explicitent non seulement la stupidité et la cruauté aussi qui règnent sur cette planète depuis 4000 ans comptés mais aussi l’acharnement subi par nos Déesses et Dieux. La Féminité niée. La Virilité saccagée.
Et l’on ose attribuer à «l’Inde ancienne», cette coutume grotesque dite «mariage à la Gandharva» où l’homme enlevait sa future épouse, fut-elle non consentante.
 
La véritable «Inde Ancienne», celle du Magnificent Shiva, est si immémoriale qu’aucun cerveau humain ne peut actuellement l’appréhender. Elle patiente sous les décombres, les églises et les mosquées, prête à surgir, le moment venu des tréfonds de la Terre pour notre plus grande liberté. (21)
Nous pouvons affirmer ici que l’histoire de la musique, sur la Terre entière, est l’Histoire de Shiva ET d’Amdusias. Shiva notamment, inspira à l’Humanité, y compris depuis Orion, les musiques qui marquèrent profondément leur époque.

 

AMDUSIAS et les OISEAUX MULTICOLORES
Amdusias a pour compagnons toutes sortes d’oiseaux. Il apprécie tout particulièrement les volatiles car ils symbolisent l’envol de l’âme des Déesses et des Dieux, de l’âme des Humains, les différents niveaux de conscience ou les différents pouvoirs acquis, selon leurs formes, leurs couleurs et même leur mode de vie.

 

• Le Ara
Durant ses périples sur Terre, Amdusias fut toujours accompagné de ses totems, notamment le Ara, qu’il soit dit aujourd’hui de macao ou d’ailleurs. 

 
Le Ara, emblème des ruines de Copán – Hondura
 
Très beau avec ses plumes multicolores, il représente bien, de ce point de vue, l’amour de nos Déesses et Dieux pour les couleurs. Très solaire par ses rouges et jaunes, il évoque aussi la Nature, la croissance et l’abondance par ce merveilleux vert qui le pare souvent.
Amdusias y trouvait toutes les couleurs des chakras humains et en fit un totem planétaire.
 
Très révéré en Méso-Amérique, il s’entendait fort bien avec le Quetzacoatl, autre merveille colorée, dédié au dieu «serpent à plumes» du même nom.
De nos jours emblème du Honduras, très répandu en Amérique du Sud, le Ara du temps de nos Dieux essaimait tous les continents. Le climat, alors très indulgent, le permettait aisément.
Très bruyant à ses heures, le Ara, -comme les Oies d’Amon en Égypte ancienne-, gardait temples et maisons et alertait de ses cris stridents la venue de tout inconnu aux portes de la propriété.
 
Fier de ses plumes somptueuses, révérées et utilisées pour d’importants rituels (22) ou fêtes solaires, le Ara défiait le temps par sa longévité (plus de 130 ans à l’époque, 80 aujourd’hui au mieux) et son intelligence.
Le Ara parle n’importe quelle langue, possède un langage corporel bien à lui, aime vivre en couple et en petit groupe, dans le respect de chaque membre.
Très déterminé, il s’intéresse à son environnement et incarne ainsi un haut degré de communicabilité, de réceptivité et d’ouverture.
Amdusias l’enseignait comme symbole très attrayant du troisième chakra. Il considérait cet oiseau comme un don précieux de la Vie qui incarnait la joie de vivre, la chaleur si réconfortante du soleil et finalement le grand feu céleste. Également associé au cinquième chakra, de par sa communication très éveillée et chatoyante, le Ara détient une très grande capacité d’apprentissage et une acuité très avancée.
 
Aujourd’hui, Aras et Perroquets ne font plus que bredouiller quelques mots ou petites phrases. Ils ont perdu avec le départ de nos Dieux, leur don d’élocution humaine. Le chagrin sans doute et la chasse impitoyable menée contre eux par les «nouveaux venus». Beaucoup de races de Aras se voient aujourd’hui éteintes, notamment aux Antilles, mais pas seulement.

 

Pour les Mayas, le Ara contrebalançait l’incroyable pouvoir tellurique du Jaguar. Ses représentations à Copán, magnifique espace archéologique du Honduras, sont célèbres avec, une fois encore, le Quetzacoatl.

 
• Le Martin-pêcheur
Amdusias tomba en amour d’autres oiseaux multicolores, même si le Ara garde une place privilégiée dans son coeur. Il découvrit le martin-pêcheur lors de ses voyages en Afrique. Là-bas, où il séjourna longuement, il apprit aux autochtones l’impact des tambours sur le coeur humain et son âme, la danse d’incarnation et l’amour de la nature. Enki, qui l’avait précédé de longue date en ces lieux, leur avait enseigné la magie saine (23) de la Nature et fabriqué pour eux les premiers «Djembé».
 
• Le faisan doré
Un autre oiseau cher au coeur d’Amdusias est le faisan doré. Sa chevelure d’or évoque le disque solaire d’Immortalité que le grand Dieu Amon-Râ porte sur la tête. Ainsi le volatile véhicule-t-il sur Terre, du haut de sa coiffe flamboyante, la gloire de nos Dieux. 
 
faisan doré
 
Vous comprenez sans doute pourquoi nos Déesses et Dieux condamnent la chasse inutile et cruelle. Tuer les animaux est un véritable crime à leur yeux et la marque d’un niveau de conscience très bas. Car en effet, chaque animal, quelle que soit sa forme ou sa couleur, figure une particularité, une spécificité, un don, une compréhension. Le tuer revient à tuer cette particularité, ce don, cette compréhension et appauvrit ainsi le corps mental et émotionnel collectif de l’Humanité.
 
Le Moucherol royal
Voici un oiseau extraordinaire, que l’on connait aussi sous le nom très explicite de «Porte-éventail roi» (Onychorhynchus coronatus).
Ce fameux Moucherol mâle avec son éventail rouge sur la tête exhibe sous nos yeux voilés une vérité occulte imparable: quand le Serpent Kundalini monte jusqu’au septième chakra inclus, alors un renversement majeur se manifeste. Le septième chakra devient le premier et le premier, le septième. Le rouge est la couleur du septième chakra pour l’Initié. Le Moucherol royal nous le rappelle constamment. 
 
Moucherol royal
 
Il déploie son éventail pour effrayer d’éventuels ennemis et séduire les femelles quand la saison des amours le frappe en plein coeur. Deux qualités de Kundalini: combattre avec succès l’ennemi, développer sa puissance sexuelle.
 
De plus, sa corolle rappelle les serpents dressés, les Nagas, à tout le moins dans sa forme et cette sorte de repli foncé sur le dessus.
 
têtes de Nagas – Thaïlande
 
Le moucherol royal se montre, de surcroit, malin. Quand il replie sa «corolle», le voilà invisible parmi les bois et donc à l’abri de tout danger.
Il vit actuellement en Amérique du Sud. Auparavant, comme pour tous les autres oiseaux de cet acabit, partout sur Terre.
 
AMDUSIAS et les VÉGÉTAUX
• Le Mimosa
(acacia dealbata)
Vous lirez ça et là que Amdusias a pour végétal préféré, le Mimosa. Je ne le nie pas car en effet, cette multitude de jolies boules jaunes évoque le soleil, rend joyeux et de plus embaume salons et jardins.
 

Affrontant les frimas de l’hiver, le mimosa symbolise la résistance du soleil aux sombres froideurs (24) et démontre que la vraie Lumière vainc toujours les «Ténèbres». De même qu’Amon Râ émerge toujours vainqueur sur sa barque solaire d’Apopis, de même le Soleil n’abandonne jamais.

 

Ainsi l’âme, enfant d’Enki, se bat vie après vie pour retrouver force, puissance et surtout Connaissance. Le troisième chakra, jaune or et indispensable à cette quête, figure notre mimosa intérieur, qui affronte les douleurs imposées par la Vie, lui rétorque d’un somptueux pied de nez, et attend, déterminé et serein, le retour bienvenu d’un soleil toujours régénérant.

 
• L’Alisier
(Sorbus Aria)
Penchons nous brièvement sur l’étymologie.
 
◊ aria
De nos jours, aria emprunté à l’italien arioso, signifie «air». Mais «le mot, cité comme mot italien dans un texte français dès 1703, puis (1752) comme synonyme de air, chanson, désigne une mélodie chantée par une seule voix accompagnée, surtout dans la musique du XVIIIe siècle». (25)
Notre langage actuel, ou même celui remontant à quelques siècles, n’évoque en rien celui que nous pratiquions avec nos Dieux, fort différent du galimatias sonore d’aujourd’hui. Le latin n’est rien en comparaison à l’ancienneté du sanskrit et bien au-delà encore, et n’a pris vraiment corps qu’à l’époque romaine.
Il existe d’ailleurs encore de nos jours des mots à l’origine inconnue. Tel est le cas de «sorbier».
 
◊ sorbus
«sorbe… emprunté à l’ancien provençal sorba (XIIIe) qui représente le pluriel, pris pour un féminin singulier du latin sorbum «fruit du sorbier», mot d’origine inconnue….
sorbe désigne le fruit du sorbier qui se consomme blet. On relève scorbe (1568) au sens sorti d’usage de «confections aromatiques» et sourbe dans sourbe rouge (1678) «fruit du sorbier des oiseaux».
sorbier: réfection (1544) de çorbier (1256) qui correspond à l’ancien provençal sorbier (XIIIe)…». (26)
 
Amdusias explique que le mot sorbier provient d’un terme ancestral qui signifiait «qui inspire, qui émeut», au sens bien évidement de «qui inspire l’artiste, qui lève des émotions en lui ».
Nous détenons encore aujourd’hui cette idée de chant, de musique dans l’étymologie du mot.
Le terme «alisier» plus ancien que sorbier est un dérivé de alise, «représenté dans de nombreux dialectes et en francien dès le XIIe (alie, 1153; puis alèze) serait l’un des rares représentants en français de la langue gauloise, le mot pouvant être issus d’un °alika, le germanique Aliza étant dans cette hypothèse (corroborée par des toponymes) emprunté au gaulois.
… Le dérivé alisier n.m. désignant la plante (1235) est d’abord attesté sous la forme alier (1153)…». (27)
 
Dédié à la musique et au chant, l’Alisier, sous lequel dans le temps se composaient et se jouaient nombre de pièces musicales, s’étendait à perte de vue sur de vastes territoires, partout sur les différents continents de l’Europe à la Chine, de l’Afrique à l’Amérique. De ses fruits, il nourrissait les oiseaux; de son feuillage touffu, il abritait les humains du brûlant soleil d’été et bruissait et chantonnait, toujours encouragé par une douce brise tiède.

 

Lisons ensemble:
« Bel arbre à la cime compacte, arrondie. Grandes feuilles grises au revers blanc et duveteux, très spectaculaires au printemps lorsqu’elles se développent car elles ressemblent alors à des fleurs de magnolias. Fleurs blanches en bouquets compacts au sommet des plus courtes branches, suivies de bouquets de gros fruits jaunes, puis orange, puis rouges ». (28)

 

L’alisier donne des fleurs blanches au pistil doré qui laissent rapidement place aux sorbes peu comestibles crues. Par contre, riches en vitamines A et C, en marmelade ou tisane, elles combattent l’artériosclérose et les accès inflammatoires, nous dit-on.
Il existe d’autre part un alisier du Tibet, le sorbus wardii assez similaire à l’aria, mais avec des fruits plus gros et d’une belle couleur ambrée.
 
Sans doute cette affection toute particulière d’Amdusias pour les couleurs vives vous pose-t-elle question. En effet, dans ses attributions, Amdusias demande des bougies bleu ciel, se réfère à Neptune et ses camaïeux vert-bleu, et se présente comme «Yin/Nuit» à un moment où le soleil, d’évidence, est couché. Des couleurs vives, vraiment…
Eh bien, pour parvenir à la couleur la plus vive, la plus puissante, la plus régénérante, la plus vivante, le Rouge, encore faut-il ascensionner le vert et le bleu, l’indigo et le violet lavande pour enfin s’accomplir en Sahasrara. Songez au retournement des chakras. A la place du septième surgit soudain un rouge vif pailleté d’or tandis qu’en lieu et place de Muladhara, vibre un violet incandescent, nourri de bleu et rouge lumineux.
Amdusias nous montre la voie. Fuir les couleurs vives revient à fuir toutes les autres. A toujours être vêtu de gris, de kaki et de marronnasse, la passion de la vraie Vie vous quittera. Nous partons du bleu/noir pour monter vers le rouge, y compris en Feng Shui. Avec toutes les explications occultes afférentes.

Quoi d’étonnant au final, sachant tout cela, qu’Amdusias, depuis le bleu et le vert, s’élève aisément, jouant et chantant, vers les rouge lumineux, les jaune soleil et de chatoyants orange ?

 

Concluons sur l’alisier: il poussait à profusion à l’état sauvage, aujourd’hui, il se fait rare. Pourtant, l’alisier porte légende de chants et de sons, vibrant à l’unisson avec tout musicien ou musique manifestée alentour, qu’il élevait de sa puissance et de sa grande subtilité vers des sommets inégalés. Et ce, à la gloire éternelle du Merveilleux Shiva et de son divin disciple Amdusias.

Deux autres végétaux, pour leur symbolisme, appellent l’attention d’Amdusias.

 

• Le Bambou
Amdusias et ses Légions plantaient des forêts de bambous assez serrés afin de recréer, sous forme végétale, les piliers musicaux. Nous retrouvons encore aujourd’hui, en miniature bien sûr, cette idée de «tuyaux d’orgue» dans la décoration feng shui ou zen.
Il existe une différence entre bambou et roseau que je vous laisse le soin de développer à vos heures perdues, le sujet de ce livre n’étant pas la botanique.

 

• Le roseau
Dans le temps, les flûtes de Pan se fabriquaient avec des roseaux. Tous en bénéficiaient constamment et gratuitement. Elles s’abimaient certes plus vite que celles désormais en magasin. Mais la symbolique de la flûte de Pan est la facilité à l’obtenir au coeur même de Dame Nature. Des matériaux aisés à trouver (le roseau), à travailler (avec un couteau) et à utiliser (quelques instants pour savoir en jouer).

 
Les Derviches tourneurs considèrent également la flûte de roseau comme sacrée, car offerte à la Terre-Mère.
Le roseau est aussi celui qui plie mais ne rompt pas, ainsi que Jean de la Fontaine l’avait observé. Dans sa symbolique, en effet, loin d’être fragile, il évoque la force cachée, l’apparence trompeuse à des fins d’auto-protection. D’intérieur creux, il niche en son sein l’invisible, les secrets, les mystères des mondes.
 
Si, selon Pascal, «l’homme est un roseau pensant», autrement dit vulnérable, ledit roseau se perpétue depuis des centaines de milliers d’années avec toujours au coeur, pour les meilleurs d’entre eux, une volonté de liberté et de paix.
La femme est le socle de ce «roseau», sa substance, son essence, muse et initiatrice, sans laquelle, il n’existerait ni fertilité, ni abondance, ni même l’idée que les univers puissent détenir quelques Mystères.
 
L’importance du roseau fut reconnue par toutes les grandes civilisations.
Il est:
 
• l’un des quatre signes du calendrier aztèque. Pour les Aztèques, le roseau figure l’abondance et la fertilité car il pousse dans des sols humides, près des rivières, lacs et autres étendues aquatiques. « Dans les Andes, et notamment sur et autour du lac Titicaca, certains peuples utilisent depuis 5000 ans un roseau local (totora) pour en faire des bateaux (caballitos), des maisons, des voiles et de nombreux objets du quotidien ». (29)
 
l’axe du monde, creux comme Sushumna, pour les Nippons et certaines communautés d’Inde.
 
• issu des eaux primordiales en Shintoïsme et rejoint ainsi le Lotus
 
• celui qui purifie les divinités psychopompes quand elles quittent les mondes souterrains.
Magnifique Dieu, joyeux et accompli, puissant et profond, Amdusias apporte en tous lieux la guérison, la victoire et la complétion.
 

GLOIRE À AMDUSIAS !
QUE JUSTICE LUI SOIT RENDUE !

 

NOTES et SOURCES 

(1) Voir le livre Shiva-Dionysos-Osiris ou les Délices Sacrés – EaShiva Editions.
(2) Les Puranas sont des textes sanskrits issus, dit-on, d’un recueil mère très ancien dont toute trace aurait disparu. On les dit au nombre de 18. Datant du troisième/quatrième siècle et suivants de notre ère, ils doivent être lus avec précaution car beaucoup de points s’avèrent très discutables ou en totale contradiction avec le Shivaïsme originel. Ils traitent de sujets très divers, de la création des mondes aux castes, légendes, mythes et autres généalogies.
(3) il y a 300 000 ans.
 
(4) Cette musique se joue aussi, outre l’Inde du nord, au Népal, Afghanistan et Pakistan. Pour mémoire, du temps d’Enki, tout le continent indien était «l’Inde» comme nous la comprenons aujourd’hui. Il n’existait pas de Pakistan, Afghanistan, Birmanie, Népal, Bengladesh et autre Bhoutan aux frontières artificielles et fabriquées par les invasions successives une fois que nos Dieux aient eu quitté la Terre. 
(5) Origines et Pouvoirs de la musique – chapitre Les origines de la musique sacrée – Alain Daniélou – Editions Khailash-p.20/21 
Bien que je cite Alain Daniélou ça et là, je tiens à préciser une fois encore que je suis en total désaccord avec ce qu’il véhicule sur nos Déesses et Dieux dans certains de ses ouvrages. Sa sexualité visiblement mal vécue l’a amené à projeter ses fantasmes sur nos Déesses et Dieux, et à les transformer en «vérité historique». 
Ceci m’amène, une fois encore, à rédiger cette mise en garde. Je cite ce qui est juste et vrai, mais beaucoup d’autres choses ne le sont pas. Pour lui comme pour tous les autres auteurs cités dans mes livres, citation ne vaut pas adhésion à toute l’oeuvre, bien loin s’en faut. Veuillez garder constamment ceci en mémoire. 
(6) Voir le livre Ea, Orion et nous, EaShiva Editions.
 
(7) Je rappelle ici une fois encore que dans le monde d’Enki ces termes de «mâle» et «femelle» ne sont en rien péjoratifs. 
(8) Ceci en dit long sur tous les discours spirituels que l’on entend en permanence et qui exhortent à se libérer de toutes les émotions. Il ne faut rien ressentir, se mettre en distance de tout. Ainsi n’avons-nous plus aucune chance de connecter les vrais Dieux. J’ai rencontré dernièrement ce genre de personnes soi-disant «spirituellement évoluées», je n’y ai vu et senti qu’indifférence, froideur, absence totale d’empathie, en un mot des robots à apparence humaine. Après, chacun fait ses choix selon ce qu’il souhaite être et devenir.
 
(9) « Unlike Western music, which constantly changes and contrasts its moods, Indian music, like Arabic and Persian, always centers in one particular emotion which it develops, explain and cultivates, upon which it insists, and which it exalts until it creates in the hearer a suggestion almost impossible to resist. The musician, if he is sufficiently skilled, can « lead his audiences through the magic of sound to a depth and intensity of feeling undreamt of in other musical systems » – 
Northen indian music – Alain Danielou – p.115 du livre.
 
(10) L’Inde était la capitale de l’Atlantide, avant. Veuillez vous reporter à mes autres ouvrages.
 
(11) Dans le temps, nous utilisions plus de 65% de notre cerveau. Il nous était donc facile d’appréhender les complexités qu’elles soient musicales, mathématiques, scientifiques et autres. Aujourd’hui, avec nos cerveaux réduits à 5/10% de leurs capacités, très peu de personnes parviennent à saisir toute la portée de la musique indienne et moins encore à en capter l’inspiration initiale.
 
(12) Il va sans dire que chaque cas est particulier et que certaines dilatations ont d’autres origines. Néanmoins, manger dans le chaos, en vitesse, sans prendre le soin de détendre le diaphragme, à fortiori de la malbouffe, tuera à terme une saine capacité de digestion.
 
(13) Traduction de l’article paru en anglais dans le Telegraph: telegraphindia.com/1040726/asp/nation/story_3541002.asp texte anglais: 
 « Shiva is the Destroyer in the Hindu trinity. But here he is Lord Nellaiyappar, the Protector of Paddy, as the name of the town itself testifies — nel meaning paddy and veli meaning fence in Tamil. 
Prefixed to nelveli is tiru, which signifies something special — like the exceptional role of the Lord of Rhythm or the unique musical stone pillars in the temple. 
Temples often have columns portraying dancing damsels or musicians playing their instruments, but rarely do the mute pillars themselves make music. In the Nellaiyappar temple, gentle taps on the cluster of columns hewn out of a single piece of rock can produce the keynotes of Indian classical music.
 
« You can hear the saptha swarangal (the seven basic notes) come like a wave as it were from the stone pieces », says a senior priest. 
« Hardly anybody knows the intricacies of how these we constructed to resonate a certain frequency. The more aesthetically inclined with some musical knowledge can bring out the rudiments of some rare ragas from these pillars », he adds. 
The Nelliyappar temple chronicle, Thirukovil Varalaaru, says the nadaththai ezhuppum kal thoongal — stone pillars that produce music — were set in place in the 7th century during the reign of Pandyan king Nindraseer Nedumaran. 
Archaeologists date the temple before 7th century and say it was built by successive rulers of the Pandyan dynasty that ruled over the southern parts of Tamil Nadu from Madurai. Tirunelveli, about 150 km south of Madurai, served as their subsidiary capital. The rulers following Nedumaran made some additions and modifications, but left the 10 musical stone pillars in front of the main Shiva shrine untouched. 
Each huge musical pillar carved from one piece of rock comprises a cluster of smaller columns and stands testimony to a unique understanding of the « physics and mathematics of sound », temple authorities said. 
In all, there are 161 such small pillars that make music in the Nada Mani Mandapam before the main shrine of Lord Nellaiyappar, the chronicle says. 
Two equally impressive musical pillars adorn the shrine dedicated to Goddess Gandhimathi Ambal in the temple complex spread over nearly 14 acres. 
To pilgrims, as awe-inspiring as the deity are the isai thoongal, meaning musical pillars in Tamil. The chronicle says, quoting well-known music researcher and scholar Prof. Sambamurthy Shastry, the « marvellous musical stone pillars » are « without a parallel » in any other part of the country. 
In the South though, several temples boast of such pillars, like those at Azhavar Thirunagari, Tenkasi, Kalakaadu, Kuttralam, Shenbagarama Nallur, Suseendaram near Kanyakumari, Thiruvananthapuram and Madurai. 
But the pillars of Tirunelveli stand out. « What is unique about the musical stone pillars in the Tiruelveli
 
Nellaiyappar temple is the fact you have a cluster as large as 48 musical pillars carved from one piece of stone, a delight to both the ears and the eyes », says the chronicle, citing local Tamil poet Nellai M.S. Shankar. 
Generally, musical stone pillars can be classified into three types, says Shankar, who has done a study on them. The first is called Shruti pillar as it can produce the basic notes — the swaras on the basis of which the Theavarm (collection of devotional hymns) and the Vedas would be rendered. 
Second is the Gana thoongal, which can generate basic tunes that make classical raga like Harahara Priya. The third variety is the Laya thoongal, pillars that produce taal (beats) when tapped. 
The pillars at the Nellaiyappar temple are a combination of the Shruti and Laya types, Shankar said. « This is an architectural rarity and a sublime beauty to be cherished and preserved », he adds.
 
(14) Un reportage intéressant sur les piliers musicaux de l’Inde du Sud ou la mémoire minérale ici: youtube.com/watch?v=iwCQfNIS-f4 – tout n’étant pas exact sur les noms et relations de nos Déesses et Dieux.
(15) Nuh Siphir – Amir Khusrau
(16) Shiva et Dionysos – Alain Danielou – Éd.Fayard – p. 255/256
 
(17) Shiva et Dionysos – Alain Danielou – Éd. Fayard – p.256 – je rappelle ici que le kirtana est un chant dévotionnel provenant de textes sacrés entonné lors de réunions publiques par les fidèles. Ces réunions sont aussi appelées Bhâjana ou Sankîrtana.
 
(18) Les invasions musulmanes et le bouddhisme ensuite n’ont guère aidé les textes à se maintenir «propres» au fil des siècles. La plupart ont d’ailleurs disparu grâce à l’habituelle tolérance de ces religions, surtout monothéistes.
 
(19) « Gandharva music is universal. It is at home with every land, with every man, with every society. It is the language of bliss, the science and art of bliss, the song of Nature…. Gandharva Veda music is that style of melody which matches with the swings of Nature that control the passage of evolution in waves of bliss, sung spontaneously on all levels of creation, from the most minute, to the huge enormous, ever- expanding universe ». Le Yogi Maharishi
 
(20) Maharishi Mahesh Yogi – Maharishi Mahesh (1918-2008), créateur de la méditation transcendantale, a fondé des écoles partout dans le monde de Gandharva afin de ramener la paix sur Terre.
Il dit: « Tout dans la nature est fréquence. Lorsqu’une situation est désordonnée, cela signifie fréquence non-naturelle. Le Gandharva est capable de rectifier toute situation qui serait en désarroi. Le Gandharva, étant le conservateur de toutes les fréquences, a le passe-partout pour redresser n’importe quel déséquilibre dans la nature. Ce passe-partout, nous voulons le donner à tout le monde. Et avec ce passe-partout nous voulons enlever toute peur dans l’humanité, la souffrance de toute l’humanité, la maladie de toute l’humanité, et les problèmes de chaque nation. C’est pourquoi nous parlons de la paix mondiale en faisant référence au Gandharva Véda. »
Même si cette musique est efficiente, elle ne peut donner tout son plein potentiel dans un monde où toutes les valeurs d’Enki-Shiva sont profondément piétinées et sabordées. Il est donc illusoire, même si cela part d’un bon sentiment, d’imaginer que juste avec cette musique, si belle soit-elle, jouée dans un monde purulent, il soit possible de rétablir beauté et merveille. Shiva seul le peut. Car les Mauvais Dieux contrecarrent constamment les bonnes fréquences par les mauvaises, plus proches de nous et donc plus puissantes puisque les Mauvais sont ici-bas pour la plupart.
Jouer de cette musique dans les circonstances actuelles peut être aussi une manière de «désarmer» les Humains. Le pacifisme ne vaincra pas le Mal, tout au contraire, il en est un outil. Il faudra bien, le moment venu, dire NON au Mal ambiant autrement qu’en musique et en chanson et sous couvert des Dieux.
 
(21) L’Inde contemporaine n’a plus rien de commun avec nos Dieux. Depuis l’arrivée de l’Islam et du Bouddhisme, tout part à vau-l’eau. Il suffit de lire les actualités pour constater les dégâts irréversibles commis, sans parler des actes ignobles perpétrés sur les femmes. Vivement Kali.
 
(22) Les plumes utilisées étaient celles d’oiseaux tout juste morts. Ou tombées d’elles-mêmes. Pour nos Dieux les animaux sont sacrés. Jamais ils n’auraient sacrifié quelque animal que ce soit pour ses plumes, sa fourrure ou pire encore, sa viande. Vivement leur retour, que ceux qui massacrent à tour de bras les animaux, souvent d’ailleurs avec cruauté, rendent gorge à leur tour et de belle façon.
Le Ara à l’état sauvage souffre beaucoup de l’avidité des humains dégénérés qui les exploitent, les sortent de leur environnement de prédilection et les vendent au plus offrant au point même que le Ara sauvage de Spix et son beau poitrail bleu a d’ores et déjà disparu de la surface de la Terre. Sans parler de la déforestation massive qui engendre de terrifiants ravages chez les races animales.
Quand à ceux qui mettent des oiseaux en cage, honte à eux!
 
(23) Ce qui en reste aujourd’hui, la plupart du temps, n’est que dévoiement et superstition.
 
(24) Jusqu’à -12° dans un sol sec et drainé
(25) Dictionnaire historique de la langue française – Alain Rey – Éditions Le Robert – p. 200
(26) Dictionnaire historique de la langue française – Alain Rey – Éditions Le Robert – p. 200
(27) Dictionnaire historique de la langue française – Alain Rey – Éditions Le Robert – p.
(28) Arbres – Didier Willery – Editions Ulmer – p.280
(29) Roseau – Wikipedia

IV – LES GRANDS CENTRES D’ORION ou la Magie de nos Dieux

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IV – LES GRANDS CENTRES D’ORION ou la Magie de nos Dieux

 

Ces bâtiments, tous magnifiques, affichent une telle vastitude qu’ils pourraient, pour certains, y accueillir des continents entiers.
Avant de les visiter ensemble, comprenons comment toutes ces splendeurs sont bâties.
 
• La construction
Prenons un exemple concret.
Sur Orion, quand un nouveau Temple s’avère nécessaire, Ea lance un appel dans la Cité concernée mais également dans toutes les autres.
Les Dieux Bâtisseurs intéressés proposent alors leurs services. Ceux qui viennent d’autres bourgs se voient chaleureusement accueillis «chez l’habitant» et largement fêtés pour leur aide inestimable.
Les autres Déesses et Dieux (non bâtisseurs) épaulent également le projet à tous niveaux : architecture d’intérieur, décoration, fresques, jardins, sculptures, fabrications artisanales, repas, accueil, intendance, etc.
Les Dieux adolescents postulent à flots en tant qu’apprentis sur le chantier afin d’apprendre et pratiquer immédiatement «sur le tas». Cet apprentissage peut ensuite faire l’objet d’un mémoire devant les autres étudiants, films, photos, plans et schémas à l’appui. Souvent, il s’agit d’une démarche purement individuelle et personnelle.
Quand Ea lance ce type d’appel, de toute façon, tout le monde veut participer.
Toute nouvelle construction annonce fêtes, amitiés et de bons moments en perspective.
Un rituel d’ouverture mené par Ea et Isis en général, bénit le début des travaux. La «Terre-Mère» d’Orion doit donner son accord pour que les travaux débutent. Bien évidemment, tout a été minutieusement étudié avant par les Dieux sous la bienveillante houlette d’Ea. Rien ne se bâtit qui puisse gêner les vols migratoires des oiseaux, atteindre les forêts, freiner la vie animale, affaiblir l’écosystème, détourner les cours d’eau, gêner d’autres édifices, empêcher la fluidité de circulation des personnes ou ralentir la fréquence vibratoire d’une ligne Ley.
Marduk, Grand Dieu du Feng Shui intérieur et environnemental, assume cette partie essentielle du projet.
Les Dieux Bâtisseurs et leurs Légions travaillent physiquement à l’édification du Temple mais surtout par télékinésie. La puissance mentale de nos Dieux laisse pantois.
«Monter un Temple» prend environ deux mois et implique des équipes de jour et des équipes de nuit. Des centaines de Déesses et de Dieux s’activent avec une souplesse et une aisance sidérantes.
Les chantiers sont calmes, sans énervements ni stress, sans fracas ni poussière. Des bulles de protection les entourent jusqu’à l’extrême fin des travaux.
Les Déesses volontaires pour «gâter» les nobles travailleurs s’organisent pour qu’à chaque pause (plusieurs par équipes), de jour comme de nuit, repas chauds, gâteaux, fruits, salades et boissons leur soient proposés. Inutile de préciser qu’il ne reste pas une miette de ces généreuses collations une fois la pause terminée.
 
Durant la construction du Temple, et comme à chaque fois, un véritable spectacle animalier s’offre à qui veut en profiter. Pêle-mêle ; aigles, corbeaux, chouettes, faucons, écureuils, souris et souriceaux, chattes et chats, de sortie en couple ou en solitaire, rejoignent, à tout moment et des heures durant, leur perchoir de prédilection sur les branches des arbres voire sur leur cime pour les aigles, ou les toits pour les chats. Ils observent l’érection rapide mais solide du Temple avec des mines circonstanciées à mourir de rire. Ils semblent suivre les travaux comme s’ils étaient eux-mêmes bâtisseurs, architectes, décorateurs ou paysagistes. Ils couinent, miaulent ou chicotent selon l’évolution des travaux et quittent en trombe arbres et toitures pour se ruer vers les Déesses chargées de plats succulents et autres friandises.
En journée, ce sont les enfants-Dieux qui amènent des coupelles remplies de bonnes choses à tous ces animaux «sentinelles». Les chiens rajoutent souvent à l’ambiance par quelques aboiements bien sentis, exprimant ainsi toute leur satisfaction.
Ces animaux à l’âme sacrément évoluée savent que leur race respective trouvera sa place dans le Temple. Près de Bastet, des chats. Près d’Anubis, des chiens. Près d’Horus et de Marduk, des faucons et des aigles. Près d’Isis, des chouettes. Près de Durga et Sekhmet, des lions et des tigres. Près de Ganesh, des souris et des éléphants. Près de tant d’autres Déesses et Dieux, des écureuils, des lapins, des oies, des canards, des paons et ainsi de suite.
Oui, ces animaux ont CONSCIENCE qu’une fois encore, ils seront, eux aussi, reconnus, aimés et révérés pour ce qu’ils sont.
 
Le Temple, une fois érigé, les Déesses et Dieux impliqués l’aménagent et l’embellissent y compris les jardins, dépendances et routes qui y mènent.
Il importe de comprendre que les Déesses et Dieux Chefs commandent des Légions qui les suivent et les soutiennent en tout. Personne n’est jamais seul sur Orion s’il invoque aide et soutien.
Ces Dieux qui composent les Légions s’engagent auprès de leurs Chefs respectifs en toute conscience, en toute connaissance de cause et ne ressentent aucune animosité (!!!) quand un «ordre» leur est donné.
Il va sans dire que lors des combats menés contre leurs ennemis, les Légions obéissent au doigt et à l’oeil à leur meneur sans tergiversation aucune. Les Humains «matador» engagés auprès d’Ea qui s’imaginent que l’on peut marcher sus à l’ennemi en ordre dispersé, «faire comme on veut quand on veut» auront beaucoup à apprendre de leurs guides d’Orion.
La vraie liberté induit toujours beaucoup de responsabilités. Ce dernier point semble constamment occulté par les entêtés.
Sur la Bételgeuse chacun connait sa place, ses devoirs, ses responsabilités, sous les ordres de qui il combattra, créera et bâtira. Il ne peut en être autrement.
Pour autant, ces Déesses et ces Dieux sont puissants et toujours prêts à de nouvelles aventures. Ceux qui souhaitent se retirer des Légions pour expérimenter d’autres mondes demeurent bien sûr libres de partir. Personne n’est tenu à rien. Mais rares sont ceux qui s’exilent sciemment.
Quel que soit le ressenti de chacun ici-bas à la lecture de ces lignes, la splendeur de nos Déesses et de nos Dieux parle pour eux : immortalité, joie de vivre, immense puissance, teint de pêche, corps parfait, bienveillance, naturel, simplicité, etc, etc, etc… leur mentalité, leur mode de vie, leur compréhension de la Vie paraissent vraiment bien leur réussir. Non ?
Il en était de même pour nous, avant.
Poursuivons notre exemple :
Si demain, ces mêmes Dieux Bâtisseurs ont besoin de mains ou de savoir-faire pour soutenir un projet familial, là encore, une annonce sera diffusée. De la même manière, Déesses et Dieux proposeront leur soutien.
 
Cette attitude d’entraide et d’échange s’avère tout à fait naturelle sur Orion pour ne pas dire banale. Tout le groupe agit pour l’individu qui, de son côté, demeure solidaire de tous. A fortiori pour les Dieux et Légions qui construisent Cités et Temples pour le plus grand bien de tous.
Que l’on érige un Temple pour l’ensemble des Dieux ou une maison individuelle pour une seule famille, le même processus s’enclenche toujours.
Car pour nos Déesses et Dieux, tout concourt toujours au bien-être de tous. Plus une Déesse, un Dieu, un Humain s’estime bien dans sa vie, dans son coeur, dans son corps, dans son âme, plus il se montre créatif, ingénieux, aimable et serviable envers l’ensemble de la société en constante évolution sur Orion.
Plus l’individu s’exprime sainement dans tout ce qu’il est, dans tout ce qu’il représente, plus le groupe en bénéficie aussi, nécessairement.
Par conséquent, dans le monde d’Ea, seules la puissance et la noblesse d’âme de chaque Déesse et de chaque Dieu engendrent une Pléiade extrêmement solide, solidaire, valeureuse, «indomesticable» et indestructible.
Il n’existe jamais de Déesses ni Dieux laissés de côté ou de projets considérés sans intérêt aux yeux du plus grand nombre. TOUT est important. Car TOUT concourt, une fois encore, au bien-être de tous.
Semer des graines, planter des arbres, sculpter des oeuvres d’art, construire des vaisseaux, fabriquer des vêtements, créer des bijoux raffinés, cuisiner de bons plats, produire du vin, de la bière ou du cidre de qualité, tout cela compte. La beauté de l’environnement compte. La propreté des lieux compte. L’élégance de chacun, libre de toute mode, compte.
 
Aucune activité n’est dévalorisée ou dévalorisante. Tout converge toujours au bien-être de l’individu et donc de l’ensemble de la société.
Enseigner, se dépasser, créer, enfanter, initier, fabriquer, innover, imaginer, etc, etc, etc, tout cela relève du monde d’Ea.
J’insiste sciemment sur tous ces points car il convient vraiment de les intégrer en profondeur.
Cela vous semble idyllique ?
Vous avez tort. Car derrière toutes ces forces, ces dons, ces compétences se cachent des centaines de milliers d’heures de dure pratique, de dépassement de soi, de rudes combats, d’implications, de dévouement, d’affirmation de soi, de confiance en soi, d’ouverture d’esprit, d’intelligence du coeur et de l’âme.
Les Déesses et Dieux quittent parfois très jeunes leur foyer pour s’entrainer en d’autres lieux voire d’autres espaces et en reviennent aguerris. Rien, absolument rien ne s’obtient dans le monde d’Ea sans effort, sans persévérance et sans foi en la Vie.
Il n’est pas donné à tout le monde de devenir une Déesse ou un Dieu, et surtout de le rester. Ni d’emmagasiner autant de Connaissance, de Puissance et de Générosité sans dégringoler dans la volonté de pouvoir et de soumission des moins avancés. Anu en est un exemple vivant.
Nos Déesses et nos Dieux évoluent et progressent constamment. Ea a beaucoup vu, appris, vécu et connait des choses que nul esprit avisé n’oserait imaginer. Réaliser qui est notre véritable Père et de qui nous descendons figure la première étape vers la Conscience de Soi. Or, cette première étape s’avère la plus difficile et la plus dangereuse pour nous. Oui, dangereuse car elle pourrait basculer les esprits les plus faibles dans un océan de vanité si dense qu’ils s’y noieraient.
 
Avec nos Déesses et Dieux jamais rien n’est vide de sens. Bien au contraire, tout déborde de sens.
Toute pratique a un but et se vit sans ennui ni obligation. Tout se comprend, s’exerce en Conscience. Nos Dieux chaque jour méditent, font leur yoga, s’entrainent à des arts martiaux internes et externes de très haut vol. Chaque jour implique un nouveau défi, propice à une évolution constante.
Jamais nos Déesses et Dieux ne baissent les bras. Ils essaient encore et encore jusqu’à la victoire finale. Quand bien même cela nécessite d’essayer cent huit millions de fois. Ils ne cèdent absolument jamais malgré les embûches, les écueils et les souffrances engendrées.
Nos Déesses, nos Dieux incarnent des héros cosmiques, l’élite de la galaxie. Et le plus grand d’entre eux a pour nom Ea-Shiva.
Comme déjà précisé, il émane de l’Orion d’Ea une immense paix, et en même temps une détermination d’airain. Pourtant nos Dieux sont en guerre. Alors ? Eh bien, il ne s’agit pas ici d’une paix béatement niaise offerte à toutes les compromissions mais d’une paix fermement consentie, profondément désirée et protégée. Elle va jusqu’à habiter les rues et les demeures parce que nos Déesses et nos Dieux l’ont d’abord largement installée dans leur coeur et dans leur âme.
Cette paix, chez nos Dieux, découle d’un véritable état d’esprit et certes pas d’un «slogan sociétal». Conscients de leur infinie valeur, dotés de pouvoirs psychiques et occultes COLOSSAUX, ils possèdent une vaste confiance en eux, une très grande assurance et la certitude d’être toujours à la hauteur devant tout défi à relever.
Résumons-nous, si vous le voulez bien :
Nos Dieux possèdent des dons psychiques absolument extraordinaires renvoyant Superman et tous les autres «fantastiques» dans de vieux placards poussiéreux. Bâtir pour eux n’induit pas de trainer de lourds fardeaux ou de respirer des poussières toxiques durant des mois voire des années. La Télékinésie soulève les poids exactement comme pour les pyramides d’égypte ou de Méso-Amérique, pour ne citer qu’elles.
Aucun outil, aucune machine, aucune technologie sur Orion ne se montre bruyante, polluante ou exténuante à l’usage.
Construire sur Orion n’évoque pas un «chantier au sens humain» mais une joie commune. Il faut y voir aussi le plaisir de pratiquer ses dons, de les mettre au service d’une noble cause et de former sur le terrain de jeunes Dieux passionnés.
La mentalité est tout. Nos Déesses et nos Dieux ont une très bonne et très belle tournure d’Esprit. Ils donnent, partagent, se soutiennent, aiment la vie, l’amour, les fêtes, les plaisirs, la Nature, ce qui est beau, durable, majestueux. D’évidence, pétris de grandes Valeurs auxquelles ils ne dérogent jamais, ils respectent la Vie, ses cycles naturels.
Nos Déesses et nos Dieux sont parvenus à un tel niveau d’accomplissement parce qu’ils se sont consacrés beaucoup beaucoup de temps, d’attention, de dévotion afin de se connaitre, de plonger seul(e)s dans leurs profondeurs abyssales. Leur immense puissance s’appuie sur la pleine Conscience d’eux-mêmes, constamment, à tout moment, où qu’ils soient, quoi qu’ils fassent et en tout lieu spacio-temporel.
Entrons à présent dans le grand Temple.
 
• Le Temple principal
Il personnifie le coeur de la Cité. Tout se construit ensuite autour de lui, à une distance largement suffisante pour qu’à aucun moment il ne soit gêné par une quelconque pénombre, trop d’allées et venues ou encore des mitoyennetés préjudiciables -et de toute manière, impensables sur Orion.
Le Temple figure la grande école de la Vie, pour tous les âges : enfant, adolescent, adulte.
Le terme de «cité» évoque trop souvent sur Terre, délinquance, ghetto, drogue et mal-être.
Pour nos Dieux, tout au contraire, la Cité symbolise un haut lieu de Connaissance, d’Apprentissage, d’Initiation et de Festivités. Toujours d’une dimension vivable pour nos Dieux (ils sont immenses, ne l’oubliez pas), elle véhicule d’emblée une notion de solidarité, de partage mais aussi de respect du choix de chacun.
– Quelle définition donnerais-tu de la Cité, dis-je un jour à Marduk, l’étymologie latine n’est guère satisfaisante. – La Cité est le joyau, le coeur vital d’un territoire où le droit à l’expression de soi prédomine. D’où votre expression «avoir droit de cité». Elle doit être bâtie en des lieux clés, dans le respect des Puissances Naturelles, et établir un pont entre la Terre et le Ciel. La Cité est le pont, le Temple son noyau-mère.
Un immense parc de milliers d’hectares entoure le Temple. Beaucoup de plantes médicinales, de fleurs symboliques, d’arbres magiques y poussent joyeusement et à profusion.
Nos Déesses et nos Dieux apprécient le confort et s’offrent de vivre leur propre nature comme ils l’entendent, même au sein d’un parc. Certains préfèrent s’asseoir à même le sol, d’autres sur des bancs, des chaises, des fauteuils, des balancelles ou encore s’attabler pour mieux lire, étudier ou tout simplement déguster un bon petit repas entre amis. La Déesse ou le Dieu régent du Temple prévoit l’aménagement du parc en ce sens, parasols et coussins compris.
De petites guérites aux mines réjouies, souvent de couleurs rouge et or, parsèment en abondance le domaine et proposent des kyrielles de bonnes choses à boire et à manger. Nos Dieux les appellent «Boîtes à Délices», ce qui en dit long sur leur gourmandise légendaire.
Le monde d’Ea prône un grand sens du confort de l’habitat, des vêtements mais aussi du corps. Car le corps physique souffrira d’une gestion du temps déficiente. Sous stress, il se cabre, se voûte, s’enflamme, se contracte avec, au bout de ce triste chemin de travaux forcés, la maladie voire la mort. Plus le temps nous manque, plus nous pompons la santé vitale du corps, à force de l’obliger à des activités inutiles, contre-nature ou réalisées en un délai ridiculement court. Plus le temps manque, moins le corps bénéficie d’un sommeil réparateur, suffisant, de repos adapté plusieurs fois dans la journée.
Si cette sombre description relève de notre quotidien terrestre où le temps, très curieusement, s’accélère de plus en plus, il n’en va pas de même du tout sur la Bételgeuse.
Le bien-être du corps, essentiel parce que contenant des corps subtils, se lit dans les comportement de nos Dieux, jusque dans les plus infimes détails de leur quotidien.
Par exemple, ils détestent perdre leur temps. Tout s’organise donc en ce sens : pas de files d’attente, pas d’oublis, pas d’organisations défectueuses, pas de ruptures de stock, pas de pagaille.
Voilà pourquoi les étals, Boîtes à Délices et autres «guérites» essaiment Orion. Tout à portée de main, dans l’instant et sans gaspillage d’énergie. Dynamisme, enthousiasme et abondance favorisent une vie agréable mais efficace.
Les étudiants du Temple, déjà en initiation avancée, gèrent les Boîtes à Délices, et servent les autres Déesses et Dieux à tour de rôle.
 
Ea se tient à l’origine de cette idée. Il estime que plus on progresse dans la Connaissance occulte, plus on doit garder contact avec le petit quotidien et ne pas s’engoncer dans la ouate. Pour Lui, passer d’une énergie à l’autre se vit avec aisance, rapidité et facilité sans choc énergétique, justement. Cette «fluidité divine» réclame un long apprentissage auquel s’attellent les étudiants «gestionnaires» des Boîtes à Délices.
Cette vision de l’éducation évite toute vanité débridée et autre fatuité. D’ailleurs, les autres Déesses et Dieux remettraient immédiatement l’étudiant à sa juste place. Vanité, ignorance et paresse, sources de toutes les lâchetés, figurent les trois grandes détestations de nos Déesses et Dieux. Qu’on se le tienne donc tous pour dit, Humains compris !
Revenons à notre Temple :
Il affiche une superficie colossale de plusieurs centaines de kilomètres carrés sur plusieurs étages, incluant des niveaux souterrains. Tout s’y agence à la perfection et personne ne s’y perd jamais. L’habituel confort se voit partout : outre les vastes salles de cours et conférences, s’égrenent bancs et sièges confortables, lumières adaptées, salons d’études, coins lecture, Boîtes à Délices, papeteries, bibliothèques et audio- vidéothèques uniquement reliées au domaine d’études et de recherches.
A chaque étage, un domaine d’activité général se déploie, incluant des kyrielles de sections spécialisées. L’étage de la Biologie et des Sciences laisse sans voix. D’immenses laboratoires accueillent des étudiants passionnés qui ont absolument tout ce qu’il est possible d’imaginer à portée de main.
Ea vient régulièrement superviser les projets de ces étudiants et les incite à toujours aller plus loin dans leur compréhension des Mystères de la Vie. Plusieurs fois par an, il anime des conférences sur nombre de sujets parfois totalement inconnus sur Terre.
 
Les murs des salles de conférence, prises d’assaut, doivent être bougés. Nos Dieux ont mis au point une technique très élaborée qui permet une importante extension des murs et une mobilité très appréciable de l’espace, le temps de l’événement. Faut-il préciser que les murs sont repoussés à leur extrême sitôt les conférences annoncées ? Qui voudrait les manquer ? Ea repousse constamment les confins de la Connaissance. Tous les autres étudiants, parents, amis, enseignants sollicitent des places mais sans grand succès. Ea enseigne pourtant toujours dans la plus grande des salles de conférence (plusieurs kilomètres carrés de surface) mais elle reste toujours bondée.
Les conférences d’Ea, même enregistrées -et régulièrement diffusées-, font toujours salle comble, y compris sur écran !
Une fois encore, gardez en mémoire qu’une telle vastitude s’avère banale pour nos Dieux qui se déplacent à très grande vitesse. Ces distances ne posent aucun problème.
S’ils ont des livres et autres documents précieux avec eux, ils utilisent des sortes de petits «scooters» sans roues sur lesquels je reviendrai plus loin.
 
De par «l’infinité» des lieux, nulle promiscuité à subir. Grâce aux grands espaces compartimentés en petits salons et coins de réflexion intimes à chaque étage, confort, calme et concentration rendent la Connaissance nettement plus assimilable.
Un mot cependant à propos du confort inhérent au monde d’Ea. Nos Dieux ne s’affalent pas constamment sur les canapés et autres sofas moelleux, la colonne vertébrale en zigzag, un apéritif toujours à la main.
 

Jeunes ou adultes, ils gardent un maintien de grande noblesse, se tiennent droit tout en demeurant souples. Ils ne se vautrent pas. Pour eux, le confort n’est en rien synonyme de fainéantise ou d’engourdissement de l’esprit mais de repos du corps. Ce repos permet l’expansion de la Conscience et l’acquisition plus rapide et plus profonde de toute Connaissance.

 

Sur la Bételgeuse, tout reste ouvert jour et nuit. Le rythme biologique de chacun doit être respecté en toutes circonstances.
Certains préfèrent étudier au Temple la nuit, d’autres le jour ; d’autres encore choisissent de lire et travailler plutôt dans le parc ou de rejoindre la bibliothèque de Thot ; d’autres enfin de rester chez eux pour préparer leurs projets.
En effet, point de «devoirs à faire à la maison» qui impliquent une soumission, une obligation quotidienne préjudiciable à toute spontanéité. Mais des projets, si, et de toutes sortes : intellectuels, scientifiques, architecturaux, artistiques, agricoles, etc. Les étudiants remettent leur projet une fois prêts, tout simplement. Libre aux étudiants de créer et s’impliquer dans lesdits projets ou pas.
Tout ceci s’avère fort logique : si chacun a le droit d’exprimer sa vraie nature avec Ea, il semble donc raisonnable que les Nocturnes aient même latitude que les Diurnes. Ou que chaque Déesse et chaque Dieu choisissent leur degré respectif d’implication dans leurs études. Les parents-Dieux respectent les choix de leurs enfants mais leur demandent d’en assumer les conséquences, dès que l’enfant se trouve en âge d’en saisir tous le sens. A fortiori les adolescents.
Il va sans dire que les étudiants étudient. Cela peut sembler ridicule d’affirmer cela mais nombre d’étudiants inscrits dans les universités sur Terre ne se consacrent pas autant qu’ils le devraient à leurs cursus.

 
 
Sur la Bételgeuse, tout le monde veut être fier de soi- même, de ses enfants, de ses parents, de ses amis, de sa fratrie, de son époux, de son épouse, de ses valeurs, de ses dons, de ses activités et innovations. Car pour nos Dieux la fierté engendre le respect. Et le respect se mérite. Donc, chacun fait en sorte d’agir pour le mieux, de la manière la plus noble, la plus généreuse, la plus intelligente possible et d’acquérir un maximum de Connaissance en tous domaines. La Connaissance rend libre et permet à chacun de toujours se «débrouiller», même en plein chaos. Nos Déesses et nos Dieux incarnent de véritables survivants parce que polyvalents et forgés au feu d’Ea-Shiva-Ptah-Agni. Dès la toute petite enfance, le monde d’Ea (Gloire à Lui) offre une grande sécurité dans l’expression de soi, de ses idées, de ses multiples talents, à son rythme personnel, sans subir celui des autres. Le résultat : des Déesses et des Dieux sains, puissants, solides et confiants.
Ea-Shiva dit toujours : «chacun est unique et a le droit de vivre son unicité comme il l’entend».
Mitoyen au Temple central, le grand Temple dédié à Ea-Shiva.
A ses côtés, les Déesses connues comme Déesses- Mères sur Terre : Ninoursag (Hathor), Damkina (Parvati) et Isis.
Un Temple érigé à la gloire de chaque Déesse et chaque Dieu se dresse fièrement le long des larges avenues. Ces Temples contiennent une bibliothèque exhaustive qui traite exclusivement de la Déesses ou du Dieu concerné, tout ce qu’ils ont bâti, créé, inventé, proposé, réalisé pour Orion, la Terre ou d’autres planètes et systèmes, leurs actes héroïques, leurs implications dans le combat mené par eux contre Anu, et ainsi de suite.
Ces Déesses et Dieux prennent d’ailleurs plaisir à surgir par surprise dans leur temple respectif pour la plus grande joie de tous et engager des «débats- conférences» avec les étudiants des heures durant ! Je ne résiste pas au plaisir de radoter sur ce point bien qu’avec d’autres mots, car il faut le voir pour le croire : l’incroyable technologie de nos Dieux permet l’extension mobile des murs, sorte d’étirement énergétique qui loge tout le monde bien à l’aise, alors que de l’extérieur, le Temple demeure égal à lui-même.
Dans le monde d’Ea, sur Orion comme sur Terre dans le temps, tout tourne autour de la Connaissance et de l’acquisition de la Connaissance car elle octroie force, pouvoir, discernement et bravoure.
Du temps de nos Dieux, dans le Temple, au coeur de la Cité, nous aussi, nous apprenions, pratiquions et organisions de très nombreuses fêtes dans de somptueux jardins parfaitement «entretenus à être eux-mêmes» où les petits Êtres de la Nature gambadaient tout leur saoul.
Le monde d’Ea vous parait certainement un conte de fées peuplé de rêves mirifiques mais illusoires. Et pourtant… nous vivions de la sorte avant que notre héritage ne nous soit brutalement retiré. Peu à peu, les persécutions aidant, nous avons tout oublié… Quelques heures d’études dans la journée ; quelques heures de soutien selon les demandes. Chacun profitait du travail de tous, transmis dans la joie et l’amitié. Le reste du temps se consacrait à ce que nous voulions : méditation, magie, arts martiaux, peinture, sculpture, dessins, danse, chant, théâtre, jardinage, éducation des enfants, promenades, voyages d’agrément, voyages d’études, apprentissages de tous ordres, audience chez nos Déesses et Dieux, activité volontaire dans les temples, fêtes et célébrations, moments intimes ou… repos et sommeil.
Le monde d’Ea favorise cette vie saine, joyeuse, aimante, sereine, détachée de tout stress et de toute violence.
D’abord, parce que les Cités d’Ea demeurent toujours à dimension humaine, offrant la part belle à l’amitié, la convivialité et le partage. Ensuite, parce que le niveau de Conscience de chacun se prête à ce type de société basée sur un vrai respect de tout ce qui vit.
Revenons sur Orion et découvrons à présent un autre haut lieu d’études, absolument fantastique, au propre comme au figuré : la Bibliothèque de Thot.
 
• La Bibliothèque de Thot
Voilà l’un des lieux qui m’a le plus subjugué. Je n’en suis pas encore remise. J’y repense souvent et n’ai de cesse que d’y retourner, encore et encore.
Cette bibliothèque existait aussi sur TerrEa du temps de nos Dieux. Ce terme de «bibliothèque» s’avère d’ailleurs totalement ridicule. Il faudrait inventer un mot bien plus glorieux pour tenter de définir les premiers contours d’un tel chef-d’oeuvre.
Si comme moi, vous aimez lire, étudier, chercher et rechercher, vous n’aurez de cesse que vous installer là et de n’en plus bouger !
Des centaines de Déesses et de Dieux érudits, tous des Légions de Thot, se passionnent pour ce lieu hors du commun dont ils ont la responsabilité, selon leur domaine de prédilection respectif.
Regardez-les sillonner les allées, chargés de nouveaux documents, d’incroyables découvertes, de fantastiques merveilles ! Et là, n’est-ce pas Thot lui-même, toujours séduisant, affable, agréable, d’une stupéfiante intelligence qui lit un livre juste en le touchant et donne une dizaine «d’ordres» à la seconde ?
 
 
Entrons par la porte principale.
Comme toujours à l’entrée, une salle d’accueil avec des mets sucrés, salés, des «grignotis» et des boissons, des coins repas, de petits salons, de la convivialité, de l’amitié.
Passons la seconde porte et là… «l’immensité thotienne».
Fascinant, envoûtant, ahurissant, impressionnant, galvanisant, que dire ? Les mots sonnent creux.
A perte de vue, des milliards de milliards de livres, grimoires, papyrus, rouleaux, pierres gravées, images, photos, audios, vidéos, microfilms, gravures, dessins, peintures et archives en tous genres. Mieux encore, de boîtes en bois aux poignées d’argent surgissent des hologrammes grandeur nature, des faits «vivants» sur tous les sujets possibles et imaginables concernant Orion, la Terre mais aussi toutes les planètes et galaxies que nos Dieux ont traversées, habitées et étudiées.
Les étagères s’alignent sur des milliers de kilomètres carrés et des hauteurs vertigineuses.
Là intervient le fameux «scooter». Je ne sais comment le dépeindre autrement. Une sorte d’aéro-glisseur volant ? Les Dieux l’appellent DGV ou «déplaceur à grande vitesse». (il s’agit là d’une traduction très approximative du terme vraiment employé). Sans roues, avec des paniers dépliables à l’avant, à l’arrière et sur les côtés, il propose un siège à dossier large et rembourré sur lequel l’on s’arrime confortablement. Une sorte de micro incorporé se situe à hauteur du guidon. Il suffit d’y murmurer distinctement ce que l’on recherche pour s’y retrouver en quelques secondes. Par exemple : «Moyen-Âge – France – Terre». Le DGV emporte immédiatement l’étudiant vers le gigantesque secteur où tout ce qu’il espère sur cette époque s’y trouve compilé.
Le DGV se déplace à environ cinquante centimètres du sol, en total silence, à quasi vitesse lumière, s’élève vers les rayonnages les plus hauts et redescend tout aussi facilement. Aucune nausée ni mal de mer. Le DGV, doux et souple, donne l’impression de voler. Il a une position d’arrêt sécurisée qui permet de stationner et de feuilleter livres, rouleaux, tablettes et autres archives autant que souhaité avant de les emmener éventuellement chez soi.
Par je ne sais quelle magie, tout exemplaire sorti se trouve immédiatement remplacé par un autre identique, de manière à ce que jamais aucun document ne soit manquant.
Il existe également d’immenses salles à hologrammes. Plus importants et détaillés que ceux dans les boîtes en bois. Des écrans géants surgissent d’un coup, comme de nulle part, dès que l’on a chuchoté ses désirs au DGV.
Les étudiants, souvent médusés, suivent ainsi en direct des scènes de vies passées, d’époques d’antan comme s’ils y étaient. Sons, lumières, dialogues, costumes, paysages, tout explicite à volonté l’histoire, les événements, les personnages.
Des «interviews» de nos Déesses et Dieux témoignent de leur vécu avec force détails et explications, schémas, images et manifestations concrètes de leurs pensées. Tout étudiant s’immerge totalement dans ce qu’il apprend, voilà pourquoi rien ne sera oublié ou mal compris. Toutes les zones de la mémoire sont stimulées: visuelle, auditive, émotionnelle aussi, etc.
Les jeunes Dieux d’Orion connaissent mieux la Terre et notre Histoire que nous, Humains. Ils connaissent surtout la VÉRITABLE Histoire de l’Humanité.
Et justement, ces jeunes Dieux comme les adultes d’ailleurs, ont la chance de vivre non seulement sur la Bételgeuse mais également sous la sage houlette d’Ea. Ea, qui, un jour, eut une idée… époustouflante… (une de plus).
 
• Le Musée de l’Histoire Humaine et… le Théâtre
N’allez pas croire surtout qu’il s’agisse simplement d’un lieu où s’empilent quelques costumes d’antan, deux ou trois bijoux et une poignée de morceaux de vaisselles rapportés en catastrophe de TerrEa quand nos Dieux s’expatrièrent.
Ce musée de l’Histoire Humaine est un musée grandeur nature composé de villages, de villes, de monuments et infrastructures terrestres reconstitués à la pierre près et par époque.
Les grandes civilisations d’Ea y trônent, bien évidemment, mais plus tristement aussi le cloaque d’Anu.
Aussi, pour traiter de ce Musée de l’Histoire Humaine grandeur nature, il faut d’abord évoquer la passion d’Ea pour le Théâtre.
Nos Dieux, longtemps avant la naissance de la race humaine, adoraient déjà le Théâtre qui incarne pour eux, une école vivante de tout premier ordre.
Hormis les voyages d’études, les stages pratiques et les recherches personnelles, tout s’enseigne chez nos Dieux de cette manière. Et, soi-dit en passant, rien n’interdit le théâtre, même en voyage ou en stage ! Les Dieux instruisent, dès leur plus jeune âge, les enfants-Dieux de manière intelligente, vivante et efficace. Ils personnalisent tout ce qui existe dans la Nature, que ce soit une carotte, le tonnerre ou une émotion. L’enfant se familiarise ainsi avec les grands constituants de la galaxie comme de la psyché divine et humaine. Planètes, végétaux, minéraux, sentiments, émotions, événements, symboles, forces, animaux, dons, talents, capacités psychiques, etc, tout prend un visage, une voix, une expression, une forme, tout raconte une histoire.
Le Théâtre, fondement même de tout enseignement, de toute connaissance pour les enfants et adolescents divins, occupe donc une place privilégiée dans le monde d’Ea, y compris comme source de plaisirs, de divertissements et d’hommages pour les adultes.
Chaque Cité accueille une ou plusieurs troupes de Théâtre avec accès illimité à tous les moyens nécessaires. Outre le «noyau dur» que constituent les Anciens de la troupe elle-même, toutes les autres Déesses et Dieux, tous âges confondus, participent tout naturellement aux innombrables pièces partout proposées plusieurs fois par semaine.
Or, quoi de plus solidaire, de plus convivial, de plus unificateur qu’une troupe de théâtre dont chaque membre possède, de surcroît, un coeur généreux, une Conscience élevée, une inventivité sans égale ? Costumes, décors mobiles, mobiliers, sons et lumières, effets spéciaux, dialogues, voix off, mises en scène, chants, jaillissent des esprits et mains expertes de nos Dieux.
Et que dire des décors «solides», de l’artisanat terrestre, fidèle reproduction d’objets d’époque si indispensables à l’installation d’une juste ambiance historique ?
Quand Ea lança l’idée de rebâtir beaucoup de la Terre sur Orion, afin d’enseigner aux plus jeunes d’entre eux, du concret, du vrai, du tangible, l’enthousiasme fut immédiat. Le Dieu Halpas, grand Dieu architecte, se proposa sur le champ, d’emblée suivi de ses Légions, galvanisées. Chaque Déesse, chaque Dieu mit, une fois encore, dons et talents au service de la Mémoire. Entre les Cités, d’immenses scènes naturelles surgirent du sol, en pierre, en bois, en torchis, en paille, selon les pièces jouées, l’histoire contée et l’époque.
Des villages «terrestres» entiers furent reproduits à l’identique avec une minutie digne de nos Déesses et Dieux. Ceux d’antan, paisibles, larges, plaisants et puis les autres, ceux d’Anu, avec ses coupe-gorges, ses prisons et ses scènes d’exécution. Au final, pas une maison, pas une ruelle, pas une enseigne, pas une taverne, ne manquent à l’appel. Ni non plus la manière de parler, de marcher, de se tenir, de se vêtir, de se maudire, de comploter, de tuer. Tous les grands procès de l’histoire y sont joués, des Templiers jusqu’à nos jours, nul absent.
Des châteaux royaux aux datchas, des bidonvilles aux immeubles Haussman, tout est montré, explicité. Sur la Bételgeuse, au nom de l’Histoire et de la Vérité, des acteurs-Dieux déchaînés interprètent avec un somptueux talent, la véritable Histoire de l’Humanité.
L’idée d’Ea a enfanté un mythe galactique. Toute la galaxie alliée nous envie notre Ea, ses idées flamboyantes, sa lumineuse Sagesse et la capacité de nos Déesses et Dieux à tout réussir.
Mieux encore, ces scènes naturelles de Théâtre à force de grandir et de s’élargir, constituent maintenant des Cités entières à elles toutes seules. Bâties par époque, par civilisation, par continent, sur des milliers de kilomètres carrés, ces Cités-Théâtres sont devenues des lieux d’études, de stages et d’exploration, non seulement pour les enfants de nos Dieux mais également pour ceux des races alliées, bien pauvres en épopées et créations.
Architecture, histoire des pierres, modes de construction, styles de vie afférents aux différentes époques, cultures, coutumes et croyances, tout s’y enseigne de visu.
Nos Dieux ont ainsi reconstruit, grâce aux prodigieux dessins fournis par Ea et son fils Thot, l’ancienne cité de cristal, Atlantis, capitale de l’Atlantide, là où naquit la race humaine.
De même, la somptueuse Babylone à la gloire de Marduk, trouve une place de choix sur Orion. Ses jardins suspendus, notamment, laissent toujours Déesses, Dieux, Humains et autres visiteurs cois.
 

A l’opposé et dans un autre registre, le quartier de la Défense en région parisienne, existe en petit sur Orion. Cet exemple montre tout ce qu’il faut éviter pour ne pas se couper de soi. De même concernant plusieurs styles architecturaux du Moyen-Orient enseignés aux jeunes Dieux comme «constructions destructrices anuïstes».

 

Sous le haut parrainage des plus Anciens, des centaines de milliers d’hectares accueillent des reproductions particulièrement fidèles de lieux sacrés pour nos Dieux et nous-mêmes, du temps où nous vivions ensemble sur TerrEa. Ces villes, temples, statues, jardins, construits par de jeunes Déesses et Dieux nés sur Orion, étrangers par conséquent à la vie sur TerrEa en ces âges de Splendeur, démontrent toute leur implication dans la transmission de notre Histoire, de celle de notre galaxie depuis 12000 ans et tout particulièrement depuis les derniers 4000 ans.
D’ailleurs, Ea n’en est pas resté là : il a réussi le tour de force de recréer aussi, dans ces Cités-Théâtres, autour des villages et des monuments, la flore et la faune d’antan.
Tous les animaux, -qui d’ailleurs pour les Familiars jouent aussi leurs rôles respectifs sur scène-, ont aidé Ea en s’y installant, permettant ainsi la floraison et le maintient d’une nature adéquate.
La grande Déesse-Mère Ninoursag-Hathor fit aussitôt don de milliers de graines terrestres sauvegardées par elle, pour les replanter. Nos Dieux savent conserver graines et plants des siècles sans qu’ils soient atteints. Grâce à la brillante idée d’Ea, TerrEa vit sur la Bételgeuse. Demain, sans doute, bâtira-t-il ici la Bételgeuse et tant d’autres Confins qu’Ea et ses Dieux, héros valeureux, pionniers prodigieux, ont eu le privilège -et le courage- d’explorer.

 
Une fois encore, pour nos Dieux, rien ne doit être oublié.
Nos Déesses et Dieux incarnent des mémoires vivantes de tout ce qui est advenu. Annales akhashiques à eux tout seuls, ils portent dans leur coeur, dans leur âme, dans leur esprit et jusque dans leur corps chaque seconde de leur vécu, de notre passé commun, le plus heureux comme le plus terrifiant.
Nos Déesses et Dieux ont toujours, toujours écrit, sculpté, peint, dessiné notre histoire, leur arrivée sur Terre, la création de la race humaine, notre vie commune, l’attaque de la Terre, leur vie sur Orion mais aussi sur d’autres planètes, il y a fort longtemps.
Qui souhaite connaitre cette vérité-là peut aujourd’hui y accéder aisément pour peu que discernement et liberté d’esprit l’accompagnent dans ses recherches. Je souhaite insister sur ce point : pour nos Dieux rien jamais ne doit se perdre. Tout doit demeurer vivant, non seulement en eux, dans leur mémoire, leur ADN mais également dans la trame de la Vie, dans la tapisserie lentement tissée par elle.
D’où que l’on se tourne sur Orion, la Vie nous parle. Partout des Musées, des Bibliothèques phénoménales, des Mémoires, de la Science, partout de la Connaissance, de l’Histoire, de la Vérité.
Satya, la vérité éternelle, un autre nom d’Ea, s’applique là dans toute sa magnificence.
Nul bâtiment biscornu, statue inutile ou «oeuvre d’art» grotesque. Aucun temps perdu, énergie gaspillée ou poudre aux yeux. Et surtout NUL MENSONGE.
Tout y est profond, pensé, sage, porteur d’une puissante énergie, d’une grande force car nourri très en profondeur de l’Ultime Vérité.
Tous les autres Temples, de Duat ou des autres Cités, organisent des voyages d’études de trois semaines (de notre temps) vers ce Musée de l’Histoire Humaine d’où les jeunes Dieux d’Ea émergent ébaubis.
Toutes et tous souhaitent venir sur Terre aider, construire, apporter leur soutien et… se battre. Ils ont grandi sur une constellation en guerre avec le Mal cosmique absolu et possèdent une parfaite connaissance de tout notre vécu.
De plus, les Humains Immortels qui vivent sur Orion avec nos Dieux donnent des conférences, parlent de qui nous sommes, expriment nos particularités humaines. Plusieurs Dieux dont l’un des parents est Humain participent régulièrement à ces conférences- débats menées dans les Temples, comme Asmodée et Nabu.
Le Théâtre apporte vie à ces témoignages intenses. Ils met en scène LA vérité, la seule, l’unique, celle du vécu de nos Dieux seuls tout d’abord, puis avec nous, une fois nés. Il explicite les Grands Mystères et comment nous les avons abordés main dans la main avec nos Déesses et nos Dieux.
Il fortifie, enseigne, réunit, consolide amitié, amour et solidarité et conte aux jeunes Dieux comme aux Humains demain, non seulement toute notre Histoire commune mais aussi celle de la Galaxie, des planètes et de bien des formes de vie toujours insoupçonnées par nos cerveaux limités savamment attaqués chaque jour. Rires, pleurs, émotions, sentiments, le Théâtre s’avère interactif dans le monde d’Ea, toujours vivant, vibrant, authentique.
Sur un plan plus pragmatique, comme par exemple l’organisation des décors ou des costumes, personne ne se pose la question de savoir comment ni où acheter des tissus ou de quelle manière négocier le prix si achetés en gros !
Besoin de nouveaux costumes ? Nos Déesses vont les tisser. Il n’y a rien à acheter ou à négocier.
Besoin de nouveaux décors ? Nos Déesses et Dieux réunissent les matériaux nécessaires et les construisent. Est-ce aussi simple que cela ? OUI.
Toute la technologie du monde d’Ea, particulièrement élaborée, a pour seul coût la matière grise nécessaire à sa manifestation, les petites mains savantes qui bâtissent, fabriquent, confectionnent et l’intelligence qui permet d’unifier tous ces dons.
 

• Maison des Sciences et Techniques Galactiques
Nos Dieux, sous l’égide d’Ea, étudient beaucoup la biologie. Ils travaillent à constamment trouver de nouvelles manières d’adapter les ADN (celui des Dieux et des Humains immortels) aux variations dimensionnelles ou spatio-temporelles.
Ea, toujours très prévoyant, mène ces recherches tambour battant, au cas où. Il veut une adaptation des corps immédiate, sans effets secondaires ni complications.
Toutes ces recherches de haut vol enviées dans toutes les galaxies se déroulent à la Maison des Sciences et Techniques Galactiques.
D’autres études «prioritaires» en cours doivent demeurer secrètes.

 

• La Maison de la Musique et… Ea
Le développement constant de tous les potentiels artistiques possibles constitue également l’une des priorités du monde d’Ea. Nos Déesses et nos Dieux s’avèrent tous de grands artistes, musiciens, peintres, sculpteurs, danseurs, écrivains, poètes, etc, et de très haut vol.
Déjà sur TerrEa, Shiva-Ptah protégeait grandement artistes et artisans. N’est-il pas lui-même le grand Nataraja, grand danseur cosmique pour ne citer de Lui que ce merveilleux aspect ?
Tous les Dieux pratiquent une activité artistique, jouent d’un ou plusieurs instruments, peignent ou sculptent, écrivent ou créent en toutes sortes de domaines parfois étonnants.

 

Ces artistes-Dieux offrent régulièrement de somptueux spectacles et/ou exposent leurs oeuvres dans les Maisons concernées par leur mode d’expression.
Les artistes se produisent toujours d’abord à Duat car comme vous vous en doutez bien, ils attendent là les commentaires toujours sages d’Enki et sa bénédiction, et espèrent aussi ses félicitations.
Enki, Dieu d’éveil permanent, n’incarne pas Uranus pour rien ! Toutes les réflexions dont il gratifie les artistes sont parfaitement entendues. Ils modifient aussitôt leur mise en scène, leur prestation ou leur exposition. Et comme «par hasard», les voilà qui gagnent en talent et énergie.
Ensuite, le même spectacle -ou exposition-, s’organise dans toutes les autres Cités avec les mêmes moyens. Il n’existe pas, comme trop souvent sur Terre, des spectacles réduits pour la province.

 

La Maison de la Musique, sous l’égide du Dieu Amdusias, figure un équivalent très sublimé de nos conservatoires de musique.
Ea s’invite régulièrement ici ou là, à Duat ou ailleurs, par surprise, et offre ainsi de grands moments d’émotions à tous.
Amdusias, incroyable pianiste, représente le plus grand musicien d’Orion après Ea. Ea et lui improvisent ensemble (donc sur deux pianos en même temps) avec une virtuosité exceptionnelle ou proposent un duo violon/piano ou flûte/piano ou flûte/violon…

 

Ea offre assez souvent à ses Déesses et Dieux des concerts de violon où Vivaldi, grand musicien enkiste, se retrouve à l’honneur. Amdusias -qui joue de tous les instruments-, l’accompagne brillamment ainsi que les meilleur(e)s étudiant(e)s des Maisons de la Musique. Je n’ai pu assister à un tel spectacle que quelques minutes du temps d’Orion mais j’en ai émergé vraiment tourneboulée. Outre la stupéfiante qualité des musiciens, la prestance d’Ea, son champ vibratoire exceptionnel représentent un véritable enseignement. Il se dégage de notre Ea tant de choses indéfinissables… Pas seulement pour nous, Humains, mais aussi pour les Déesses et les Dieux, comme s’il venait d’un autre ailleurs, plus lointain que l’imaginable, tel un précieux cadeau de la Vie, pour nous tous…

J’insiste sciemment sur les dons de musicien d’Ea. Le son crée. Il crée les mondes. Le Grand Maître du son se nomme SHIVA. Il vit les sons et la musique à un niveau jamais atteint.

 

L’inventeur de la musique telle que nous la connaissions jusqu’à il y a peu, a pour nom Ea. Il a gratifié l’Humanité des plus grands artistes, notamment pianistes, flûtistes, violonistes et compositeurs durant des millénaires pour ne parler ici que musique.
De même, la mise en mouvement du corps par le yoga, la danse, la danse sacrée et tant d’autres Arts relèvent de la bonté naturelle d’Ea. Les vrais Humains héritent de dons et talents artistiques, littéraires et autres de leur merveilleux Père.
Aujourd’hui, comme pour tout le reste, il ne subsiste plus guère de musiciens dignes de ce nom, de véritables artistes qui nourrissent leur oeuvre de tout leur être puis accouchent d’elle dans les affres et l’extase de l’accomplissement. Leur énergie manque de fluidité, leur corps physique de légèreté et de cette ouverture à la Vie qu’ils possédaient avant, dès la naissance. Nous sommes devenus trop denses, trop enkystés pour vivre pleinement le pur ressenti de l’artiste au sens d’Ea.
Ea incarne le violoniste cosmique par excellence. Le flûtiste cosmique par excellence. Son violon parle, rit, pleure ; sa flûte élève toute vie vers d’immaculés sommets.

Ea devient la musique qu’il joue, qu’il crée au moment même où il l’interprète. Ou plus exactement, Il est la musique, il est le son, la mélodie, le violon et la flûte. Il donne vie, il donne corps à sa création, abreuve de sa puissance créative une forme totalement inégalée. 
Ecoutez La Cetra de Vivaldi, notamment l’Opus 9 du concerto n° 11 en C minor. Puis imaginez Enki la jouer, surtout les Allegro, à Duat, dans une énergie bleutée pailletée d’or. Plus que de la synesthésie, vous devenez l’archet et courez sur les cordes du violon, des ailes chevillées au corps.
Les Quatre Saisons, considérées comme les plus difficiles à interpréter relèvent, pour Ea, d’un simple échauffement, de quelques gammes «violoniques». Paganini aussi semblait habité d’Enki, comme tant d’autres.
 
Ea symbolise l’exemple parfait de la juste harmonie entre l’individualisme et le sens du groupe. Lui, si grand Dieu, joue pour ses Légions. Il pourrait garder ce privilège pour ses amis les plus intimes, sa famille, mais il s’y refuse. Ea estime juste d’agir ainsi. Une autre manière de vivre la solidarité, l’amitié et le partage. Composer un morceau de musique, un opéra, un concerto, un hymne ou simplement une ballade, jouer d’un instrument, chanter, transmettre la beauté de la Vie par la Musique pare le monde d’Ea d’un grand manteau scintillant de lumière, d’amour et de sensibilité.
Son complément, la Danse, exprime les ressentis de la musique et des émotions qu’elle soulève dans le corps physique. Une Maison de la Danse se tient toujours mitoyenne à celle de la Musique.
Les Artistes sont très aimés dans le monde d’Ea et très soutenus.
 
 
Tout est sacré chez Ea. Tout est fête, joie, danse et création, oui, mais sacrée, comme je l’ai déjà dit. En Conscience. Avec cette constante compréhension de ce que tout art révèle à soi et aux autres.
Tout s’avère donc hommage. Hommage à la Vie, hommage à la Nature, hommage à Ea, hommage aux Déesses, hommage aux Dieux, hommage à l’Humanité, hommage, hommage, hommage… vous comprendrez mieux encore pourquoi chez Ea, nous avons tant à fêter! Chaque saison, chaque moment précieux, chaque richesse émotionnelle, chaque sentiment, chaque don, chaque force mérite reconnaissance et hommage. Il n’est donc pas étonnant que Vivaldi ait composé les Quatre Saisons.
Chez Ea, être en vie revient à exprimer constamment et puissamment tous les sentiments, toutes les émotions de la Vie, incroyables en intensité, puissantes en multiplicité, généreuses en luxuriance.
Ceux qui refusent l’émotion se tiennent loin d’Ea.
 
J’ai assisté à une scène incroyable, un jour, alors que j’étais avec l’un de mes guides sur Orion. Voici ce dont je me souviens :
Les Déesses et les Dieux vaquaient à leurs occupations, allaient et venaient. Certains cueillaient quelques fruits, d’autres les dégustaient sur place, des enfants-Dieux couraient et jouaient avec leurs animaux favoris.
Plus haut sur l’avenue, des flots d’étudiants quittaient les différentes Maisons et discutaient par groupes devant les portes, appelant à la détente.
 
Soudain, Ea, surgi de nulle part, très grand, très blond, superbe de classe et de distinction, traversa la vaste avenue sous les regards affectueux des Déesses et Dieux et pénétra dans cet immense jardin public connu pour ses splendides fontaines.
Légèrement adossé contre le tronc d’un chêne somptueux et multi-centenaire, il se mit à jouer du violon.
Aussitôt, tout sembla différent. Le temps s’arrêta, attentif. Un chant s’élevait du violon qui saisissait coeurs et âmes. Sanglots, liesses, tout s’entremêlait en un mouvement qui décollait du sol.
Les yeux clos, tous étions comme emportés, toutes ailes déployées, en d’autres temps, vers d’autres dimensions, d’un portail dimensionnel à l’autre, tels des oiseaux magiques, oiseaux de feu, oiseaux de vie. Et cet ailleurs sur lequel nous voguions était de toutes pièces fabriqué par Ea et son prodigieux talent de violoniste.
Quatre cordes, un archet, toute la puissance d’Ea et nous embarquions sur d’inimaginables navires d’énergie, temples vivants qui voguaient et voguaient encore, évitant des écueils-nuages, chevauchant des vents étranges, courant, volant vers d’autres horizons, encouragés en cela de pizzicatis évocateurs.
 
Derrière Ea, une cascade d’eau crachait des étincelles d’or et d’argent, éclaboussait rocs et pierres, accompagnait un Ea au sommet de son art de clapotis joyeux, de grondements furieux, comme autant d’effets sonores en parfaite harmonie avec ses improvisations. Un spectacle stupéfiant se dessinait peu à peu tout autour d’Ea : une multitude d’oiseaux multicolores, ne bougeant plus ni plumes ni pattes, le bec à demi- ouvert, écoutaient comme hypnotisés, le col mou. Des dizaines de chats rassemblés à ses pieds, flottaient visiblement dans d’autres continuums, le coussinet flasque.
Plusieurs chevaux qui paissaient paisiblement dans les prés mitoyens rejoignirent l’attroupement, les sabots enchantés, secouant en cadence queues et crinières. Des centaines de souris blanches, la moustache béate, cavalcadaient en tous sens comme arrimées -à distance-, à la virtuosité de l’archet. Galvanisé par l’énergie d’Ea, il se mouvait à une telle vitesse sur les cordes bien entrainées, qu’il en devenait invisible. Tous, lévitions dans le monde intérieur d’Ea, pur, glorieux, fantastique.
Les écureuils, estourbis par tant de puissance, tombaient en somnolence. Un renard émergea de sa tanière, le museau illuminé, il semblait sourire. Des nuées de corbeaux, silencieux, arrivaient de toutes parts, la plume luisante. Le coeur débordant de lumière, le corbeau-maître se posa, délicat, sur l’épaule d’Ea. Des centaines de Déesses et de Dieux, attentifs, jouissaient de la virtuosité d’Ea, toujours sublimés, jamais blasés. A pas de loup, ils s’avançaient, s’asseyaient sur l’herbe ou demeuraient debout, figés devant autant de beauté.
Les fleurs, les arbres bruissaient. Comme toujours quand Ea jouait pour la Vie, en hommage à Dame Nature, chaque brin d’herbe, chaque pistil, chaque brindille frémissait. La Vie répondait avec gratitude à un tel présent. Une véritable communion se déployait, animée par un Dieu cosmique immense aux cheveux d’or, aux yeux d’un bleu profond, aux mains de pianiste. Quand au bout d’un long moment, le violon se tut, le silence s’intensifia. Comme si, encore enveloppés d’une telle splendeur, il fallait un temps de récupération aux Dieux, aux Humains, à la Nature elle-même pour émerger d’autant de puissance magique.
Quelques notes et tant de félicité…
Soudain, des tonnerres d’applaudissements résonnèrent à des kilomètres à la ronde.
Ea sourit de ce sourire qui éteint toute douleur, qui apaise toute souffrance, qui nourrit les cœurs d’un amour sans fond.
Des centaines de croassements emplirent les airs ; les oiseaux, la plume à nouveau en action, pépiaient à qui mieux mieux. Les chats, assis, enfin extirpés de leurs limbes, leurs regards lunaires rivés sur Ea, miaulaient à pierre fendre.
D’une seule voix, d’un seul élan, les Dieux scandèrent le nom d’Ea.
Depuis les coeurs, les pattes, les plumes, les pistils et les feuilles, de l’amour et encore de l’amour fusa vers Ea qui éclata de rire.
Cet inoubliable moment se termina -évidemment !-, en banquet où tous furent conviés. Une fois encore, l’éclatante Merveille des Merveilles, EA, avait uni tous les Règnes, affirmant que l’union faisait la force. Et cette force-là sustentait le véritable Amour de toute civilisation digne d’admiration, de respect et d’affection.Cela me rappelle une autre scène moins spectaculaire, inscrite dans les annales akashiques mais toujours avec Ea.
Il s’agissait aussi de musique, mais cette fois-là, Ea jouait de la flûte. Cela se passait en Inde ancienne où se situait la capitale de l’Atlantide.
Assis au sol, au bord de l’océan indien, pas très loin d’une sorte de bois où plusieurs clairières s’enchevêtraient, notre prodigieux Père se mit à jouer. Aussitôt, des nuées d’Humaines et d’Humains le rejoignirent et s’assirent tout autour de lui, trop heureux de bénéficier d’un si beau moment.
Le son aigu de la flûte est aujourd’hui souvent mal supporté par ceux dont les chakras du haut demeurent fermés. Pas pour nous, surtout à l’époque. Nous baignions dans son aura douce et bienveillante. Presque bercés, nous étions proches d’une sortie astrale quand une farandole de petits Êtres de la Nature surgit des bois.
Facétieux et joyeux, ils se mirent à danser au rythme de la flûte, la mine béate, les petites jambes sacrément déliées. Marduk, qui se tenait là avec nous, tapa des mains pour les encourager.
 
 
Ea intensifia le son de sa flûte. Et une fois encore, nous basculions dans un monde merveilleux qui constituait la plus grande partie de notre quotidien, en ces Temps bénis.
Une kyrielle de petites fées aux ailes bleutées, aux boucles souples et dorées, voletèrent au-dessus des lutins et se mirent à danser aussi. Deux scènes charmantes et vivantes se superposaient pour notre plus grand plaisir.
Des nuées d’abeilles prêtaient main forte aux lutins et fées, absolument déchaînés. Leurs bruissements magiques activaient nos chakras supérieurs et offraient à Ea un accompagnement des plus originaux.
 
De la beauté en cadence, de la joliesse en rythme, voilà ce que je contemplais, sidérée. Nous unissions joie et amour pour notre Ea, cette Splendeur qu’aucun mot ne peut ni définir ni dépeindre. Brusquement, je clignais des yeux. Heu… mais… le bois s’animait aussi !?
Les troncs des arbres semblaient plus fluides, plus souples… et ils dansaient !?
Les plus attentifs d’entre nous discernaient déjà au coeur même des clairières des mouvements et des danses, des chants et des vibrations.
Ea se leva et se dirigea vers ces danses invisibles au profane, tout en continuant à jouer de sa flûte, suivi par nous, les lutins et les fées qui ne perdaient pas une seconde de cette fête spontanée.
Ea, debout au coeur de la clairière, canalisait un rideau de lumière ahurissant. Il semblait que tous les rayons du soleil l’éclairaient d’un seul élan. Ce halo quasiment aveuglant rendait son aura visible aux yeux de tous. Une aura de feu, de lumière, de vie, de chant et de danse. Des notes de musique sautaient et cabriolaient dans ses corps subtils, une multitude de flammèches multicolores crépitaient en rythme… J’étais bouche bée.
 
Comment décrire une telle magnificence seulement avec des mots ? La Vie dansait dans Ea. Elle s’affairait là, en lui, tout autour de lui. Il ne faisait plus qu’un avec la Vie, Lui et la Vie, la Vie et Lui. Un accouplement sacré, une fusion unique d’une puissance indescriptible. Mon coeur débordait d’amour pour Ea, ce Père prodigieux, unique, dont nous avons été si brutalement séparés physiquement, mais qui, dans nos coeurs, dans nos âmes, demeure ; et jusqu’à ce jour, continue de toujours vibrer en nous.
Des fleurs que je n’avais encore jamais vues auparavant sur Terre, le pétale pointu violet et jaune soleil, le pistil rouge dansaient sur leurs tiges.
Ea tapait du pied en cadence, réveillant ainsi le «monde d’en-dessous». Toutes sortes de petites bestioles pointèrent leur bout de nez à la surface de la Terre et rejoignirent le concerto auquel nous avions le grand privilège d’assister.
Soudain, la scène disparut lentement. Je la regardais se dissoudre, hébétée. Je n’étais pas encore habituée aux miracles quotidiens que provoquent les activités artistiques d’Ea.
 
• Les autres Maisons – Généralités
Il existe bien sûr bien d’autres Maisons sur la Bételgeuse. Ces Maisons complémentent les études dispensées dans les Temples. Là se font tous les premiers stages pratiques, sur le terrain, avant que les étudiants ne choisissent de trotter sur d’autres planètes ou en d’autres lieux d’Orion.
Chaque Maison de chaque Cité se développe sous l’égide d’une Déesse ou d’un Dieu tutélaire. Une Déesse ou un Dieu tutélaire parraine l’ensemble des Maisons de son domaine de prédilection.
 
 
Comme à chaque domaine d’études correspond une Maison, par exemple au domaine d’études agricoles correspond une Maison de l’Agriculture, au domaine d’études des Sciences astronomiques une Maison de l’Astronomie, etc, chaque Maison est largement pourvue en livres, documents spécialisés, films et autres liés à ses activités spécifiques.
Là encore s’organisent tous les voyages d’études et d’applications pratiques, conférences, stages, initiations la concernant.
Ces Maisons s’avèrent donc fondamentales non seulement dans l’organisation pratique des études et apprentissages des étudiants de tous âges, mais aussi dans les échanges constants et particulièrement enrichissants qu’elles permettent. Beaucoup de débats et après-midis d’étude et de pratique se mettent en place entre élèves débutants et moyens et les plus avancés, entre élèves et enseignants, experts ou toute personne proposant un témoignage enrichissant.
Ces débats sont toujours filmés afin que les futurs élèves plus tard, puissent en profiter aussi. Et intégralement retranscrits sur des sortes de livres- pierres indestructibles que Thot compile précieusement avec ses Légions dans sa prodigieuse bibliothèque.
 
Toutes les Maisons sont inaugurées par Ea en personne qui répand sa puissante bénédiction sur elles. Le Dieu ou la Déesse tutélaire se tient à ses côtés ainsi que toutes les Déesses et Dieux concernés ou enseignant le domaine de la Maison.
Chaque année, à leur date de «naissance» (date d’ouverture), les Dieux pratiquent un rituel de protection afin que toute personne y pénétrant soit d’emblée entourée d’une aura de guérison, de régénération, de protection, d’amour et d’amitié.
 
• Les Maisons du Sport
(ou Maison du corps).
Toutes les Maisons du Sport d’Orion fonctionnent sous l’égide bienveillante et très active du grand Dieu Thor, qui dirige personnellement celle de Duat et se rend régulièrement sur le terrain entraîner ses étudiants. Outre toutes les disciplines sportives possibles, Yoga, Arts Martiaux et Techniques de Combat très anciennes inconnues sur Terre s’y enseignent également.
Ces Maisons proposent enfin massages et saunas.
 
Les Maisons du Sport sont très fréquentées par nos Déesses et nos Dieux, très férus d’activités physiques en tous genres.
L’entrainement au combat plus avancé, impliquant des actions occultes par exemple, a toujours lieu en des endroits clos hors des bourgs ou en pleine nature, très en «hauteur». Notamment pour les Dieux adolescents. Nos Déesses et nos Dieux se montrent très stricts sur la communication des enseignements secrets, des techniques occultes de combat. Cette transmission se fait uniquement lorsque les élèves s’avèrent prêts, sinon cela disperserait la puissance magique de l’enseignement et confinerait à l’acte de trahison.
 
Dans un autre registre, Thor, épaulé par d’autres Déesses et Dieux, organise chaque année des rencontres sportives ou d’Arts Martiaux dans toutes les Cités, dont la principale se tient à Duat.
Les Dieux les appellent «les Grandes Rencontres». Elles ont lieu entre Cités et/ou s’organisent à l’occasion d’une fête ou d’une célébration particulière.
Ces rencontres permettent également une sorte de «sélection naturelle» des participants dont certains par la suite -et s’ils le souhaitent-, peuvent être pressentis pour des missions exigeant force, courage et dépassement de soi, comme l’installation sur une nouvelle planète !
 
Une autre rencontre trimestrielle très appréciée des Déesses et Dieux : les Jeux d’Intelligence. Connaissance, discernement, débrouillardise, endurance, force, solidarité, courage, esprit d’équipe et… intelligence s’avèrent indispensables pour démêler des écheveaux d’une telle complexité.
Certaines fois, ces Jeux d’Intelligence prennent la forme d’une chasse aux trésors à laquelle Thot vient rajouter un «grain de sel énigmatique de haute complexité». Le niveau très élevé des rencontres et les énigmes en question… incompréhensibles à tout le moins pour nos cerveaux humains, suscitent une véritable passion chez nos Déesses et nos Dieux qui, quatre jours durant, cherchent et recherchent la solution.
 
Les vainqueurs, toutes rencontres confondues, se voient toujours très fêtés et honorés, et tout particulièrement félicités par Ea et les Déesses-Mères.
Tous nos Dieux, très «fair play», affichent leur fierté de compter parmi eux des Êtres divins et divines aussi extraordinaires.
Comme de bien entendu, et j’imagine sans surprise aucune pour vous, un joyeux banquet s’ensuit tard dans la nuit sous la présidence d’un Ea débordant de lumière.
 
• Les Maisons de Vie et de Guérison
Elles sont toutes placées sous la bénédiction commune des Déesses-Mères Ninoursag et Damkina. Mais une Déesse ou un Dieu guérisseur gère chaque Maison de Vie de chaque Cité au quotidien. Il existe plusieurs Maisons de Vie à Duat.
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Le nom de ces Maisons se passe de toutes explications. Là sont guéries les blessures et les accidents effacés des mémoires auriques.
De très importants stages, y compris en chirurgie, s’y pratiquent.
 
Certaines races ralliées à Enki de longue date ont séjourné dans les Maisons de Vie et de Guérison, profondément touchées dans leur coeur, par un tel accueil, un tel soutien.
L’un d’eux m’a dit un jour : «C’était un baume cosmique, un baume cosmique d’amour qui a nourri en quelques instants non seulement la totalité de tout mon être physique, dans chaque organe, dans chaque fibre, mais aussi toute mon âme, mes corps subtils. J’ai failli m’évanouir de bonheur, tant ce baume m’a dégagé en quelques instants de décennies de malheurs. Depuis, je n’ai plus souffert ni fait de cauchemars ni crains quoi que ce soit. Je ressens tellement de gratitude. Je ferai n’importe quoi pour Ea et ses Légions.»
 
• Les Maisons des Saveurs
Ici se pratiquent l’art culinaire, l’impact de l’alimentation sur la santé, les capacités de guérison des épices, plantes et autres car nos Dieux les emploient à dessein dans certains plats ou desserts.

 

Cette Maison des Saveurs est toujours bondée par une majorité de Déesses qui adorent échanger leurs recettes, en inventer d’autres et les tester avant d’en faire profiter toute la Bételgeuse.

 

Les plus grands Cuisiniers et Cuisinières sortent de ces Maisons auréolés de «gloire», si je puis dire, et très prisés.

 
Certains ouvrent d’ailleurs des restaurants toujours combles.
Manger fait partie des grands plaisirs de la Vie pour nos Déesses et nos Dieux. Comme leur métabolisme parfait leur permet de manger tout ce qu’ils veulent, de boire tout ce qu’ils souhaitent sans jamais prendre un gramme ou tomber malades, ils ne se privent en rien de ces délices ! Quelle chance !
 
• Les Maisons de l’Agriculture
Je ne vais pas là encore «radoter» sur le rôle de cette Maison qui, vous l’aurez bien compris, accueille tous les étudiants en agriculture et offre des stages intensifs de pratique pour toute Déesse ou tout Dieu qui souhaite approfondir cette discipline.
 
L’étude de l’agriculture chez Ea induit la connaissance appliquée des Lignes Ley, du Feng Shui environ- nemental, de la biologie animale, de la vie animale, de toutes les flores, etc, et du développement des capacités occultes approfondies permettant le contact direct avec l’énergie de Bételgeuse et de tous les petits Êtres de la Nature y séjournant.

 

Un mot des moulins qui existent sur Orion, comme dans l’ancien temps sur TerrEa.
Tout le grain y est moulu à l’ancienne. Nos Dieux mangent complet et non raffiné.
Prenons l’exemple des champs de blé qui s’étendent, comme pour tout sur la Bételgeuse, à perte de vue : toutes les moissons se font à la main à une vitesse hallucinante (n’oubliez jamais que nos Dieux se déplacent et se meuvent à la vitesse lumière voire au- delà s’ils le souhaitent) avec des faux qui coupent des dizaines de mètres à chaque fois.

Ce sont les précieux petits Gnomes du blé qui lancent le coup d’envoi des semailles comme des moissons. Ils préparent la terre aux semailles et le blé à la moisson.

 

• Les Maisons des Animaux
Il s’agit bien évidemment des cliniques vétérinaires de haut vol où les animaux sont soignés sur les plans physiologiques et occultes. Eux aussi ont des corps subtils et des chakras.

ÉA, ORION et NOUS – Juste un mot et Préambule

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ÉA, ORION et NOUS – Juste un mot et Préambule

 

 

Je ne reconnais ni ne parraine ou ne dirige en aucune manière 
quelque mouvement politique, spirituel, 
associatif ou communautaire que ce soit.
 
Quiconque viendrait à se réclamer de mon nom et/ 
ou de mes écrits concernant ces activités serait 
un affabulateur mal intentionné.
Caroline Bright
 
 
 
 
     
 

JUSTE UN MOT…

Ce livre m’a été souvent réclamé. Le voilà donc. Il ne contient que mon expérience personnelle de nos Déesses et Dieux, de leur lieu de vie et rien d’autre. N’y cherchez pas de grandes phrases ou de stupéfiantes révélations sur l’avenir de la planète. J’ai opté pour un style simple, descriptif, sans mots compliqués ou tournures trop travaillées. 
 
J’avais songé au départ à ne pas même ordonner le livre, juste laisser couler les mots sans me préoccuper de chapitres ou d’un quelconque plan.
Finalement, j’ai dû me rendre à l’évidence et structurer l’ouvrage : il fallait bien que le lecteur puisse s’y retrouver et accéder à certains aspects de la vie de nos Dieux sans y perdre tout son temps.
J’ai cependant laissé certaines répétitions, certains retours sur des points déjà traités car ainsi venait l’écriture. Je voulais quelque chose d’authentique, de spontané au gré de mes souvenirs, de mes expériences, malgré les paragraphes et les chapitres et parvenir également à répondre à vos questions. 
 
Je vous souhaite de bons moments à la lecture d’Ea, Orion et nous.
Demain, tous ensemble, écrirons-nous Ea, la Terre et nous. 
 
 

PRÉAMBULE

Nous ne sommes pas seuls dans l’univers, nous ne l’avons jamais été. La Vie se déploie partout tout autour de nous sous d’innombrables formes, visibles ou invisibles.
 
Tout respire, tout bruisse, tout vit, tout meurt puis renaît encore. La Vie ne meurt jamais en tant que telle et lutte jour après jour pour sa propre survie. Tous, Dieux, Humains, Animaux, Végétaux, Minéraux appartenons au grand corps de la Vie, au Grand Yin cosmique. 
 
 
Des Êtres supérieurs, d’un niveau de Conscience inégalé en puissance et en pureté, existent dans d’autres espaces-temps.
Il s’agit de nos Déesses et nos Dieux. Le plus sage et le plus avancé, EA (prononcez Éya), est le Père de l’Humanité. En tous les cas pour moi. Ces Merveilles ont longtemps vécu avec nous sur Terre. Beaucoup de preuves de leur présence essaiment encore notre planète bien que l’inertie ambiante se refuse à le reconnaitre. 
 
 
Depuis quatre mille ans, ils vivent sur Orion. Mais par le jeu des couloirs inter-dimensionnels, ils demeurent proches de nous et plus encore par le coeur et l’âme. Nos Déesses et nos Dieux figurent le seul recours viable face à la montée du Mal sur Terre. Nous avons besoin d’eux, ils sont prêts à nous aider.
 
 
«Les Ténèbres seront préférées à la Lumière, 
le mystique sera tenu pour fou, 
le fanatique passera pour un héros, 
le pire criminel pour un homme de bien. 
On rira de l’Âme et de toutes les croyances qui s’y rattachent. 
Bien plus, on n’y verra que vanité. 
Ce sera un crime aux yeux de la loi que 
de s’être adonné à la pure religion de l’Esprit».  
Extrait de la Prophétie de Thot, le Trois fois grand. 

Nous y sommes…

Dieu Barbatos

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DIEU BARBATOS

barbatos_web

 

Contact : du 25 au 29 avril et du 22 novembre au 22 décembre
Planète : Vénus
Elément : Terre
Polarité : Jour – Yang
Matériaux : Cuivre
Bougies : Noires
Végétal : Lierre

 

Voilà un Dieu d’une grande distinction, très agréable, grand, bien bâti et très séduisant avec ses longs cheveux blonds. Son teint mat fait ressortir ses beaux yeux bleus, d’un bleu de ciel d’été.

L’étymologie de son nom signifie pour une part : «celui qui pèse», «celui qui a du poids» et pour une autre, «au fond de l’être humain».
Nous retrouvons notamment la racine sanskrite ashti qui évoque la structure osseuse, «ce qui dure le plus longtemps après la mort». Un peu comme si dans ce nom siégeait déjà quelque immortalité. Alain Rey évoque également l’idée de gourou (1) , de maitre et de maitrise. Ceci semble bien logique pour un tel Dieu.

En roumain ancien, par exemple, «barbatos» signifie «viril» et «Barban» en acadien, «loup». Quelle que soit l’étude menée, tôt ou tard, la symbolique de nos Déesses et de nos Dieux jaillit toujours. Tout, en effet, ne peut être effacé.

Barbatos est un grand Dieu marin qui, à bord de son navire-vaisseau, traversa maintes fois les océans, non pas seulement ceux que nous connaissons aujourd’hui mais aussi ceux d’antan, avant déluges, chocs et attaques.
Très actif après l’attaque de la Terre par les Mauvais, il entreprit avec, Andras notamment mais pas seulement, d’agir en sous-marin, sans jeu de mots faciles.

Ils installèrent des quartiers généraux sur des îles près de la Méso-Amérique :
• à Andros (gérée donc par Andras qui donna son nom à ce bout de terre)
• à Barbados (gérée donc par Barbatos qui donna son nom à ce bout de terre)
Ils combattirent très longtemps contre le Mal, la cruauté, le génocide des peuples, y compris via leurs corps astraux respectifs quand ils rejoignirent à leur tour Orion. 

Une vaste région d’Europe soutenait leur combat qui abrite aujourd’hui ce que nous appelons la Roumanie-Valachie, la Moldavie, les Carpathes, la Transsylvanie, etc. Pour ces êtres d’antan, le monde se peuplait de géants, les Urioni, de leurs fidèles ou Létinis surnommés plus tard par qui l’on sait «païens». (2)
D’ailleurs, dès 7 à 8000 ans en arrière, nous trouvons en ces terres, des tumuli (vallée de l’Olt), des rites mortuaires avancés, une agriculture florissante, et beaucoup de statuettes féminines, d’ornements très raffinés. La trace évidente de nos Déesses et Dieux, qui, partout où ils sont passés ont laissé derrière eux beauté, raffinement, et un symbolisme particulièrement riche. D’aucuns évoquent à juste titre des tribus indo-européennes de l’Est.
La culture Cucuteni nous en remémore quelques souvenirs englobant l’Ukraine. 
Observez ci-contre, (3) par exemple, une petite statuette représentant la déesse de la fertilité : la rune Ing fermée, celle en losange, rune de gestation et de grossesse, avec les quatre points des quatre directions et des quatre éléments en son sein. Pour des peuples soi-disant encore «primitifs», ils détenaient une connaissance assez étonnante des runes… Et les «jambes» de la statuette refermées en triangle vers le bas, plantées, enracinées dans la Terre-mère, mais également Phallus retourné…
 
Revenons à l’île de la Barbade
Ceci vous semble sans doute un peu facile d’établir une corrélation entre un nom, -fut-il divin- et une île, même si la coïncidence parait énorme ? Regardez juste le drapeau de cette île : fond bleu et jaune, le trident de Neptune dessus. Couleur et symboles d’Enki-Shiva. 
Wikipedia nous explique que 80% de la population blanche s’y trouvait concentrée en 1650 et d’ajouter que le nom de cette île a pour origine la barbe de ses habitants ou encore la forme de l’île elle-même… N’oubliez pas la localisation géographique de cette île, qui fut dès deux mille environ avant notre ère, habitée par des amérindiens, notamment des Vénézuéliens, pour parler avec un langage actuel. Il s’agissait des Arawaks d’antan. Car très rapidement, une fois nos Dieux hors de Terre, peuples, sociétés et mentalités ont dégénérés parfois jusqu’à l’anéantissement total.La compagne de Barbatos est la grande Déesse Bim (Bime) surnommée Bune. (4) 

Barbatos apprécie tout particulièrement le passage du soleil dans le signe du Sagittaire, signe de l’arc et de l’archer.
En effet, sagittarius signifie archer, fabricant de flèches en latin, sagitta étant la flèche ou tout objet en forme de flèche.
En français, dès 1119, sagittaire évoque un centaure qui tient un arc prêt à tirer : sajetaire : centaure (5)
Seulement cette évocation n’est pas juste.
En réalité, le Sagittaire figure un cheval AILÉ sur lequel Rudra, le grand Dieu archer galope. De son arc, il montre la voie, l’élévation, la Connaissance et cible… Orion, la Bételgeuse et toute sa puissance, sa grande puissance, car neuvième plus brillante étoile de la galaxie. Non pas deux corps physiologiquement imbriqués, l’un cheval et l’autre humain.
Voilà pourquoi le signe du Sagittaire, dans les temps anciens avait pour grande symbolique Rudra (autre aspect de Shiva et Odin, il s’agit toujours du même Dieu) caracolant sur Sleipnir, qui deviendra  bien plus tard Pégase. Et cumulait deux éléments, l’Air et le Feu comme le Scorpion cumule l’Eau et le Feu offrant ainsi l’Eau Ignée de la Connaissance (Kundalini).

Les Grecs, très oublieux de leurs vrais Dieux, transformèrent Rudra sur son cheval en centaure, un être mi-cheval, mi humain, tenant toujours, malgré tout, un arc dans la main.
Plus tard, en Thessalie notamment, le Centaure devint un esprit de la foret et de la montagne. Très réducteur, vous en conviendrez.
Enfin, à Homère, habité d’une malsaine inspiration, incombe la lourde responsabilité d’avoir rendu ce pauvre centaure mauvais, grossier et obsédé sexuel !
Sans oublier la transmutation du dieu Chiron/Charon, grand guérisseur, en «bon centaure».
Il ne s’agit pas du même Être sinon pourquoi utiliser le même nom sauf à rechercher pagaille et confusion ?
En fait, il fallait une fois encore salir, souiller, piétiner la beauté, l’enseignement élevé et le réduire à de la crasse obsessionnelle, à de la saleté repoussante.
Il suffit de lire ce que j’écris sur le cheval dans mes livres  pour comprendre l’immense portée de Rudra sur sa monture ailée, surtout après le passage du Soleil en Scorpion. 

Rudra-Shiva, comme toujours montre la voie : par l’arc et la flèche décochée. Qui, d’ailleurs, soit dit en passant, est le glyphe originel du signe, évoquant clairement la rune Tyr. Or le Sagittaire est le signe de la justice des hommes ET surtout des Dieux, notamment celle de Rudra, futur Kalki…. 
Donc, la flèche cible Orion. Tisser le lien, s’entêter au contact précieux avec cette constellation illumine d’emblée nos esprits d’une connaissance insoupçonnée. 
L’arc : un grand symbole de nos Dieux.
• Shiva-Rudra figure le dieu archer, Apollon possède le sien, -pour ne citer qu’eux.
• L’arc évoque le Lingam.
• Plus encore, l’arc, la corde et la flèche dessine les trois étoiles d’Orion, légèrement arquées. Et les trois grands mondes divins principaux.
• Plus accessible, dans notre notre, le corps, l’âme et l’esprit. Ainsi l’arc chante, vibre, il vit…
L’archer détient le secret, celui du choix de la cible touchée en plein coeur pour mieux s’y arrimer.Cette union ponctuelle entre le cavalier divin et sa monture dévoile aussi l’ouverture à la télépathie avec les animaux, que d’ailleurs Barbatos enseigne. Ce contact entre deux règnes, humain et animal, s’avère possible et même encouragé grâce au déploiement des capacités de nos cerveaux, actuellement gravement saccagés.

Finalement, Barbatos nous explicite la nécessité de l’alignement de soi, de la concentration indispensable, de l’incontournable vision, celle de l’aigle, afin de ne point faillir à sa mission : rejoindre, contacter, comprendre Orion dont les trois étoiles principales forment… un arc.
Le sceau de ce grand Dieu évoque également ces trois niveaux, la croix centrale, chakra du coeur, étoile de Vénus, les lignes chakriques, les chakras, le Serpent/Kundalini…
Barbatos apaise les pires douleurs, physiques ou psychologiques car il connait tout de l’âme humaine. Il ramène la paix dans les foyers, entre les couples, les amis, les communautés, les pays car il connait tout de l’égo humain. Il enseigne toutes les sciences des plus improbables aux plus connues à qui souhaite évoluer vers la Vérité.

Sans la compréhension de la Terre, de sa véritable Histoire, de ce qu’elle offre et contient, sans la compréhension de l’Amour de la Vie pour elle-même, la Connaissance demeure floue, limitée et contradictoire.

 

GLOIRE À BARBATOS !
QUE JUSTICE LUI SOIT RENDUE !

 
 
Sources et références
(1) dictionnaire historique de la langue française – Alain Rey – Editions Le Robert – page 323
(2) histoire des roumains et de leur civilisation – Nicolas Lorga.
(3) les images achetées et étudiées se trouveront dans le tome 3 des Dieux.
(4) petite encyclopédie des merveilles – les Déesses – tome 1 
(5) dictionnaire historique de la langue française – Alain Rey – Editions Le Robert – page 3354

Appel pour moisson d’énergie – 27/29 octobre 2019


ENKI, L’épopée cosmique

RÉVISION DES ARTICLES SUR LES CHAKRAS

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RÉVISION DES ARTICLES SUR LES CHAKRAS

Bonjour à vous toutes et à vous tous,

Les articles sur l’ouverture des chakras sont actuellement en cours de relecture et sont donc hors ligne.

Merci de votre compréhension.

Plein de belles choses à vous 🙂

RITUEL de DESTRUCTION du COVID-19 et des branches afférentes

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RITUEL de DESTRUCTION du COVID-19 et des branches afférentes

 

Pour celles et ceux qui souhaitent s’impliquer comme Guerrières et Guerriers d’Enki, voici un rituel puissant de destruction de cette saleté de virus.

Lisez-le très attentivement avant de le pratiquer et surtout ne recopiez jamais le sceau. Celui-ci doit impérativement être imprimé en rouge et utilisé comme tel. Ne repassez pas non plus sur les traits, jamais. Si vous n’avez pas d’imprimante vous ne pouvez donc pas faire ce rituel.

Si besoin, relisez l’article concernant l’organisation d’un autel de rituel disponible ici : https://www.loveenki.com/enki/2012/12/organisation-dun-autel-de-rituel-exemples-conseils-avant-rituel/

 

Cliquez sur les deux boutons ci-dessous pour télécharger le déroulé du rituel et son sceau.

 
 

LE RITUEL           LE SCEAU

 

Soyez nombreux 🙂

RÉVISION DES ARTICLES SUR LES CHAKRAS

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RÉVISION DES ARTICLES SUR LES CHAKRAS

Bonjour à vous toutes et à vous tous,

Les articles sur l’ouverture des chakras sont actuellement en cours de relecture et sont donc hors ligne.

Merci de votre compréhension.

Plein de belles choses à vous 🙂

 

P.S : Si les posts sur l’ouverture des chakras sont sortis, ce n’est pas pour m’amuser à vous les envoyer individuellement selon où vous en êtes…merci donc de ne pas m’envoyer de mails en ce sens.

APPEL POUR RITUEL

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APPEL POUR RITUEL DE GROUPE CONTRE LE COVID-19 

 

Le mardi 14 avril 2020 aux heures de Mars impérativement.

 

Soyez nombreux 🙂

 

P.S : Vous pouvez bien évidemment continuer à faire ce rituel les jours concernés en dehors de cet appel.

L’interview explosive de Pr Luc Montagnier

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L’interview explosive du professeur Luc Montagnier sur le Covid-19

 

J’ai le plaisir de vous annoncer que la Vérité montre le bout de son nez, suite à l’interview explosive du professeur Luc Montagnier, dont vous trouverez le lien ci-dessous. Je vous invite à l’écouter très attentivement et à la diffuser de tous les côtés. Faites également des copies. Nul besoin de parler d’Enki. Mettez juste le lien, rien de plus. Dans ce cas, le silence est d’or.

Il va sans dire que ce virus, comme je l’ai dit dès le départ, est un virus fabriqué dans des intentions très malsaines (pandémie mondiale = vaccination massive et obligatoire…).
De plus, le professeur Montagnier pense que, du fait que Wuhan en Chine est à la pointe de l’avant-garde concernant la 5G, cela a pu favoriser la prolifération du virus. Ce professeur, bien que prix Nobel de médecine, a été traité de tous les noms quand il a soutenu Benveniste et sa mémoire de l’eau.
Aujourd’hui, il ose parler des ondes, des ravages de la 5G et surtout de la manipulation volontaire dans un laboratoire chinois de haute sécurité de souches virales dangereuses.
Lui dit que c’était dans le but de trouver un vaccin anti-sida, mais en réalité, le but était d’affaiblir considérablement l’occident et le monde en général par un virus très contagieux, tandis que la Chine devenait une grande puissance aidante et généreuse, tout en poussant Huawei à diffuser la 5G aux quatre coins de la planète.

Je vous rappelle aussi que l’OMS, l’organisation mondiale de la santé (de la santé, vraiment ???), est quasiment entièrement subventionnée par sa Majesté Bill Gates. Ainsi acheter du microsoft, revient à nourrir cet individu et ses projets méphitiques. Que le mari de la dernière ministre de la santé française, patron de l’Inserm, est impliqué dans le laboratoire de Wuhan. Que les américains ne sont pas innocents non plus dans l’histoire. etc, etc.
Curieusement, les soi-disant complotistes apparaissent soudain comme des gens intelligents, fine-mouches, à qui «on ne la fait pas».

Je vous invite donc, et plus que jamais, à participer à tous les appels qui seront lancés sur Loveenki. Bougies rouges en tête de pont. Allez-y à fond.

Il est hors de question de continuer à vivre en prison, un masque sur le museau, sans pouvoir plus bouger ni pied ni patte.
La Vérité ne peut demeurer cachée, elle a trop de force pour cela. Le vrai visage de tous ces monstres doit apparaître maintenant. Et très clairement. Que les coupables comparaissent devant le grand tribunal de l’Humanité.

Pour une Terre libre et libérée, toutes et tous sur le pont, tous les mardis et samedis, heure de Mars. Les infos viendront en temps et en heure.

MERCI À TOUS !
SOYEZ NOMBREUSES ET NOMBREUX AUX CÔTÉS DE NOS DÉESSES ET DE NOS DIEUX!
GLOIRE À NOTRE ENKI-SHIVA, POURFENDEUR ET DESTRUCTEUR DU MAL, DE TOUTE ÉTERNITÉ !!!!!!!!!!!!
Caroline. 🙂

C n ews – Pas cal Pr au d – replay – 17 avril 2020 – à partir de 52’

cnews.fr/emission/2020-04-17/lheure-des-pros-du-17042020-947840

Ou ici : yt – chaine leau lavie – Professeur Luc Montagnier : Le virus covid19 est une manipulation humaine

youtube.com/watch?v=qSWCLHIOiMo

Joyeux Beltane


Enquête – La société de demain

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Enquête – La société de demain

Une autre vidéo à regarder attentivement et jusqu’au bout. Ce qu’est la chine aujourd’hui est le monde de demain. L’enfer sur terre. Le monde d’Anu est le communisme.
Agissez comme vous savez le faire. Ne laissez pas cette horreur se développer. Nous devons aider Enki dans son combat millénaire contre le Mal absolu. La Victoire est proche.

 

Lien :arte.tv/fr/videos/083310-000-A/tous-surveilles-7-milliards-de-suspects/

 

Pour une Terre libre et libérée !
Gloire à notre Enki et à toutes ses Légions ! 

Les voix se lèvent –à voir et à partager

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Les voix se lèvent – Important, à voir et à partager

 

Voilà un nouveau lien à écouter en entier, malgré les sous titres. 

“Manifestation Virtuelle du 1er Mai” | youtube.com/watch?v=AWnjUZfdVdM

Et aussi (allez à 34 minutes): youtube.com/watch?v=lE0202S7p50

Un Colonel russe expose l’agenda de l’oligarchie mondiale

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Un Colonel russe expose l’agenda de l’oligarchie mondiale
 
Déjà l’un des anciens présidents russes, Eltsyne ou Gorbatchiev, je ne sais plus, avait confirmé la présence de sales bestioles sur Terre, ennemies de l’Humanité. La vidéo a totalement disparue de la circulation à ma connaissance.
Maintenant, un autre russe, très haut placé, parle sans langue de bois. Ce qu’il dit est VRAI et je l’ai dit depuis longtemps. Et encore dernièrement sur la chaine.
Le premier fondamental du gougnafier est le MENSONGE. Il est le VRAI DIABLE. LE PRINCE MAUDIT DU MENSONGE.
Toutes et tous à nos bougies. La justice est d’abord et avant tout OCCULTE.
Caroline.
 
Lien : youtube.com/watch?v=Y14NDn-AEpI

Liberté de la presse en France

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La Liberté de la presse en France

 

Encore une information qui en dit long sur ce charmant pays.

Il va sans dire que je mets le lien ici à titre d’information uniquement, pas pour que vous adhériez à cette revue et ainsi être répertorié.

“Michel Onfray justifie sa revue, Front Populaire, par le recul de la liberté de la presse en France” : youtube.com/watch?v=8kQ3ldbMScE

(Lorsque vous recopiez le lien, il s’agit d’un L minuscule entre le 3 et le d et non d’un i majuscule)

Le classement : rsf.org/fr/ranking/2020

Les sciences neuro-cognitives utilisées à des fins militaires

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Les sciences neuro-cognitives utilisées à des fins militaires

 

Voici un nouvel extrait qui donne un aperçu de l’usage qui peut être fait des sciences neuro-cognitives dans le domaine militaire.

“Technologies de modification de l’esprit présentées dans les académies militaires” : youtube.com/watch?v=3kOuWJBJl8g

(Il s’agit d’un L minuscule entre le J et le 8)

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